Afrique du Sud: Blatter renouvelle sa confiance
Soccer vendredi, 12 janv. 2007. 10:31 jeudi, 12 déc. 2024. 15:38
PARIS (AFP) - Le président de la Fédération internationale de football (FIFA), Joseph Blatter, a renouvelé, vendredi, sa confiance à l'Afrique du Sud, pays organisateur du Mondial-2010, en dépit des retards pris dans la construction des installations sportives notamment au Cap.
"On fera la Coupe du monde en Afrique du Sud, a déclaré M. Blatter. On fait confiance aux Africains. On ne va pas changer maintenant. L'Afrique peut le faire et doit le faire."
Le président de la FIFA a exclu tout changement de pays organisateur. "La seule solution de rechange que nous avons dans une enveloppe s'appelle l'Afrique du Sud."
"Le seul stade qui nous préoccupe est le stade du Cap", a précisé M. Blatter qui a émis l'espoir que les travaux pourront débuter d'ici le 15 février. "Sinon, je descendrai pour donner des coups de pioche", a-t-il ironisé.
"Là où doit se construire le stade il y a un parcours de golf, donc on attend. Mais il faut un stade au Cap pour la Coupe du monde. C'est une ville importante", a-t-il indiqué.
Le patron de l'instance suprême du ballon rond a rappelé que l'attribution de la Coupe du monde à l'Afrique du Sud en 2004 avait relevé d'une "décision sportive" et non "politique".
"On doit rendre quelque chose à l'Afrique et lui rendre justice, s'est-il justifié. Le football africain a donné beaucoup et puis (les Africains) n'ont jamais eu accès à (l'organisation de) la Coupe du monde". "Il y a eu 5 fois" des candidats africains, a expliqué M. Blatter, "et à chaque fois, l'Afrique a toujours perdu. On a donc instauré la rotation de la Coupe du monde."
Sepp Blatter a également balayé les craintes concernant l'insécurité existant dans certaines villes sud-africaines.
"Le danger existe partout, a-t-il affirmé. Quand vous savez où se trouve le danger, vous pouvez le contrecarrer en prenant les mesures nécessaires."
"On fera la Coupe du monde en Afrique du Sud, a déclaré M. Blatter. On fait confiance aux Africains. On ne va pas changer maintenant. L'Afrique peut le faire et doit le faire."
Le président de la FIFA a exclu tout changement de pays organisateur. "La seule solution de rechange que nous avons dans une enveloppe s'appelle l'Afrique du Sud."
"Le seul stade qui nous préoccupe est le stade du Cap", a précisé M. Blatter qui a émis l'espoir que les travaux pourront débuter d'ici le 15 février. "Sinon, je descendrai pour donner des coups de pioche", a-t-il ironisé.
"Là où doit se construire le stade il y a un parcours de golf, donc on attend. Mais il faut un stade au Cap pour la Coupe du monde. C'est une ville importante", a-t-il indiqué.
Le patron de l'instance suprême du ballon rond a rappelé que l'attribution de la Coupe du monde à l'Afrique du Sud en 2004 avait relevé d'une "décision sportive" et non "politique".
"On doit rendre quelque chose à l'Afrique et lui rendre justice, s'est-il justifié. Le football africain a donné beaucoup et puis (les Africains) n'ont jamais eu accès à (l'organisation de) la Coupe du monde". "Il y a eu 5 fois" des candidats africains, a expliqué M. Blatter, "et à chaque fois, l'Afrique a toujours perdu. On a donc instauré la rotation de la Coupe du monde."
Sepp Blatter a également balayé les craintes concernant l'insécurité existant dans certaines villes sud-africaines.
"Le danger existe partout, a-t-il affirmé. Quand vous savez où se trouve le danger, vous pouvez le contrecarrer en prenant les mesures nécessaires."