Équipe de France : décalage entre le jeu et la perception
Soccer mardi, 22 juin 2004. 17:16 mercredi, 11 déc. 2024. 22:54
SANTO TIRSO, Portugal (AP) - La qualification pour les quarts de finale de l'Euro 2004, acquise grâce au succès 3-1 signé face à la Suisse lundi soir, a fait un bien énorme à l'équipe de France de football.
"Avec cette confiance engrangée, l'équipe de France va être plus vive, plus agressive", a déclaré lundi Jacques Santini, à Santo Tirso, le lieu de résidence des Bleus au Portugal.
Le sélectionneur national s'est étonné du décalage flagrant à ses yeux entre le niveau de jeu produit par l'équipe de France et la perception qu'en ont certains journalistes.
"On ne peut plus gagner 4-0 ou 5-0. Vous oubliez la qualité que peuvent avoir nos adversaires", a déclaré Santini.
"On se sent costaud avec la qualification", a ajouté le sélectionneur national.
Il a réfuté avoir effectué un changement de système face aux Suisses, mais parlé d'une "adaptation" issue des enseignements tirés des rencontres jouées contre l'Angleterre et la Croatie.
Robert Pires a retrouvé le côté gauche, son côté de prédilection, lors de cette rencontre face aux Suisses, alors que Zinédine Zidane a évolué en électron libre.
Santini estime que le manque de réussite offensif est en passe d'être comblé.
"Il y a davantage de frappes, on a vu des combinaisons, Bixente Lizarazu a tiré face aux Suisses", a-t-il dit.
Jacques Santini prend la Grèce très au sérieux. Il a loué le travail de son adjoint François Blaquart, chargé du suivi des équipes adverses.
"Il a eu l'intuition et la perspicacité d'aller assister à la rencontre Grèce-Russie plutôt qu'Espagne-Portugal. Il a préparé des séances vidéos", a-t-il expliqué.
"J'ai confiance dans ce groupe-là. Il est sorti premier et invaincu de sa poule", a encore ajouté Santini, qui croit en la valeur athlétique de ses joueurs. "Elle a fait la différence en fin de rencontre face aux Suisses", a-t-il dit.
"Avec cette confiance engrangée, l'équipe de France va être plus vive, plus agressive", a déclaré lundi Jacques Santini, à Santo Tirso, le lieu de résidence des Bleus au Portugal.
Le sélectionneur national s'est étonné du décalage flagrant à ses yeux entre le niveau de jeu produit par l'équipe de France et la perception qu'en ont certains journalistes.
"On ne peut plus gagner 4-0 ou 5-0. Vous oubliez la qualité que peuvent avoir nos adversaires", a déclaré Santini.
"On se sent costaud avec la qualification", a ajouté le sélectionneur national.
Il a réfuté avoir effectué un changement de système face aux Suisses, mais parlé d'une "adaptation" issue des enseignements tirés des rencontres jouées contre l'Angleterre et la Croatie.
Robert Pires a retrouvé le côté gauche, son côté de prédilection, lors de cette rencontre face aux Suisses, alors que Zinédine Zidane a évolué en électron libre.
Santini estime que le manque de réussite offensif est en passe d'être comblé.
"Il y a davantage de frappes, on a vu des combinaisons, Bixente Lizarazu a tiré face aux Suisses", a-t-il dit.
Jacques Santini prend la Grèce très au sérieux. Il a loué le travail de son adjoint François Blaquart, chargé du suivi des équipes adverses.
"Il a eu l'intuition et la perspicacité d'aller assister à la rencontre Grèce-Russie plutôt qu'Espagne-Portugal. Il a préparé des séances vidéos", a-t-il expliqué.
"J'ai confiance dans ce groupe-là. Il est sorti premier et invaincu de sa poule", a encore ajouté Santini, qui croit en la valeur athlétique de ses joueurs. "Elle a fait la différence en fin de rencontre face aux Suisses", a-t-il dit.