Aragones n'a aucun doute
Soccer samedi, 24 juin 2006. 12:42 dimanche, 15 déc. 2024. 05:31
KAMEN (AFP) - Le sélectionneur de l'Espagne Luis Aragones a déclaré samedi qu'il "respectait" l'équipe de France mais a ajouté qu'il était "sûr" que son équipe se qualifierait, mardi à Hanovre, en 8e de finale du Mondial-2006 de soccer.
"Je respecte la France, mais je suis sûr que nous passerons" en quarts de finale, a déclaré Aragones lors d'une conférence de presse à Kamen.
"Pour continuer, il faut battre les bons. La France est une très bonne sélection, il n'y a aucun doute là-dessus, mais je suis convaincu que nous allons passer. (...) Pour cela, il faudra faire bien les choses, bien jouer sans commettre d'erreurs", a ajouté le "Sage de Hortaleza", 67 ans.
"J'ai insisté là-dessus auprès de mes joueurs: c'est maintenant que commence le Mondial (...) Et si l'on veut aller au bout, il faut battre la France, le Brésil, tout le monde. Je respecte la France (...), qui a une très bonne équipe, mais qui, sans aucun doute, n'est pas invincible", a-t-il souligné.
"J'ai très grande confiance en mon équipe, a-t-il poursuivi. Nous avons discuté avec les joueurs (samedi matin) et l'équipe y croit vraiment, et moi aussi", a-t-il affirmé.
Aragones a également évoqué les forces et faiblesses des Bleus.
Attention à Zidane
"La France est une grande équipe et certaines choses me préoccupent, mais si nous prenons le jeu à notre compte et contrecarrons les qualités de l'adversaire, nous serons meilleurs (...) Quand on lui enlève le ballon, c'est une équipe qui souffre... Zidane, qui est un joueur qui ne peut pas jouer 70 ou 80 matches dans la saison, reste potentiellement très dangereux sur un seul match. Face à l'Espagne, Domenech mettra deux pointes, et pas seulement Thierry Henry, comme il l'avait fait lors des deux précédents matches (contre la Suisse et la Corée du Sud)", a-t-il ajouté.
Le sélectionneur espagnol a dit aussi que "l'Espagne sera fidèle à son style. (...) Je crois qu'elle pense plus rapidement avec le ballon dans les pieds, mais eux (les Français) ont des avantages par rapport à nous, comme la taille et un milieu de terrain qui détruit, moins créatif mais qui presse beaucoup. C'est pourquoi il sera difficile de contrôler le ballon comme on l'a fait jusqu'à maintenant", a-t-il prévenu.
Ce 8e de finale, mardi à Hanovre (nord), première rencontre entre les deux équipes dans une phase finale de Coupe du monde, sera le 28e match de l'histoire entre les deux nations depuis 1922. C'est la sélection espagnole qui domine ce face-à-face avec 11 victoires, 6 nuls et 10 défaites (54 buts pour l'Espagne, 32 pour la France).
"Je respecte la France, mais je suis sûr que nous passerons" en quarts de finale, a déclaré Aragones lors d'une conférence de presse à Kamen.
"Pour continuer, il faut battre les bons. La France est une très bonne sélection, il n'y a aucun doute là-dessus, mais je suis convaincu que nous allons passer. (...) Pour cela, il faudra faire bien les choses, bien jouer sans commettre d'erreurs", a ajouté le "Sage de Hortaleza", 67 ans.
"J'ai insisté là-dessus auprès de mes joueurs: c'est maintenant que commence le Mondial (...) Et si l'on veut aller au bout, il faut battre la France, le Brésil, tout le monde. Je respecte la France (...), qui a une très bonne équipe, mais qui, sans aucun doute, n'est pas invincible", a-t-il souligné.
"J'ai très grande confiance en mon équipe, a-t-il poursuivi. Nous avons discuté avec les joueurs (samedi matin) et l'équipe y croit vraiment, et moi aussi", a-t-il affirmé.
Aragones a également évoqué les forces et faiblesses des Bleus.
Attention à Zidane
"La France est une grande équipe et certaines choses me préoccupent, mais si nous prenons le jeu à notre compte et contrecarrons les qualités de l'adversaire, nous serons meilleurs (...) Quand on lui enlève le ballon, c'est une équipe qui souffre... Zidane, qui est un joueur qui ne peut pas jouer 70 ou 80 matches dans la saison, reste potentiellement très dangereux sur un seul match. Face à l'Espagne, Domenech mettra deux pointes, et pas seulement Thierry Henry, comme il l'avait fait lors des deux précédents matches (contre la Suisse et la Corée du Sud)", a-t-il ajouté.
Le sélectionneur espagnol a dit aussi que "l'Espagne sera fidèle à son style. (...) Je crois qu'elle pense plus rapidement avec le ballon dans les pieds, mais eux (les Français) ont des avantages par rapport à nous, comme la taille et un milieu de terrain qui détruit, moins créatif mais qui presse beaucoup. C'est pourquoi il sera difficile de contrôler le ballon comme on l'a fait jusqu'à maintenant", a-t-il prévenu.
Ce 8e de finale, mardi à Hanovre (nord), première rencontre entre les deux équipes dans une phase finale de Coupe du monde, sera le 28e match de l'histoire entre les deux nations depuis 1922. C'est la sélection espagnole qui domine ce face-à-face avec 11 victoires, 6 nuls et 10 défaites (54 buts pour l'Espagne, 32 pour la France).