Barcelone et Madrid dominateurs
Soccer samedi, 28 oct. 2006. 19:09 vendredi, 13 déc. 2024. 23:40
MADRID (AFP) - Le FC Barcelone, facile vainqueur (3-0) de Huelva, a repris seul la tête du Championnat d'Espagne de soccer, samedi lors de la 8e journée, alors qu'un Real Madrid conquérant (3-1) à Tarragone a ravi la deuxième place à Valence, défait (1-0) à Santander.
Après la défaite à Chelsea en Ligue des Champions et le "Clasico" perdu (0-2) à Madrid, la réaction du Barça était logiquement attendue. Et face à Huelva, 10e au classement, c'est Ronaldinho, particulièrement décrié en ce début de saison, qui a remis son équipe sur les rails.
Le Brésilien a d'abord ouvert le score sur penalty (28e) pour une faute de Mario Alvarez sur l'attaquant islandais Eidur Gudjohnsen. Evénement rare en deuxième période: Ronaldinho doublait la marque de la tête. Enfin, Xavi scellait la victoire des Catalans quasiment sur la remise en jeu (59e).
"Ronnie a encore été le facteur déterminant", a déclaré l'entraîneur barcelonais Frank Rijkaard à l'issue de la rencontre. "Je suis content de ces trois buts même si nous aurions pu en marquer davantage", a-t-il ajouté.
Chef d'oeuvre de Robinho
En net regain de forme, le Real Madrid n'a pas connu de difficultés majeures sur la pelouse de Tarragone, avant-dernier au classement. Ces derniers avaient pourtant réussi à ouvrir le score sur penalty après une faute grossière de Cannavaro (1-0, 29e).
Mais la "Maison Blanche" n'a pas tremblé sur ses bases. Roberto Carlos égalisait sur coup franc peu avant la pause et le revenant Helguera donnait ensuite dès la reprise l'avantage aux siens (49e).
Le chef d'oeuvre de la soirée venait à la 85e minute: au terme d'une remarquable action menée à une touche de balle, Robinho inscrivait le troisième but d'une reprise de volée dans le petit filet.
La mauvaise opération de la soirée a été réalisée par Valence, incapable de se sortir du piège de Santander. Un but de Pedro Munitis (56e) a suffi pour faire plier les coéquipiers de David Villa, qui connaissent décidément des fortunes diverses en déplacement (nul à Barcelone, défaite à Vigo).
"Nous avons perdu contre une équipe qui a produit beaucoup d'efforts mais qui nous était inférieure. Je n'aurais jamais pu imaginer que nous puissions jouer si mal", a sèchement commenté Quique Sanchez Flores, l'entraîneur de Valence.
Dimanche, le FC Séville se déplace à Vigo et peut profiter du faux pas de Valence pour s'emparer de la deuxième place.
Après la défaite à Chelsea en Ligue des Champions et le "Clasico" perdu (0-2) à Madrid, la réaction du Barça était logiquement attendue. Et face à Huelva, 10e au classement, c'est Ronaldinho, particulièrement décrié en ce début de saison, qui a remis son équipe sur les rails.
Le Brésilien a d'abord ouvert le score sur penalty (28e) pour une faute de Mario Alvarez sur l'attaquant islandais Eidur Gudjohnsen. Evénement rare en deuxième période: Ronaldinho doublait la marque de la tête. Enfin, Xavi scellait la victoire des Catalans quasiment sur la remise en jeu (59e).
"Ronnie a encore été le facteur déterminant", a déclaré l'entraîneur barcelonais Frank Rijkaard à l'issue de la rencontre. "Je suis content de ces trois buts même si nous aurions pu en marquer davantage", a-t-il ajouté.
Chef d'oeuvre de Robinho
En net regain de forme, le Real Madrid n'a pas connu de difficultés majeures sur la pelouse de Tarragone, avant-dernier au classement. Ces derniers avaient pourtant réussi à ouvrir le score sur penalty après une faute grossière de Cannavaro (1-0, 29e).
Mais la "Maison Blanche" n'a pas tremblé sur ses bases. Roberto Carlos égalisait sur coup franc peu avant la pause et le revenant Helguera donnait ensuite dès la reprise l'avantage aux siens (49e).
Le chef d'oeuvre de la soirée venait à la 85e minute: au terme d'une remarquable action menée à une touche de balle, Robinho inscrivait le troisième but d'une reprise de volée dans le petit filet.
La mauvaise opération de la soirée a été réalisée par Valence, incapable de se sortir du piège de Santander. Un but de Pedro Munitis (56e) a suffi pour faire plier les coéquipiers de David Villa, qui connaissent décidément des fortunes diverses en déplacement (nul à Barcelone, défaite à Vigo).
"Nous avons perdu contre une équipe qui a produit beaucoup d'efforts mais qui nous était inférieure. Je n'aurais jamais pu imaginer que nous puissions jouer si mal", a sèchement commenté Quique Sanchez Flores, l'entraîneur de Valence.
Dimanche, le FC Séville se déplace à Vigo et peut profiter du faux pas de Valence pour s'emparer de la deuxième place.