Blatter : des pays manquent de classe
Soccer mercredi, 22 déc. 2010. 10:44 dimanche, 15 déc. 2024. 00:34
ZURICH - Le président de la FIFA, Sepp Blatter, réitère que les pays froissés de ne pas avoir été choisis pour les Coupes du monde de 2018 et 2022 devraient accepter la défaite avec honneur.
Répétant la position de la FIFA que les tournois ont été accordés à la Russie et au Qatar pour élargir l'horizon footballistique, Blatter a mentionné que la réaction de certains pays a fait preuve d'un certain manque de classe.
«Peut-être que certains ont oublié que dans le football, il faut apprendre à perdre tout comme il faut apprendre à gagner, a dit Blatter. C'était une compétition. Certains ont gagné, d'autres ont perdu. C'est normal.»
L'Angleterre figure parmi les mécontents que la FIFA n'a pas déclaré avant d'accepter les candidatures que les Coupes du monde iraient à des pays n'ayant jamais accueilli l'événement dans le passé. Blatter ne s'en fait pas outre mesure.
«Les médias sportifs ne sont pas toujours sensibilisés à l'importance sociale ou culturelle du Mondial, a dit Blatter. Ils ne pensent qu'aux penaltys, aux corners, à l'arbitrage et à l'argent. Mais comme je l'ai déjà dit, cette décision n'a pas été une question d'argent.»
Soulignant l'énorme succès qu'a été le Mondial sud-africain, cette année, Blatter a dit qu'il est important de continuer à répartir la Coupe du monde aux quatre coins de la planète.
«Nous avons pris des décisions historiques en termes sportifs et géopolitiques, a dit Blatter. Nous avons orienté le Mondial vers de nouveaux territoires et de nouvelles cultures, et c'est quelque chose qui m'emballe.»
Répétant la position de la FIFA que les tournois ont été accordés à la Russie et au Qatar pour élargir l'horizon footballistique, Blatter a mentionné que la réaction de certains pays a fait preuve d'un certain manque de classe.
«Peut-être que certains ont oublié que dans le football, il faut apprendre à perdre tout comme il faut apprendre à gagner, a dit Blatter. C'était une compétition. Certains ont gagné, d'autres ont perdu. C'est normal.»
L'Angleterre figure parmi les mécontents que la FIFA n'a pas déclaré avant d'accepter les candidatures que les Coupes du monde iraient à des pays n'ayant jamais accueilli l'événement dans le passé. Blatter ne s'en fait pas outre mesure.
«Les médias sportifs ne sont pas toujours sensibilisés à l'importance sociale ou culturelle du Mondial, a dit Blatter. Ils ne pensent qu'aux penaltys, aux corners, à l'arbitrage et à l'argent. Mais comme je l'ai déjà dit, cette décision n'a pas été une question d'argent.»
Soulignant l'énorme succès qu'a été le Mondial sud-africain, cette année, Blatter a dit qu'il est important de continuer à répartir la Coupe du monde aux quatre coins de la planète.
«Nous avons pris des décisions historiques en termes sportifs et géopolitiques, a dit Blatter. Nous avons orienté le Mondial vers de nouveaux territoires et de nouvelles cultures, et c'est quelque chose qui m'emballe.»