Rochon veut perfectionner un saut
Ski dimanche, 25 janv. 2009. 18:25 jeudi, 12 déc. 2024. 09:21
SAINTE-ADELE - Olivier Rochon compte bien être un participant actif du processus de sélection nationale pour les Jeux de Vancouver, en 2010. Il vient tout juste d'ajouter un triple périlleux arrière à quatre vrilles afin de hausser ses classements et il planchera sur un saut plus difficile l'été prochain, sur les rampes d'eau du Lac Beauport.
"Je ne ferai pas de sauts plus difficile que celui que j'ai effectué en finale, dimanche. Mais je vais travailler sur un cinq vrilles cet été."
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Les sauteurs américains tentent déjà un saut à cinq vrilles en compétition et Steve Omischl l'exécute lors des entraînements. Certains observateurs prétendent même que les sauteurs qui espèrent remporter une médaille à Vancouver devront absolument en réussir un en finale.
Pour l'instant, Omischl ne sent pas le besoin de l'exécuter en compétition.
"Je suis capable d'atterrir à la suite d'un cinq vrilles à l'entraînement, mais pourquoi prendre cette chance en compétition alors que je n'en ai pas besoin pour l'instant? Si je devais toutefois me rendre compte qu'un tel saut s'avérait nécessaire pour l'emporter, je suis assez à l'aise avec un cinq vrilles pour changer mon saut final."
Les sauteurs peuvent changer leur saut quelques secondes avant de s'élancer sur la piste: le préposé au départ leur demande quel saut ils effectueront et le communique aux juges juste avant de leur donner le feu vert.
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Omischl, qui est natif de North Bay, en Ontario, mais qui habite maintenant Kelowna, en Colombie-Britannique, est un grand fan de la série américaine "Entourage".
"J'ai regardé trois épisodes aujourd'hui, entre la qualif et la finale et en attendant de m'exécuter, a candidement avoué Omischl en entrevue. Je ne peux pas passer la journée à penser à mes sauts. Ca m'aide à décrocher et à décompresser."
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Le grand cirque du ski acrobatique se transporte maintenant à Deer Valley, en Utah, où sera disputée la prochaine étape de la Coupe du monde. Des épreuves de bosses, de bosses en parallèle, de sauts et de demi-lune y seront présentées.
"Je ne ferai pas de sauts plus difficile que celui que j'ai effectué en finale, dimanche. Mais je vais travailler sur un cinq vrilles cet été."
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Les sauteurs américains tentent déjà un saut à cinq vrilles en compétition et Steve Omischl l'exécute lors des entraînements. Certains observateurs prétendent même que les sauteurs qui espèrent remporter une médaille à Vancouver devront absolument en réussir un en finale.
Pour l'instant, Omischl ne sent pas le besoin de l'exécuter en compétition.
"Je suis capable d'atterrir à la suite d'un cinq vrilles à l'entraînement, mais pourquoi prendre cette chance en compétition alors que je n'en ai pas besoin pour l'instant? Si je devais toutefois me rendre compte qu'un tel saut s'avérait nécessaire pour l'emporter, je suis assez à l'aise avec un cinq vrilles pour changer mon saut final."
Les sauteurs peuvent changer leur saut quelques secondes avant de s'élancer sur la piste: le préposé au départ leur demande quel saut ils effectueront et le communique aux juges juste avant de leur donner le feu vert.
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Omischl, qui est natif de North Bay, en Ontario, mais qui habite maintenant Kelowna, en Colombie-Britannique, est un grand fan de la série américaine "Entourage".
"J'ai regardé trois épisodes aujourd'hui, entre la qualif et la finale et en attendant de m'exécuter, a candidement avoué Omischl en entrevue. Je ne peux pas passer la journée à penser à mes sauts. Ca m'aide à décrocher et à décompresser."
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Le grand cirque du ski acrobatique se transporte maintenant à Deer Valley, en Utah, où sera disputée la prochaine étape de la Coupe du monde. Des épreuves de bosses, de bosses en parallèle, de sauts et de demi-lune y seront présentées.
