Messi joue les sauveurs
Soccer samedi, 10 mars 2007. 18:35 samedi, 14 déc. 2024. 11:35
BARCELONE, Espagne - Le petit attaquant argentin du FC Barcelone, Lionel Messi, a retrouvé son meilleur niveau: samedi face au Real Madrid lors d'un "clasico" cinq étoiles, il a "réparé" deux erreurs défensives et offert l'égalisation à son équipe en toute fin de match (3-3).
"Ce fut un match spécial pour moi", a expliqué l'international argentin, auteur du premier triplé dans un "clasico" depuis le Brésilien Romario lors de la saison 1993-1994 (victoire 5-0 du Barça à domicile).
Le Real Madrid est passé tout près d'une 18e victoire historique en terre catalane, mais il n'a pas à rougir de son match, sans doute l'un des meilleurs de la saison, alors que se dispute ce week-end la 26e journée du Championnat d'Espagne.
Le Barça, qui a joué toute la seconde période à 10 après l'exclusion d'Oleguer à la 45e, a payé très cher ses erreurs défensives.
Le Néerlandais Ruud van Nistelrooy n'a laissé aucune chance à Victor Valdes après un mauvais dégagement de Lilian Thuram (5e). Et il n'a pas tremblé au moment de marquer un penalty (13) après une faute grossière d'Oleguer sur un Guti omniprésent pour son 300e match en Liga.
Anniversaire
Le Barça est resté dans le coup grâce à "Leo" Messi, virevoltant comme jamais, et qui a fait passer une soirée de cauchemar à son vis-à-vis, le jeune espagnol Miguel Torres, l'une des révélations de la saison côté Real Madrid.
Deux frappes du gauche, l'une en finesse, l'autre en force, et le Barça égalisait (11 et 28).
Mais l'équipe de Frank Rijkaard se retrouvait à 10 pour toute la seconde période. Samuel Eto'o, qui fêtait ses 26 ans samedi, faisait les frais du changement tactique du Néerlandais en cédant sa place à Sylvinho.
Le Real, avec un Van Nistelrooy affûté et un Gonzalo Higuain très à l'aise, appuyait et finissait par reprendre l'avantage, d'une tête renversée de Sergio Ramos (73).
Le FC Barcelone, qui n'a plus que le titre de la Liga à défendre après son élimination de la Ligue des champions, ne renonçait pas, malgré l'infériorité numérique.
Andrés Iniesta s'essayait à la frappe. Sans succès (75, 81), même si à chaque fois le coup passait près.
C'est alors que Messi surgissait une troisième fois. Pour une égalisation salutaire, le Barça reprenant la première place au FC Séville, qui se déplace dimanche en Catalogne, à Tarragone.
"Ce fut un match spécial pour moi", a expliqué l'international argentin, auteur du premier triplé dans un "clasico" depuis le Brésilien Romario lors de la saison 1993-1994 (victoire 5-0 du Barça à domicile).
Le Real Madrid est passé tout près d'une 18e victoire historique en terre catalane, mais il n'a pas à rougir de son match, sans doute l'un des meilleurs de la saison, alors que se dispute ce week-end la 26e journée du Championnat d'Espagne.
Le Barça, qui a joué toute la seconde période à 10 après l'exclusion d'Oleguer à la 45e, a payé très cher ses erreurs défensives.
Le Néerlandais Ruud van Nistelrooy n'a laissé aucune chance à Victor Valdes après un mauvais dégagement de Lilian Thuram (5e). Et il n'a pas tremblé au moment de marquer un penalty (13) après une faute grossière d'Oleguer sur un Guti omniprésent pour son 300e match en Liga.
Anniversaire
Le Barça est resté dans le coup grâce à "Leo" Messi, virevoltant comme jamais, et qui a fait passer une soirée de cauchemar à son vis-à-vis, le jeune espagnol Miguel Torres, l'une des révélations de la saison côté Real Madrid.
Deux frappes du gauche, l'une en finesse, l'autre en force, et le Barça égalisait (11 et 28).
Mais l'équipe de Frank Rijkaard se retrouvait à 10 pour toute la seconde période. Samuel Eto'o, qui fêtait ses 26 ans samedi, faisait les frais du changement tactique du Néerlandais en cédant sa place à Sylvinho.
Le Real, avec un Van Nistelrooy affûté et un Gonzalo Higuain très à l'aise, appuyait et finissait par reprendre l'avantage, d'une tête renversée de Sergio Ramos (73).
Le FC Barcelone, qui n'a plus que le titre de la Liga à défendre après son élimination de la Ligue des champions, ne renonçait pas, malgré l'infériorité numérique.
Andrés Iniesta s'essayait à la frappe. Sans succès (75, 81), même si à chaque fois le coup passait près.
C'est alors que Messi surgissait une troisième fois. Pour une égalisation salutaire, le Barça reprenant la première place au FC Séville, qui se déplace dimanche en Catalogne, à Tarragone.