Des célébrations qui dérangent
Soccer lundi, 3 oct. 2005. 14:40 vendredi, 13 déc. 2024. 23:26
MADRID (AFP) - La manière dont les joueurs brésiliens du Real Madrid fêtent leur buts depuis quelques matchs, entre eux, a soulevé une petite polémique en Espagne alors que la presse évoque lundi une possible division au sein du club espagnol de soccer.
"Le Real Madrid marque de beaux buts mais les fête mal", souligne le journal El Pais lundi, au lendemain de la facile victoire du Real Madrid face à Majorque (4-0) pour la 6e journée de la Liga, avec des buts des Brésiliens Ronaldo, Roberto Carlos (par deux fois) et Baptista.
"Les Brésiliens ont découvert l'aspect festif de la zoologie et ont mis en scène le cafard, le kangourou et le saut de cheval. Les autres regardent", ajoute El Pais.
Le premier but de Ronaldo a été fêté par les Brésiliens en imitant le kangourou, ou la grenouille. Sur le second but, Roberto Carlos, auteur d'une reprise victorieuse à la réception d'un corner de Beckham, a écarté son équipier uruguayen Pablo Garcia pour aller jouer à saute-mouton avec ses compatriotes.
"Les trois (Roberto Carlos, Ronaldo et Baptista), sous le regard de leurs équipiers, fêtent le but en faisant le saut de cheval" (ou saute-mouton), écrit le quotidien sportif Marca, favorable au club "merengue". Seul le quatrième but, marqué par Baptista, a fait l'objet d'une célébration "à l'ancienne" avec le reste de l'équipe.
"En plus d'être de mauvais goût, ce genre de célébration a un côté sectaire qui ne plaît pas aux supporteurs. Au-delà de la chorégraphie il y autre chose qu'un problème de forme. Cela ressemble à une équipe divisée, avec des clans très marqués", ajoute le journal sportif.
"A Madrid seuls les Brésiliens célèbrent les buts. Les célébrations polémiques des buts pourraient être le symptôme d'une division de l'équipe merengue", affirme le quotidien sportif Sport, favorable lui au FC Barcelone.
Les Brésiliens Ronaldo, Robinho et Roberto Carlos avaient déjà fêté un but de manière originale, en imitant la "cucaracha" (le cafard), allongés sur le dos et agitant les quatre membres, lors de la victoire 3-0 à Vitoria contre Alavés (5e journée). Le président du club promu, Dimitri Piterman, les avait qualifiés de "clowns".
"Le Real Madrid marque de beaux buts mais les fête mal", souligne le journal El Pais lundi, au lendemain de la facile victoire du Real Madrid face à Majorque (4-0) pour la 6e journée de la Liga, avec des buts des Brésiliens Ronaldo, Roberto Carlos (par deux fois) et Baptista.
"Les Brésiliens ont découvert l'aspect festif de la zoologie et ont mis en scène le cafard, le kangourou et le saut de cheval. Les autres regardent", ajoute El Pais.
Le premier but de Ronaldo a été fêté par les Brésiliens en imitant le kangourou, ou la grenouille. Sur le second but, Roberto Carlos, auteur d'une reprise victorieuse à la réception d'un corner de Beckham, a écarté son équipier uruguayen Pablo Garcia pour aller jouer à saute-mouton avec ses compatriotes.
"Les trois (Roberto Carlos, Ronaldo et Baptista), sous le regard de leurs équipiers, fêtent le but en faisant le saut de cheval" (ou saute-mouton), écrit le quotidien sportif Marca, favorable au club "merengue". Seul le quatrième but, marqué par Baptista, a fait l'objet d'une célébration "à l'ancienne" avec le reste de l'équipe.
"En plus d'être de mauvais goût, ce genre de célébration a un côté sectaire qui ne plaît pas aux supporteurs. Au-delà de la chorégraphie il y autre chose qu'un problème de forme. Cela ressemble à une équipe divisée, avec des clans très marqués", ajoute le journal sportif.
"A Madrid seuls les Brésiliens célèbrent les buts. Les célébrations polémiques des buts pourraient être le symptôme d'une division de l'équipe merengue", affirme le quotidien sportif Sport, favorable lui au FC Barcelone.
Les Brésiliens Ronaldo, Robinho et Roberto Carlos avaient déjà fêté un but de manière originale, en imitant la "cucaracha" (le cafard), allongés sur le dos et agitant les quatre membres, lors de la victoire 3-0 à Vitoria contre Alavés (5e journée). Le président du club promu, Dimitri Piterman, les avait qualifiés de "clowns".