Budget doublé en Afrique du Sud
Soccer mercredi, 25 oct. 2006. 09:52 jeudi, 12 déc. 2024. 03:04
LE CAP (AFP) - Le ministre des Finances sud-africain Trevor Manuel a annoncé mercredi que son pays allait plus que doubler le budget du Mondial-2010 de soccer, organisé sur son sol, afin d'accélérer la construction ou la rénovation d'infrastructures.
Le budget présenté au Parlement par le ministre prévoit d'allouer 9,5 milliards de rands (1,42 milliard en dollars canadiens) au Mondial, portant à 15 mds de rands (2,21 milliards canadiens) son investissement pour la compétition.
Sur le total, 12,1 mds de rands (17,87 milliards canadiens) doivent être affectés directement aux neuf villes accueillant les matches pour rénover cinq stades, en construire cinq autres et améliorer les infrastructures.
"Le gouvernement s'est engagé à investir dans les infrastructures, la logistique, les communications et la sécurité pour assurer un plein succès à l'évènement", a expliqué le ministre.
Mardi, le président sud-africain Thabo Mbeki avait tenu à faire taire les sceptiques. "Il n'y a aucune raison que 2010 ne surprenne pas les sceptiques (...) par la capacité de l'Afrique à accueillir de manière remarquable un événement planétaire", avait-il estimé lors d'une réunion au Cap avec des responsables de la Fédération internationale (FIFA).
Le budget présenté au Parlement par le ministre prévoit d'allouer 9,5 milliards de rands (1,42 milliard en dollars canadiens) au Mondial, portant à 15 mds de rands (2,21 milliards canadiens) son investissement pour la compétition.
Sur le total, 12,1 mds de rands (17,87 milliards canadiens) doivent être affectés directement aux neuf villes accueillant les matches pour rénover cinq stades, en construire cinq autres et améliorer les infrastructures.
"Le gouvernement s'est engagé à investir dans les infrastructures, la logistique, les communications et la sécurité pour assurer un plein succès à l'évènement", a expliqué le ministre.
Mardi, le président sud-africain Thabo Mbeki avait tenu à faire taire les sceptiques. "Il n'y a aucune raison que 2010 ne surprenne pas les sceptiques (...) par la capacité de l'Afrique à accueillir de manière remarquable un événement planétaire", avait-il estimé lors d'une réunion au Cap avec des responsables de la Fédération internationale (FIFA).