Corruption: la FIFA élargit son enquête
Soccer lundi, 25 oct. 2010. 15:11 dimanche, 15 déc. 2024. 13:52
ZURICH - La FIFA a élargi son enquête sur les présumées tentatives de corruption en vue de l'attribution de la Coupe du monde, lundi, après les affirmations d'un ancien haut dirigeant selon lesquelles deux candidats étaient disposés à monnayer leur vote.
La FIFA a indiqué qu'elle a « immédiatement demandé de recevoir toutes les évidences potentielles » du quotidien britannique Sunday Times à la suite de son reportage sur les commentaires de Michel Zen-Ruffinen, qui a occupé le poste de secrétaire général de la FIFA jusqu'en 2002.
Filmé à son insu, Zen-Ruffinen a déclaré que l'Espagne-Portugal et le Qatar avaient conclu un accord offrant à chacun sept votes parmi les 24 membres du comité exécutif qui choisiront les pays hôtes pour la Coupe du monde en décembre.
L'Espagne-Portugal souhaite accueillir l'édition 2018 et le Qatar est candidat pour 2022. Les deux ont besoin de 13 votes pour garantir une victoire selon les règlements actuels.
La FIFA a précisé qu'elle soumettra la preuve à son comité d'éthique, qui a officiellement lancé la semaine dernière une enquête sur une présumée collusion illégale entre les pays candidats, qui n'ont toutefois pas été nommés.
Des représentants de l'Espagne-Portugal et du Qatar n'ont pas confirmé qu'ils étaient sous enquête. Le président de la fédération portugaise Gilberto Madail a rejeté ces allégations la semaine dernière.
La lutte pour l'obtention de la Coupe du monde de 2018 se fait entre l'Angleterre, la Russie et les offres conjointes de la Belgique-Hollande et de l'Espagne-Portugal.
Les candidatures pour 2022 proviennent des États-Unis, de l'Australie, du Japon, de la Corée du Sud et du Qatar.
La FIFA a indiqué qu'elle a « immédiatement demandé de recevoir toutes les évidences potentielles » du quotidien britannique Sunday Times à la suite de son reportage sur les commentaires de Michel Zen-Ruffinen, qui a occupé le poste de secrétaire général de la FIFA jusqu'en 2002.
Filmé à son insu, Zen-Ruffinen a déclaré que l'Espagne-Portugal et le Qatar avaient conclu un accord offrant à chacun sept votes parmi les 24 membres du comité exécutif qui choisiront les pays hôtes pour la Coupe du monde en décembre.
L'Espagne-Portugal souhaite accueillir l'édition 2018 et le Qatar est candidat pour 2022. Les deux ont besoin de 13 votes pour garantir une victoire selon les règlements actuels.
La FIFA a précisé qu'elle soumettra la preuve à son comité d'éthique, qui a officiellement lancé la semaine dernière une enquête sur une présumée collusion illégale entre les pays candidats, qui n'ont toutefois pas été nommés.
Des représentants de l'Espagne-Portugal et du Qatar n'ont pas confirmé qu'ils étaient sous enquête. Le président de la fédération portugaise Gilberto Madail a rejeté ces allégations la semaine dernière.
La lutte pour l'obtention de la Coupe du monde de 2018 se fait entre l'Angleterre, la Russie et les offres conjointes de la Belgique-Hollande et de l'Espagne-Portugal.
Les candidatures pour 2022 proviennent des États-Unis, de l'Australie, du Japon, de la Corée du Sud et du Qatar.