À l'ombre du Brésil
Soccer dimanche, 11 juin 2006. 18:47 dimanche, 15 déc. 2024. 03:35
KAISERSLAUTERN (AFP) - L'Australie et le Japon, à l'ombre d'un Brésil qui écrase tout dans le groupe F du Mondial-2006 de football, vont tenter de se faire une petite place au soleil et de ne pas perdre tout chance de qualification dès le 1er match, lundi (13h00 GMT) à Kaiserslautern (ouest).
La première place étant d'ores et déjà promise aux quintuples champions du monde, qui affrontent la Croatie mardi à Berlin (19h00 GMT), Australiens et Japonais visent, tout comme les Croates, la 2e place.
C'est dire si leur confrontation revêt de l'importance. Si vaincu il y a, ses chances de qualifications seront réduites comme peau de chagrin.
Présent pour la 2e fois seulement au Mondial - après une 1re participation au Mondial-74, déjà en Allemagne -, l'Australie possède deux atouts: la science et le charisme de son sélectionneur néerlandais Guus Hiddink, deux fois demi-finaliste avec les Pays-Bas (1998) et la Corée du sud (2002), ainsi que la solidité de ses joueurs.
Une solidité qui frise la rugosité. "C'est un scandale! Ils ont vraiment dépassé les limites", s'emportait ainsi le Néerlandais Arjen Robben après un match de préparation contre les Socceroos (1-1).
"Ils ont commis des fautes terribles (contre les Pays-Bas) et se sont appliqués à le faire", a ainsi déclaré dimanche Saburo Kawabashi, le président de la Fédération japonaise.
Ce qui n'a pas plu à Hiddink: "C'est inacceptable et sans respect".
"On joue engagé et sans aucune intention de blesser intentionnellement", a renchéri l'attaquant Mark Viduka, qui rêve d'être le premier australien à marquer en Coupe du monde.
Côté nipppon, on a également, en plus d'une 3e participation consécutive à l'épreuve, deux atouts: la vivacité des joueurs, dont beaucoup ont étoffé leur registre en Europe, et un entraîneur également charismatique, le Brésilien Zico.
Les deux stratèges Hidetoshi Nakata et Shunsuke Nakamura seront les deux hommes à suivre, tandis que, côté australien, Harry Kewell, constitue le danger N.1 selon Zico: "Il peut faire basculer un match sur une seule action ou marquer un but alors qu'il vient à peine d'entrer sur le terrain".
La première place étant d'ores et déjà promise aux quintuples champions du monde, qui affrontent la Croatie mardi à Berlin (19h00 GMT), Australiens et Japonais visent, tout comme les Croates, la 2e place.
C'est dire si leur confrontation revêt de l'importance. Si vaincu il y a, ses chances de qualifications seront réduites comme peau de chagrin.
Présent pour la 2e fois seulement au Mondial - après une 1re participation au Mondial-74, déjà en Allemagne -, l'Australie possède deux atouts: la science et le charisme de son sélectionneur néerlandais Guus Hiddink, deux fois demi-finaliste avec les Pays-Bas (1998) et la Corée du sud (2002), ainsi que la solidité de ses joueurs.
Une solidité qui frise la rugosité. "C'est un scandale! Ils ont vraiment dépassé les limites", s'emportait ainsi le Néerlandais Arjen Robben après un match de préparation contre les Socceroos (1-1).
"Ils ont commis des fautes terribles (contre les Pays-Bas) et se sont appliqués à le faire", a ainsi déclaré dimanche Saburo Kawabashi, le président de la Fédération japonaise.
Ce qui n'a pas plu à Hiddink: "C'est inacceptable et sans respect".
"On joue engagé et sans aucune intention de blesser intentionnellement", a renchéri l'attaquant Mark Viduka, qui rêve d'être le premier australien à marquer en Coupe du monde.
Côté nipppon, on a également, en plus d'une 3e participation consécutive à l'épreuve, deux atouts: la vivacité des joueurs, dont beaucoup ont étoffé leur registre en Europe, et un entraîneur également charismatique, le Brésilien Zico.
Les deux stratèges Hidetoshi Nakata et Shunsuke Nakamura seront les deux hommes à suivre, tandis que, côté australien, Harry Kewell, constitue le danger N.1 selon Zico: "Il peut faire basculer un match sur une seule action ou marquer un but alors qu'il vient à peine d'entrer sur le terrain".