Rare victoire pour Arsenal à Liverpool
Soccer dimanche, 13 déc. 2009. 13:40 jeudi, 12 déc. 2024. 00:41
LIVERPOOL - Arsenal est allé dimanche emporter sa première victoire depuis 2003 à Liverpool, 2-1, pour se rapprocher de la tête et tirer profit des faux pas la veille des autres cadors du championnat d'Angleterre lors de la 16e journée.
Des "gros bras" de la Premier League, seul Aston Villa, quatrième, l'a emporté, 1-0 sur le terrain des triples champions d'Angleterre Manchester United, deuxième. Il s'agit de la quatrième défaite des Red Devils depuis août, soit autant que durant toute la saison dernière.
Le leader, Chelsea, a été tenu en échec par Everton, victime de ses difficultés défensives du moment pour perdre ses premiers points de la saison à domicile (3-3). Tottenham, cinquième, n'a jamais surmonté l'ouverture du score rapide de Wolverhampton (0-1), tandis que Manchester City, sixième, revenu trois fois au score, n'a pu ramener mieux que le nul de son court déplacement à Bolton (3-3).
Ces résultats permettent à Arsenal de rester sur le podium, à six points de Chelsea, avec la perspective d'un match en retard à disputer contre Bolton. "Nous sommes de retour dans la course", se félicite le défenseur central Thomas Vermaelen. "Le championnat d'Angleterre est plus ouvert que jamais", selon son capitaine Cesc Fabregas.
Arshavin, bourreau d'Anfield
Pour Liverpool, septième, rien ne va plus: les Reds comptent désormais cinq points de retard sur Villa et la dernière place qualificative pour la Ligue des champions.
Ils ont pourtant parfaitement entamé la rencontre, dominant Arsenal en première période et ouvrant logiquement le score par Dirk Kuyt sur un coup franc mal repoussé par Manuel Almunia (41). Mais les Londoniens ont renversé la vapeur dès le retour de vestiaire, où, selon Cesc Fabregas, l'entraîneur Arsène Wenger "a crié comme jamais auparavant".
Le rôle du héros négatif dans ce retournement de situation a été endossé par Glen Johnson. Le latéral de Liverpool a d'abord poussé dans ses propres filets un centre de Samir Nasri légèrement détourné par Jamie Carragher (50, 1-1) avant de laisser Andreï Arshavin se jouer de lui pour un tir puissant du droit qui trouvait le poteau rentrant (58, 2-1).
Anfield réussit au Russe qui y avait réussi l'an passé un rarissime quadruplé (4-4).
Pour Rafael Benitez et ses hommes, complètement inoffensifs en seconde période, il s'agit de la sixième défaite en championnat, la dixième toutes compétitions confondues. Liverpool apparaît de moins en moins comme un digne membre du "Big Four".
Des "gros bras" de la Premier League, seul Aston Villa, quatrième, l'a emporté, 1-0 sur le terrain des triples champions d'Angleterre Manchester United, deuxième. Il s'agit de la quatrième défaite des Red Devils depuis août, soit autant que durant toute la saison dernière.
Le leader, Chelsea, a été tenu en échec par Everton, victime de ses difficultés défensives du moment pour perdre ses premiers points de la saison à domicile (3-3). Tottenham, cinquième, n'a jamais surmonté l'ouverture du score rapide de Wolverhampton (0-1), tandis que Manchester City, sixième, revenu trois fois au score, n'a pu ramener mieux que le nul de son court déplacement à Bolton (3-3).
Ces résultats permettent à Arsenal de rester sur le podium, à six points de Chelsea, avec la perspective d'un match en retard à disputer contre Bolton. "Nous sommes de retour dans la course", se félicite le défenseur central Thomas Vermaelen. "Le championnat d'Angleterre est plus ouvert que jamais", selon son capitaine Cesc Fabregas.
Arshavin, bourreau d'Anfield
Pour Liverpool, septième, rien ne va plus: les Reds comptent désormais cinq points de retard sur Villa et la dernière place qualificative pour la Ligue des champions.
Ils ont pourtant parfaitement entamé la rencontre, dominant Arsenal en première période et ouvrant logiquement le score par Dirk Kuyt sur un coup franc mal repoussé par Manuel Almunia (41). Mais les Londoniens ont renversé la vapeur dès le retour de vestiaire, où, selon Cesc Fabregas, l'entraîneur Arsène Wenger "a crié comme jamais auparavant".
Le rôle du héros négatif dans ce retournement de situation a été endossé par Glen Johnson. Le latéral de Liverpool a d'abord poussé dans ses propres filets un centre de Samir Nasri légèrement détourné par Jamie Carragher (50, 1-1) avant de laisser Andreï Arshavin se jouer de lui pour un tir puissant du droit qui trouvait le poteau rentrant (58, 2-1).
Anfield réussit au Russe qui y avait réussi l'an passé un rarissime quadruplé (4-4).
Pour Rafael Benitez et ses hommes, complètement inoffensifs en seconde période, il s'agit de la sixième défaite en championnat, la dixième toutes compétitions confondues. Liverpool apparaît de moins en moins comme un digne membre du "Big Four".