Mondiaux:conditions difficiles à prévoir
Ski mercredi, 9 févr. 2011. 12:57 dimanche, 15 déc. 2024. 10:43
GARMISCH-PARTENKIRCHEN - Comme l'Américaine Lindsey Vonn, le Croate Ivica Kostelic et le Suisse Carlo Janka ont remis en question mercredi leur participation à la descente et au super-combiné des Mondiaux de Garmisch-Partenkirchen jugeant les conditions de course trop difficiles.
Bien qu'il ait enlevé la médaille de bronze du super-G, Kostelic a raconté que la plupart des coureurs comme lui "avaient trouvé que la piste était limite", non seulement parce qu'elle est bien glacée, mais parce que comme elle est en grande partie plongée dans l'ombre et bosselée, les skieurs se font bien secouer.
"C'était sûrement la course la plus difficile de toute ma carrière, toutes disciplines confondues", a déclaré le leader de la Coupe du monde. "J'étais encore plus content d'arriver en bas en un seul morceau que de gagner une médaille. Je suis juste content de n'avoir pas à le refaire."
Le Croate envisage de faire l'impasse sur le super-combiné, lundi, afin de recharger ses batteries pour le slalom de clôture, et surtout être en état de finir la saison de Coupe du monde, son "objectif prioritaire".
"Dès le milieu de la course, c'était un combat pour ne pas chuter et rien d'autre", a raconté Carlo Janka, au terme de son super-G. Le champion du monde et olympique de géant veut "réfléchir à la suite": "Si les conditions sont les mêmes, je pourrais faire l'impasse sur la descente et le super-combiné."
L'un des cadors de la vitesse, Didier Cuche, a raconté qu'il n'était "pas loin de subir la piste". "On se fait secouer là où on pense qu'on ne le sera pas et vice versa", a souligné le champion du monde 2009, resté au pied du podium mercredi.
Lindsey Vonn, la première, avait pointé dès lundi, à la veille du super-G dames, "une piste vraiment limite pour une compétition féminine".
Encore ébranlée par une chute à l'entraînement la semaine passée en Autriche, l'incontestable reine de la vitesse des trois derniers hivers a préféré renoncer à l'entraînement de descente mercredi. Et a laissé entendre qu'elle pourrait renoncer et au super-combiné vendredi, et à défendre son titre en descente dimanche.
Bien qu'il ait enlevé la médaille de bronze du super-G, Kostelic a raconté que la plupart des coureurs comme lui "avaient trouvé que la piste était limite", non seulement parce qu'elle est bien glacée, mais parce que comme elle est en grande partie plongée dans l'ombre et bosselée, les skieurs se font bien secouer.
"C'était sûrement la course la plus difficile de toute ma carrière, toutes disciplines confondues", a déclaré le leader de la Coupe du monde. "J'étais encore plus content d'arriver en bas en un seul morceau que de gagner une médaille. Je suis juste content de n'avoir pas à le refaire."
Le Croate envisage de faire l'impasse sur le super-combiné, lundi, afin de recharger ses batteries pour le slalom de clôture, et surtout être en état de finir la saison de Coupe du monde, son "objectif prioritaire".
"Dès le milieu de la course, c'était un combat pour ne pas chuter et rien d'autre", a raconté Carlo Janka, au terme de son super-G. Le champion du monde et olympique de géant veut "réfléchir à la suite": "Si les conditions sont les mêmes, je pourrais faire l'impasse sur la descente et le super-combiné."
L'un des cadors de la vitesse, Didier Cuche, a raconté qu'il n'était "pas loin de subir la piste". "On se fait secouer là où on pense qu'on ne le sera pas et vice versa", a souligné le champion du monde 2009, resté au pied du podium mercredi.
Lindsey Vonn, la première, avait pointé dès lundi, à la veille du super-G dames, "une piste vraiment limite pour une compétition féminine".
Encore ébranlée par une chute à l'entraînement la semaine passée en Autriche, l'incontestable reine de la vitesse des trois derniers hivers a préféré renoncer à l'entraînement de descente mercredi. Et a laissé entendre qu'elle pourrait renoncer et au super-combiné vendredi, et à défendre son titre en descente dimanche.
