Trop petit succès de l'Inter
Soccer vendredi, 24 avr. 2009. 00:59 vendredi, 13 déc. 2024. 05:32
ROME - L'Inter s'est imposée 1 à 0 face à la Sampdoria en demi-finale retour de la Coupe d'Italie jeudi à Milan, mais c'est l'équipe de Gênes, profitant de son large succès à l'aller (3-0), qui affrontera la Lazio en finale, le 13 mai à Rome.
La Sampdoria n'avait pas disputé la finale de la Coupe depuis 1994 (victoire face à Ancône). L'Inter, elle, avait en revanche pris part aux quatre dernières finales, à chaque fois contre la Roma (victoires en 2005 et 2006, défaites en 2007 et 2008).
Avec trois buts à remonter, l'Inter s'est naturellement présentée dans une configuration très offensive face à la "Samp", avec une défense à trois et, devant, trois attaquants, Mario Balotelli, Julio Cruz et Zlatan Ibrahimovic.
Toutefois, malgré un Ibrahimovic intenable, les Nerazzurri n'ont pas réussi à marquer plus d'un but, oeuvre, naturellement, de l'attaquant suédois d'une superbe volée croisée en première période (27).
A chaque fois, ils ont échoué par maladresse ou par la faute de la bonne défense génoise qui, lorsqu'elle a craqué, a été sauvé par un poteau (sur un lob d'Ibrahimovic, 37).
En contre, les attaquants de la Sampdoria menés par Antonio Cassano et Giampaolo Pazzini, les bourreaux des Nerazzurri à l'aller, n'ont cependant pas été ridicules, mais ils sont tombés sur un gardien, Julio Cesar, également inspiré (10, 64).
Pour l'Inter, cette élimination, qui était déjà plus que probable depuis la lourde défaite à l'aller début mars, n'est toutefois pas trop pénible à avaler. Avec dix points d'avance à six journées de la fin du championnat, elle devrait très bientôt remporter son quatrième titre d'affilée, un trophée autrement plus prestigieux que la Coupe.
La Sampdoria n'avait pas disputé la finale de la Coupe depuis 1994 (victoire face à Ancône). L'Inter, elle, avait en revanche pris part aux quatre dernières finales, à chaque fois contre la Roma (victoires en 2005 et 2006, défaites en 2007 et 2008).
Avec trois buts à remonter, l'Inter s'est naturellement présentée dans une configuration très offensive face à la "Samp", avec une défense à trois et, devant, trois attaquants, Mario Balotelli, Julio Cruz et Zlatan Ibrahimovic.
Toutefois, malgré un Ibrahimovic intenable, les Nerazzurri n'ont pas réussi à marquer plus d'un but, oeuvre, naturellement, de l'attaquant suédois d'une superbe volée croisée en première période (27).
A chaque fois, ils ont échoué par maladresse ou par la faute de la bonne défense génoise qui, lorsqu'elle a craqué, a été sauvé par un poteau (sur un lob d'Ibrahimovic, 37).
En contre, les attaquants de la Sampdoria menés par Antonio Cassano et Giampaolo Pazzini, les bourreaux des Nerazzurri à l'aller, n'ont cependant pas été ridicules, mais ils sont tombés sur un gardien, Julio Cesar, également inspiré (10, 64).
Pour l'Inter, cette élimination, qui était déjà plus que probable depuis la lourde défaite à l'aller début mars, n'est toutefois pas trop pénible à avaler. Avec dix points d'avance à six journées de la fin du championnat, elle devrait très bientôt remporter son quatrième titre d'affilée, un trophée autrement plus prestigieux que la Coupe.