Eindhoven qualifié aux tirs au but
Soccer mercredi, 13 avr. 2005. 17:52 mercredi, 11 déc. 2024. 22:38
EINDHOVEN, Pays-Bas (AFP) - L'équipe néerlandaise du PSV Eindhoven a arraché, aux dépens de la formation française de Lyon, sa qualification pour les demi-finales de la Ligue des champions au terme d'un match dont le suspense n'a pris fin que lors de la séance des tirs au but, mercredi à Eindhoven.
Alors que les deux équipes étaient à égalité (1-1 comme à l'aller) au terme de la prolongation, la PSV a émergé par 4 tirs au but à 2 grâce à un dernier tir du Brésilien Robert.
Comme l'an passé lorsqu'ils avaient été éliminés par le FC Porto, futur vainqueur de la compétition, les Lyonnais échouent au stade des quarts de finale, laissant au PSV l'honneur de défier le Milan AC au prochain tour.
Mark Van Bommel et ses équipiers se déplaceront en Italie le 26 avril avant de recevoir au Philips Stadion le 4 mai avec la perspective de rejoindre Istanbul pour la finale programmée le 25 mai.
Dès la première minute, Grégory Coupet était sollicité: le gardien lyonnais intervenait solidement devant Park. Mais si le PSV semblait vouloir imposer sa marque en début de partie, c'est l'OL qui concrétisait sa première occasion.
Sylvain Wiltord profitait d'un mauvais dégagement de Bouma, très fébrile dans l'axe du but, pour s'avancer vers Gomes et tromper ce dernier d'un tir à ras de terre sur le côté gauche du but néerlandais (0-1, 10e).
Durant quelques minutes, le jeu du PSV devenait moins compact, Lyon bénéficiait d'espaces et Wiltord, encore lui, débordait la défense néerlandaise à deux reprises, sans conséquence au tableau d'affichage (15e et 16e).
L'arrière-garde lyonnaise était elle aussi chahutée mais ni un tir de Mark Van Bommel (18e), ni des têtes de Phillip Cocu (22e) et Dennis Oiijer (35) ne parvenaient à inquiéter Coupet.
La bataille faisait rage dans l'entrejeu où le PSV haussait le ton physiquement. L'OL donnait l'impression de souffrir en fin de première période mais Park (37) et Vennegoor (39) manquaient de précision dans leurs tentatives.
L'axe central des champions de France tenaient le choc. Les joueurs de couloirs, par contre, étaient souvent mis en difficultés. A droite, Anthony Réveillère passait une soirée difficile face aux Sud-Coréens Park et Lee.
A la 50e minute, un centre de Van Bommel cherchait la tête de Vennegoor. Le défenseur lyonnais Eric Abidal repoussait le ballon dans l'axe. Laissé seul, le Brésilien Alex n'en demandait pas temps et trompait Coupet d'une frappe aussi lourde que précise (1-1).
Lyon ne baissait pas la garde. A la 71e minute, une frappe du Brésilien Cris était sauvée à même la ligne par Wilfred Bouma. Le même Cris obtenait une nouvelle occasion une minute plus tard mais sa tentative frôlait le cadre néerlandais. En face, Beasley (74) et Farfan (85) étaient bien près de tromper Coupet mais ne pouvait éviter la prolongation.
Chaque équipe obtenait les occasions pour s'imposer. Notamment quand Nilmar, entré en jeu en remplacement de Wiltord, réclamait un penalty (100) que M. Nielsen n'accordait pas. Ou quand Cocu manquait de sa reprise dans les six mètres lyonnais (107) et Van Bommel son coup franc aux seize mètres (109).
Forcément cruelle pour le vaincu, la décision tombait aux tirs au but. Essien et Abidal manquaient leur tirs côté lyonnais, au contraire de Robert qui faisait la décision.
Alors que les deux équipes étaient à égalité (1-1 comme à l'aller) au terme de la prolongation, la PSV a émergé par 4 tirs au but à 2 grâce à un dernier tir du Brésilien Robert.
Comme l'an passé lorsqu'ils avaient été éliminés par le FC Porto, futur vainqueur de la compétition, les Lyonnais échouent au stade des quarts de finale, laissant au PSV l'honneur de défier le Milan AC au prochain tour.
Mark Van Bommel et ses équipiers se déplaceront en Italie le 26 avril avant de recevoir au Philips Stadion le 4 mai avec la perspective de rejoindre Istanbul pour la finale programmée le 25 mai.
Dès la première minute, Grégory Coupet était sollicité: le gardien lyonnais intervenait solidement devant Park. Mais si le PSV semblait vouloir imposer sa marque en début de partie, c'est l'OL qui concrétisait sa première occasion.
Sylvain Wiltord profitait d'un mauvais dégagement de Bouma, très fébrile dans l'axe du but, pour s'avancer vers Gomes et tromper ce dernier d'un tir à ras de terre sur le côté gauche du but néerlandais (0-1, 10e).
Durant quelques minutes, le jeu du PSV devenait moins compact, Lyon bénéficiait d'espaces et Wiltord, encore lui, débordait la défense néerlandaise à deux reprises, sans conséquence au tableau d'affichage (15e et 16e).
L'arrière-garde lyonnaise était elle aussi chahutée mais ni un tir de Mark Van Bommel (18e), ni des têtes de Phillip Cocu (22e) et Dennis Oiijer (35) ne parvenaient à inquiéter Coupet.
La bataille faisait rage dans l'entrejeu où le PSV haussait le ton physiquement. L'OL donnait l'impression de souffrir en fin de première période mais Park (37) et Vennegoor (39) manquaient de précision dans leurs tentatives.
L'axe central des champions de France tenaient le choc. Les joueurs de couloirs, par contre, étaient souvent mis en difficultés. A droite, Anthony Réveillère passait une soirée difficile face aux Sud-Coréens Park et Lee.
A la 50e minute, un centre de Van Bommel cherchait la tête de Vennegoor. Le défenseur lyonnais Eric Abidal repoussait le ballon dans l'axe. Laissé seul, le Brésilien Alex n'en demandait pas temps et trompait Coupet d'une frappe aussi lourde que précise (1-1).
Lyon ne baissait pas la garde. A la 71e minute, une frappe du Brésilien Cris était sauvée à même la ligne par Wilfred Bouma. Le même Cris obtenait une nouvelle occasion une minute plus tard mais sa tentative frôlait le cadre néerlandais. En face, Beasley (74) et Farfan (85) étaient bien près de tromper Coupet mais ne pouvait éviter la prolongation.
Chaque équipe obtenait les occasions pour s'imposer. Notamment quand Nilmar, entré en jeu en remplacement de Wiltord, réclamait un penalty (100) que M. Nielsen n'accordait pas. Ou quand Cocu manquait de sa reprise dans les six mètres lyonnais (107) et Van Bommel son coup franc aux seize mètres (109).
Forcément cruelle pour le vaincu, la décision tombait aux tirs au but. Essien et Abidal manquaient leur tirs côté lyonnais, au contraire de Robert qui faisait la décision.