Gillett reçoit des menaces
Soccer vendredi, 28 mars 2008. 13:01 samedi, 14 déc. 2024. 03:45
LIVERPOOL - George Gillett a révélé que son association avec Tom Hicks comme copropriétaire de l'équipe de soccer de Liverpool est devenue "intenable" et que lui et sa famille ont reçu des menaces de mort des partisans britanniques.
Le propriétaire du Canadien et du Centre Bell a précisé que ces menaces ont suivi la décision de Hicks de s'opposer à une offre d'achat d'un groupe de Dubaï, ce qui a nui depuis aux relations entre les deux riches propriétaires américains.
Gillett rumine maintenant le projet de prendre le total contrôle de l'équipe, après que Hicks, qui est également propriétaire des Stars de Dallas et des Rangers du Texas, aient songé à faire la même chose. Ce dernier a jusqu'ici toujours refusé de se débarrasser de ses parts.
Les deux hommes ont dû affronter la colère des partisans pour avoir entretenu une relation difficile avec l'entraîneur Rafa Benitez l'an dernier, mais Gillett semble avoir fait la paix avec le populaire Espagnol. Les partisans en veulent toujours à Hicks d'avoir bloqué la transaction avec le groupe de Dubaï et Gillett ne veut pas lui vendre ses parts.
"Cette association n'est plus fonctionnelle depuis quelque temps", a reconnu Gillet.
"A cause de choses qu'il a dites, la réaction des partisans est devenue tellement négative à son endroit qu'il nous est devenu impossible de lui vendre nos parts."
Gillett a affirmé recevoir 2000 courriels par semaine et que 95 d'entre eux réagissent à des déclarations de Hicks.
"Ce qui les fâche le plus est la possibilité que je puisse vendre ne serait-ce qu'une part à mon partenaire, a ajouté Gillett. Ils ne veulent pas qu'il prenne le contrôle de l'équipe."
Gillett a déclaré qu'il n'avait rien contre le fait de discuter des critiques à son endroit, mais que les menaces faites à sa famille sont une tout autre chose et l'amènent même à reconsidérer son entente avec Hicks.
"Nous avons reçu plusieurs appels au milieu de la nuit qui nous menaçaient de mort et d'autres ont été logés au bureau. Franchement, je ne pense pas qu'il soit correct de ma part d'exposer ma famille à ce genre de danger, de sorte que plutôt que de penser à vendre, je ne sais pas, peut-être allons-nous penser à acheter."
Le propriétaire du Canadien et du Centre Bell a précisé que ces menaces ont suivi la décision de Hicks de s'opposer à une offre d'achat d'un groupe de Dubaï, ce qui a nui depuis aux relations entre les deux riches propriétaires américains.
Gillett rumine maintenant le projet de prendre le total contrôle de l'équipe, après que Hicks, qui est également propriétaire des Stars de Dallas et des Rangers du Texas, aient songé à faire la même chose. Ce dernier a jusqu'ici toujours refusé de se débarrasser de ses parts.
Les deux hommes ont dû affronter la colère des partisans pour avoir entretenu une relation difficile avec l'entraîneur Rafa Benitez l'an dernier, mais Gillett semble avoir fait la paix avec le populaire Espagnol. Les partisans en veulent toujours à Hicks d'avoir bloqué la transaction avec le groupe de Dubaï et Gillett ne veut pas lui vendre ses parts.
"Cette association n'est plus fonctionnelle depuis quelque temps", a reconnu Gillet.
"A cause de choses qu'il a dites, la réaction des partisans est devenue tellement négative à son endroit qu'il nous est devenu impossible de lui vendre nos parts."
Gillett a affirmé recevoir 2000 courriels par semaine et que 95 d'entre eux réagissent à des déclarations de Hicks.
"Ce qui les fâche le plus est la possibilité que je puisse vendre ne serait-ce qu'une part à mon partenaire, a ajouté Gillett. Ils ne veulent pas qu'il prenne le contrôle de l'équipe."
Gillett a déclaré qu'il n'avait rien contre le fait de discuter des critiques à son endroit, mais que les menaces faites à sa famille sont une tout autre chose et l'amènent même à reconsidérer son entente avec Hicks.
"Nous avons reçu plusieurs appels au milieu de la nuit qui nous menaçaient de mort et d'autres ont été logés au bureau. Franchement, je ne pense pas qu'il soit correct de ma part d'exposer ma famille à ce genre de danger, de sorte que plutôt que de penser à vendre, je ne sais pas, peut-être allons-nous penser à acheter."