Gillett blâme la faiblesse du dollar
Soccer vendredi, 14 mars 2008. 20:16 dimanche, 15 déc. 2024. 07:49
DANA POINT, Californie - Le copropriétaire du Liverpool FC George Gillett a déclaré vendredi que la faiblesse du dollar américain avait rendu difficile les investissements dans le club de soccer de la English Premier League.
Depuis qu'il a acquis 50 pour cent de l'équipe en mars dernier, Gillett - également propriétaire des Canadiens de Montréal de la Ligue nationale de hockey - a été frustré par le dollar américain en chute libre.
"Nos investissements à l'étranger avec Liverpool et Montréal ont eu des effets positifs au niveau de la valeur de ces clubs", a déclaré Gillett au Sports Business Journal en marge du congrès international des sports mis sur pied par le groupe de représentation IMG.
"D'un autre côté, il est maintenant beaucoup plus difficile d'investir dans ces entreprises en raison de la faiblesse du dollar présentement comparativement à celle qu'il avait au moment de se procurer ces clubs. Il nous en coûte maintenant plus pour injecter des fonds dans ces équipes, ces entreprises."
Les inquiétudes au sujet de l'économie américaine ont à nouveau fait plonger le dollar américain, qui se transigeait jeudi au niveau le plus bas de son histoire face à l'Euro.
C'est la première fois que Gillett explique un tant soit peu les raisons qui font en sorte qu'il soit intéressé à se départir de ses intérêts dans le club anglais. Tom Hicks, l'autre copropriétaire de Liverpool, a jusqu'à maintenant bloqué les tentatives de vente de Gillett au groupe émirien Dubai International Capital.
Hicks voudrait obtenir deux pour cent des actions détenues par Gillett si une telle transaction devait avoir lieu afin d'obtenir une participation de contrôle dans le club anglais.
Depuis qu'il a acquis 50 pour cent de l'équipe en mars dernier, Gillett - également propriétaire des Canadiens de Montréal de la Ligue nationale de hockey - a été frustré par le dollar américain en chute libre.
"Nos investissements à l'étranger avec Liverpool et Montréal ont eu des effets positifs au niveau de la valeur de ces clubs", a déclaré Gillett au Sports Business Journal en marge du congrès international des sports mis sur pied par le groupe de représentation IMG.
"D'un autre côté, il est maintenant beaucoup plus difficile d'investir dans ces entreprises en raison de la faiblesse du dollar présentement comparativement à celle qu'il avait au moment de se procurer ces clubs. Il nous en coûte maintenant plus pour injecter des fonds dans ces équipes, ces entreprises."
Les inquiétudes au sujet de l'économie américaine ont à nouveau fait plonger le dollar américain, qui se transigeait jeudi au niveau le plus bas de son histoire face à l'Euro.
C'est la première fois que Gillett explique un tant soit peu les raisons qui font en sorte qu'il soit intéressé à se départir de ses intérêts dans le club anglais. Tom Hicks, l'autre copropriétaire de Liverpool, a jusqu'à maintenant bloqué les tentatives de vente de Gillett au groupe émirien Dubai International Capital.
Hicks voudrait obtenir deux pour cent des actions détenues par Gillett si une telle transaction devait avoir lieu afin d'obtenir une participation de contrôle dans le club anglais.