Blatter appuie les partisans des Reds
Soccer dimanche, 9 mars 2008. 19:15 samedi, 14 déc. 2024. 22:10
GLENEAGLES, Ecosse - Le président de la FIFA, Sepp Blatter, a pris parti dans la tourmente entourant le club de Liverpool et ses propriétaires américains, tandis que Tom Hicks a menacé de bloquer toute participation de la part d'un consortium de Dubai.
Depuis l'Ecosse, où il participe a une réunion de la FIFA, Blatter a indiqué qu'il donnait son appui aux amateurs du club, qui ne cessent de se manifester dans l'espoir d'inciter les co-propriétaires Hicks et George Gillett fils, également propriétaire du Canadien de Montréal, à vendre l'équipe au groupe Dubaï International Capital.
"J'aime ça", a dit Blatter à propos de la ferveur démontrée par les amateurs envers leur club, ajoutant que la FIFA ne pouvait rien faire pour régler le dossier, tout en mettant en garde les autres clubs face à de telles prises de contrôle.
"Des investisseurs s'amènent parce qu'un club représente un bon investissement. Ils sont venus, et j'ignore combien d'argent ils ont investi ou combien ils ont déposé en garantie mais maintenant, si les résultats ne sont pas aussi importants qu'ils s'y attendaient, ils s'en vont, a souligné Blatter.
"Ceci représente assurément un risque auquel toutes les équipes sont confrontées...", a-t-il ajouté.
La semaine dernière, Hicks avait refusé une offre de 993 millions $ US du groupe Dubai International Capital pour céder la totalité du club.
Puis, vendredi soir, le groupe a accepté de céder à la condition émise par Hicks que George Gillett fils ne puisse vendre que 98 pour cent de sa part, ce qui équivaut à 49 pour cent des parts du club anglais.
Le négociateur en chef du groupe de Dubaï, Amanda Staveley, a déjà indiqué que le groupe investirait de l'argent pour construire un nouveau stade et pour améliorer le club.
Hicks peut bloquer toute vente éventuelle de ses actions par Gillett, une entente entre les deux stipulant qu'un des partenaires ne peut se départir de ses intérêts dans le club sans d'abord obtenir l'approbation de l'autre partenaire.
Hicks et Gillett se sont portés acquéreurs du club de Liverpool pour 431 millions $ US en mars 2007. Chacun y détient une part de 50 pour cent.
Depuis l'Ecosse, où il participe a une réunion de la FIFA, Blatter a indiqué qu'il donnait son appui aux amateurs du club, qui ne cessent de se manifester dans l'espoir d'inciter les co-propriétaires Hicks et George Gillett fils, également propriétaire du Canadien de Montréal, à vendre l'équipe au groupe Dubaï International Capital.
"J'aime ça", a dit Blatter à propos de la ferveur démontrée par les amateurs envers leur club, ajoutant que la FIFA ne pouvait rien faire pour régler le dossier, tout en mettant en garde les autres clubs face à de telles prises de contrôle.
"Des investisseurs s'amènent parce qu'un club représente un bon investissement. Ils sont venus, et j'ignore combien d'argent ils ont investi ou combien ils ont déposé en garantie mais maintenant, si les résultats ne sont pas aussi importants qu'ils s'y attendaient, ils s'en vont, a souligné Blatter.
"Ceci représente assurément un risque auquel toutes les équipes sont confrontées...", a-t-il ajouté.
La semaine dernière, Hicks avait refusé une offre de 993 millions $ US du groupe Dubai International Capital pour céder la totalité du club.
Puis, vendredi soir, le groupe a accepté de céder à la condition émise par Hicks que George Gillett fils ne puisse vendre que 98 pour cent de sa part, ce qui équivaut à 49 pour cent des parts du club anglais.
Le négociateur en chef du groupe de Dubaï, Amanda Staveley, a déjà indiqué que le groupe investirait de l'argent pour construire un nouveau stade et pour améliorer le club.
Hicks peut bloquer toute vente éventuelle de ses actions par Gillett, une entente entre les deux stipulant qu'un des partenaires ne peut se départir de ses intérêts dans le club sans d'abord obtenir l'approbation de l'autre partenaire.
Hicks et Gillett se sont portés acquéreurs du club de Liverpool pour 431 millions $ US en mars 2007. Chacun y détient une part de 50 pour cent.