Le Barça et le Real en démonstration
Soccer samedi, 15 oct. 2011. 14:38 vendredi, 13 déc. 2024. 20:50
MADRID - Le FC Barcelone, auteur samedi d'une véritable démonstration (3-0) face au Racing Santander au Camp-Nou, se maintient provisoirement en tête du championnat d'Espagne, répondant du tac au tac au Real qui avait balayé plus tôt le Betis Séville (4-1) au Bernabeu, lors de la 8e journée.
Le Barça, qui compte désormais 17 points, peut toutefois encore être rejoint en tête du classement par Levante (14 points) qui accueillera dimanche les Andalous de Malaga.
Les Catalans auront connu, samedi, un match assez commode contre un Racing Santander impuissant face à la magie des combinaisons d'Iniesta et de Messi, auteur d'un doublé samedi.
La seule mauvaise nouvelle de la soirée est venue de la blessure à la cuisse droite de Piqué, le défenseur central à peine remis d'une lésion à un mollet. Il a été remplacé par le Français Eric Abidal dès les premières minutes du match.
Pour le reste, les Catalans ont littéralement assiégé le but de Tono.
Messi a une fois de plus simplifié la tâche de ses partenaires en ouvrant la marque dès la 11e minute. L'Argentin, lancé par un Iniesta remis de sa déchirure à la cuisse, s'en est allé dribbler le gardien visiteur pour glisser le ballon dans le but vide.
On retrouvait le même duo infernal à la 68e : Messi reprenait victorieusement de volée une frappe d'Iniesta repoussée par le poteau.
Xavi y était allé de son but lui aussi, en marquant, une fois n'est pas coutume, de la tête (27).
Pipita la pépite
De son côté, le Real s'en est également donné à coeur joie face au Betis Séville (4-1).
Pour porter le danger devant le but du Betis, José Mourinho avait finalement choisi Higuain plutôt que Benzema, encore à court de forme après sa blessure aux adducteurs qui l'a éloigné des terrains pendant deux semaines.
L'Argentin a une nouvelle fois inscrit un triplé après celui déjà réalisé face à l'Espanyol Barcelone (4-0), et se pose en sérieux concurrent du Français.
Ronaldo, lui, a fêté son 100e match sous le maillot Merengue. Si le Portugais n'a pas soufflé ses bougies en marquant samedi, il a tout de même délivré deux passes décisives.
Le Betis, promu de deuxième division, a toutefois posé quelques problèmes au Real Madrid, notamment en première période quand les hommes de Mourinho n'arrivaient pas à concrétiser leur domination.
Mais dès le début de la seconde période, les Merengue mettaient un terme à leur manque de réalisme. Marcelo adressait un bijou en profondeur pour Ronaldo qui servait Higuain sur un plateau. Le Real avait enfin trouvé la faille (1-0, 46). Kaka réalisait ensuite le break d'une magnifique frappe aux 16 mètres (2-0, 58).
Un rien suffisants, les Blancs étaient alors repris par leurs habituelles sautes de concentration et Molina, bien décalé par Ruben Castro, réduisait le score (2-1, 68).
C'était sans compter sur la faim de buts d'Higuain. "Pipita", la pépite, bien lancé par Di Maria, effaçait Casto (3-1, 69) avant de s'offrir le triplé d'une magnifique balle piquée au-dessus du portier andalou (4-1, 73).
Majorque est parvenu in extremis à égaliser face à Valence (1-1). Le Français Adil Rami avait pourtant permis à Valence de mener au score (39), mais les Majorquains sont revenus sur le fil grâce à un penalty (90+2).
Enfin, Getafe-Villarreal a accouché d'un match nul (0-0) un rien ennuyeux.
Le Barça, qui compte désormais 17 points, peut toutefois encore être rejoint en tête du classement par Levante (14 points) qui accueillera dimanche les Andalous de Malaga.
Les Catalans auront connu, samedi, un match assez commode contre un Racing Santander impuissant face à la magie des combinaisons d'Iniesta et de Messi, auteur d'un doublé samedi.
La seule mauvaise nouvelle de la soirée est venue de la blessure à la cuisse droite de Piqué, le défenseur central à peine remis d'une lésion à un mollet. Il a été remplacé par le Français Eric Abidal dès les premières minutes du match.
Pour le reste, les Catalans ont littéralement assiégé le but de Tono.
Messi a une fois de plus simplifié la tâche de ses partenaires en ouvrant la marque dès la 11e minute. L'Argentin, lancé par un Iniesta remis de sa déchirure à la cuisse, s'en est allé dribbler le gardien visiteur pour glisser le ballon dans le but vide.
On retrouvait le même duo infernal à la 68e : Messi reprenait victorieusement de volée une frappe d'Iniesta repoussée par le poteau.
Xavi y était allé de son but lui aussi, en marquant, une fois n'est pas coutume, de la tête (27).
Pipita la pépite
De son côté, le Real s'en est également donné à coeur joie face au Betis Séville (4-1).
Pour porter le danger devant le but du Betis, José Mourinho avait finalement choisi Higuain plutôt que Benzema, encore à court de forme après sa blessure aux adducteurs qui l'a éloigné des terrains pendant deux semaines.
L'Argentin a une nouvelle fois inscrit un triplé après celui déjà réalisé face à l'Espanyol Barcelone (4-0), et se pose en sérieux concurrent du Français.
Ronaldo, lui, a fêté son 100e match sous le maillot Merengue. Si le Portugais n'a pas soufflé ses bougies en marquant samedi, il a tout de même délivré deux passes décisives.
Le Betis, promu de deuxième division, a toutefois posé quelques problèmes au Real Madrid, notamment en première période quand les hommes de Mourinho n'arrivaient pas à concrétiser leur domination.
Mais dès le début de la seconde période, les Merengue mettaient un terme à leur manque de réalisme. Marcelo adressait un bijou en profondeur pour Ronaldo qui servait Higuain sur un plateau. Le Real avait enfin trouvé la faille (1-0, 46). Kaka réalisait ensuite le break d'une magnifique frappe aux 16 mètres (2-0, 58).
Un rien suffisants, les Blancs étaient alors repris par leurs habituelles sautes de concentration et Molina, bien décalé par Ruben Castro, réduisait le score (2-1, 68).
C'était sans compter sur la faim de buts d'Higuain. "Pipita", la pépite, bien lancé par Di Maria, effaçait Casto (3-1, 69) avant de s'offrir le triplé d'une magnifique balle piquée au-dessus du portier andalou (4-1, 73).
Majorque est parvenu in extremis à égaliser face à Valence (1-1). Le Français Adil Rami avait pourtant permis à Valence de mener au score (39), mais les Majorquains sont revenus sur le fil grâce à un penalty (90+2).
Enfin, Getafe-Villarreal a accouché d'un match nul (0-0) un rien ennuyeux.