Place aux Championnats mondiaux
Ski vendredi, 28 janv. 2005. 23:12 dimanche, 15 déc. 2024. 15:44
(RDS et PC) - C'est samedi matin que s'amorceront les Championnats mondiaux de ski alpin à Bormio et Santa Caterina, en Italie. Samedi, les hommes seront à l'honneur avec le Super-G. Quatre Canadiens prendront part à cette compétition. Il s'agit des Québécois Erik Guay et François Bourque, de même que Jeff Hume et John Kucera.
Dimanche, ce sera au tour des femmes de disputer le Super-G. Évidemment, nous surveillerons la Québécoise Geneviève Simard.
Ces Championnats mondiaux se poursuivront jusqu'au 13 février.
Une équipe moins casse-cou
Appelons-les les Canucks moins casse-cou. Par opposition aux descendeurs Crazy Canucks d'il y a une vingtaine d'années et plus.
Ce sont ces skieurs plus techniques qui ont les meilleures chances de grimper sur le podium pour le Canada aux championnats du monde de ski alpin qui débutent samedi en Italie avec le super-G masculin.
"Ce que nous voulons d'abord, c'est développer de bons skieurs, a raconté Max Gartner, le directeur sportif de Canada alpin. Ensuite ils pourront demeurer dans les spécialités plus techniques ou se diriger vers les épreuves de vitesse."
Thomas Grandi, de Banff, a gagné deux slaloms géants cette saison et occupe le deuxième rang de la spécialité au classement de la Coupe du monde.
Geneviève Simard, de Val-Morin, et Allison Forsyth, de la Colombie-Britannique, se sont classées deuxième et troisième plus tôt ce mois-ci à l'issue d'un slalom géant disputé sur le parcours des championnats du monde.
Le président de Canada alpin, Ken Read, un ancien fameux Crazy Canuck, a fixé un objectif de deux médailles pour ses ouailles. Grandi, Simard et Forsyth ont les meilleures chances.
Pour Emily Brydon, qui pourrait causer une surprise, c'est la plus forte équipe Canadienne qu'elle a connue en trois participations aux championnats du monde, et ce, même en l'absence de son leader, Mélanie Turgeon, qui ne pourra défendre son titre en descente après avoir choisi de se remettre à l'entraînement jusqu'à la fin de l'hiver.
Erik Guay, de Mont-Tremblant, a terminé deux fois sixième au super-G et en descente à St.Moritz l'an dernier. Mais il a dû retrouver sa forme cette saison et rebâtir sa confiance à la suite d'une grave blessure à un genou qui avait mis fin prématurément à sa saison 2003-04.
"Ca n'a pas très bien fonctionné, a-t-il avoué. Ma confiance n'est pas encore tout à fait là. On peut toujours rêver, mais je ne m'attends pas à monter sur le podium ici."
Dimanche, ce sera au tour des femmes de disputer le Super-G. Évidemment, nous surveillerons la Québécoise Geneviève Simard.
Ces Championnats mondiaux se poursuivront jusqu'au 13 février.
Une équipe moins casse-cou
Appelons-les les Canucks moins casse-cou. Par opposition aux descendeurs Crazy Canucks d'il y a une vingtaine d'années et plus.
Ce sont ces skieurs plus techniques qui ont les meilleures chances de grimper sur le podium pour le Canada aux championnats du monde de ski alpin qui débutent samedi en Italie avec le super-G masculin.
"Ce que nous voulons d'abord, c'est développer de bons skieurs, a raconté Max Gartner, le directeur sportif de Canada alpin. Ensuite ils pourront demeurer dans les spécialités plus techniques ou se diriger vers les épreuves de vitesse."
Thomas Grandi, de Banff, a gagné deux slaloms géants cette saison et occupe le deuxième rang de la spécialité au classement de la Coupe du monde.
Geneviève Simard, de Val-Morin, et Allison Forsyth, de la Colombie-Britannique, se sont classées deuxième et troisième plus tôt ce mois-ci à l'issue d'un slalom géant disputé sur le parcours des championnats du monde.
Le président de Canada alpin, Ken Read, un ancien fameux Crazy Canuck, a fixé un objectif de deux médailles pour ses ouailles. Grandi, Simard et Forsyth ont les meilleures chances.
Pour Emily Brydon, qui pourrait causer une surprise, c'est la plus forte équipe Canadienne qu'elle a connue en trois participations aux championnats du monde, et ce, même en l'absence de son leader, Mélanie Turgeon, qui ne pourra défendre son titre en descente après avoir choisi de se remettre à l'entraînement jusqu'à la fin de l'hiver.
Erik Guay, de Mont-Tremblant, a terminé deux fois sixième au super-G et en descente à St.Moritz l'an dernier. Mais il a dû retrouver sa forme cette saison et rebâtir sa confiance à la suite d'une grave blessure à un genou qui avait mis fin prématurément à sa saison 2003-04.
"Ca n'a pas très bien fonctionné, a-t-il avoué. Ma confiance n'est pas encore tout à fait là. On peut toujours rêver, mais je ne m'attends pas à monter sur le podium ici."