Arsenal marque 3 buts contre Chelsea
Soccer lundi, 27 déc. 2010. 17:23 dimanche, 15 déc. 2024. 01:38
LONDRES - Arsenal a logiquement dominé Chelsea (3-1) lundi soir lors du dernier match de la 19e journée du Championnat d'Angleterre et en a profité pour revenir à deux points de Manchester United, enfonçant encore un peu plus dans la crise son adversaire du soir.
Après 11 rencontres d'affilée sans victoires face a Chelsea et Manchester United, les Gunners ont enfin vaincu leurs démons. En livrant un match parfaitement maîtrisé et en dominant leurs illustres adversaires dans tous les compartiments du jeu, ce succès de prestige pourrait aider les hommes d'Arsène Wenger à se débloquer psychologiquement.
Lundi soir, Arsène Wenger avait décidé de se passer de Marouane Chamakh, qui traverse une période un peu difficile, et d'Andrei Arshavin, qui ne défend pas assez dans ce genre de match, et de les remplacer par Van Persie et Walcott.
Et le technicien français a été bien inspiré. La première période a été toute rouge et blanche. Hormis une belle frappe croisée de Drogba (7e) après un ballon perdu par Koscielny, les Blues, privés d'Anelka blessé à un genou, n'ont jamais été dangereux alors qu'Arsenal n'a de cesse de pilonner le but de Petr Cech jusqu'à l'ouverture du score méritée d'Alex Song (44e).
Avant, Van Persie avait raté sa reprise (6e), Nasri cadré la sienne (22e). Puis Cech sorti le tir lobé du Français (41e) alors que Theo Walcott causait des misères à la défense bleue.
Dans une superbe ambiance, Chelsea était parvenu à bien défendre jusqu'à la 44e minute et ce une-deux Song-Wilshere qui, après un cafouillage, a permis au Camerounais d'ouvrir la marque.
Sans Nicolas Anelka, Chelsea ne parvenait pas à développer du jeu et ses contre-attaques manquaient de tranchant.
"Tu seras viré demain"
A la pause, la question était de savoir comment Arsenal allait gérer cet avantage après avoir tant souffert face à Chelsea ces dernières saisons avec deux victoires seulement lors des 13 derniers matches, dont une seule à domicile en sept ans !
La réponse allait vite arriver. Un ballon d'Essien vers son but était récupéré par Walcott qui n'avait plus qu'à décaler Fabregas pour le deuxième but des Gunners (51e). Une minute plus tard, l'Espagnol lui rendait la pareille après une grosse erreur de Florent Malouda (53e).
Dans un match fou, Ivanovic relançait les siens de la tête (57e).
L'ambiance était montée d'un cran et ce choc atteignait les sommets espérés. La ballon allait d'un but à l'autre et Nasri aurait pu inscrire un 4e but (69e), tout comme Diaby (80e).
Cela faisait neuf ans que deux clubs du Big Four ne s'étaient pas rencontrés lors du Boxing Day. Cela valait la peine d'attendre...
Surtout, Arsenal a enfin battu Chelsea et revient à deux points de Manchester United tout en reléguant Chelsea, 4e, à quatre longueurs.
Les Gunners ont ainsi enfoncé encore un peu plus les Blues qui n'ont désormais plus gagné en Premier League depuis le 11 novembre contre Fulham (1-0), soit six matches de suite au cours desquels ils ont encaissé 10 buts.
"Tu seras viré demain matin", chambraient les fans d'Arsenal à l'attention de Carlo Ancelotti, le manageur italien de Chelsea, de plus en plus sur la sellette et, pour l'instant, incapable de stopper ni même de freiner la dégringolade des champions d'Angleterre en titre.
Après 11 rencontres d'affilée sans victoires face a Chelsea et Manchester United, les Gunners ont enfin vaincu leurs démons. En livrant un match parfaitement maîtrisé et en dominant leurs illustres adversaires dans tous les compartiments du jeu, ce succès de prestige pourrait aider les hommes d'Arsène Wenger à se débloquer psychologiquement.
Lundi soir, Arsène Wenger avait décidé de se passer de Marouane Chamakh, qui traverse une période un peu difficile, et d'Andrei Arshavin, qui ne défend pas assez dans ce genre de match, et de les remplacer par Van Persie et Walcott.
Et le technicien français a été bien inspiré. La première période a été toute rouge et blanche. Hormis une belle frappe croisée de Drogba (7e) après un ballon perdu par Koscielny, les Blues, privés d'Anelka blessé à un genou, n'ont jamais été dangereux alors qu'Arsenal n'a de cesse de pilonner le but de Petr Cech jusqu'à l'ouverture du score méritée d'Alex Song (44e).
Avant, Van Persie avait raté sa reprise (6e), Nasri cadré la sienne (22e). Puis Cech sorti le tir lobé du Français (41e) alors que Theo Walcott causait des misères à la défense bleue.
Dans une superbe ambiance, Chelsea était parvenu à bien défendre jusqu'à la 44e minute et ce une-deux Song-Wilshere qui, après un cafouillage, a permis au Camerounais d'ouvrir la marque.
Sans Nicolas Anelka, Chelsea ne parvenait pas à développer du jeu et ses contre-attaques manquaient de tranchant.
"Tu seras viré demain"
A la pause, la question était de savoir comment Arsenal allait gérer cet avantage après avoir tant souffert face à Chelsea ces dernières saisons avec deux victoires seulement lors des 13 derniers matches, dont une seule à domicile en sept ans !
La réponse allait vite arriver. Un ballon d'Essien vers son but était récupéré par Walcott qui n'avait plus qu'à décaler Fabregas pour le deuxième but des Gunners (51e). Une minute plus tard, l'Espagnol lui rendait la pareille après une grosse erreur de Florent Malouda (53e).
Dans un match fou, Ivanovic relançait les siens de la tête (57e).
L'ambiance était montée d'un cran et ce choc atteignait les sommets espérés. La ballon allait d'un but à l'autre et Nasri aurait pu inscrire un 4e but (69e), tout comme Diaby (80e).
Cela faisait neuf ans que deux clubs du Big Four ne s'étaient pas rencontrés lors du Boxing Day. Cela valait la peine d'attendre...
Surtout, Arsenal a enfin battu Chelsea et revient à deux points de Manchester United tout en reléguant Chelsea, 4e, à quatre longueurs.
Les Gunners ont ainsi enfoncé encore un peu plus les Blues qui n'ont désormais plus gagné en Premier League depuis le 11 novembre contre Fulham (1-0), soit six matches de suite au cours desquels ils ont encaissé 10 buts.
"Tu seras viré demain matin", chambraient les fans d'Arsenal à l'attention de Carlo Ancelotti, le manageur italien de Chelsea, de plus en plus sur la sellette et, pour l'instant, incapable de stopper ni même de freiner la dégringolade des champions d'Angleterre en titre.