West Ham entre des mains britanniques
Soccer mardi, 19 janv. 2010. 11:11 dimanche, 15 déc. 2024. 12:47
LONDRES - L'homme d'affaires britannique David Sullivan a annoncé mardi avoir pris le contrôle de West Ham après avoir acheté 50% des parts du club anglais de soccer au consortium islandais qui le gérait.
"Diriger West Ham m'intéresse depuis 20 ans, et je brûle de commencer à travailler", a écrit dans un communiqué David Sullivan, un supporteur de longue date des Hammers, qui est l'ancien propriétaire d'un autre club anglais, Birmingham.
"Notre première priorité sera d'assurer le maintien de West Ham en Premier League", a-t-il poursuivi en annonçant des recrues.
West Ham connaît d'importantes difficultés économiques depuis la faillite de son propriétaire précédent, Bjorgolfur Gudmundsson, un banquier emporté par la débâcle financière islandaise.
"Nous n'aurions pas acheté ce club si ce n'était pas West Ham", a reconnu Sullivan, révélant que les dettes du club excédaient 100 millions de livres (quelque 162 millions canadiens). "Sur un plan commercial, cela n'a aucun sens d'acheter West Ham et je suis stupéfait qu'il y ait eu deux autres candidats."
"L'un d'eux est un supporteur de West Ham (ndlr: l'homme d'affaires malais Tony Fernandes), l'autre est un Italien (ndlr: Massimo Cellino) dont je ne suis pas certain qu'il ait vraiment regardé les comptes, sinon il se serait enfui", a ajouté Sullivan.
Le Britannique compte installer à la tête du club ses anciens associés à Birmingham, David Gold et Karren Brady.
Il a par ailleurs indiqué mardi qu'il comptait confirmer Gianfranco Zola au poste d'entraîneur: "Je suis catégorique, il reste. Je vais examiner avec lui les objectifs de recrutement."
"Diriger West Ham m'intéresse depuis 20 ans, et je brûle de commencer à travailler", a écrit dans un communiqué David Sullivan, un supporteur de longue date des Hammers, qui est l'ancien propriétaire d'un autre club anglais, Birmingham.
"Notre première priorité sera d'assurer le maintien de West Ham en Premier League", a-t-il poursuivi en annonçant des recrues.
West Ham connaît d'importantes difficultés économiques depuis la faillite de son propriétaire précédent, Bjorgolfur Gudmundsson, un banquier emporté par la débâcle financière islandaise.
"Nous n'aurions pas acheté ce club si ce n'était pas West Ham", a reconnu Sullivan, révélant que les dettes du club excédaient 100 millions de livres (quelque 162 millions canadiens). "Sur un plan commercial, cela n'a aucun sens d'acheter West Ham et je suis stupéfait qu'il y ait eu deux autres candidats."
"L'un d'eux est un supporteur de West Ham (ndlr: l'homme d'affaires malais Tony Fernandes), l'autre est un Italien (ndlr: Massimo Cellino) dont je ne suis pas certain qu'il ait vraiment regardé les comptes, sinon il se serait enfui", a ajouté Sullivan.
Le Britannique compte installer à la tête du club ses anciens associés à Birmingham, David Gold et Karren Brady.
Il a par ailleurs indiqué mardi qu'il comptait confirmer Gianfranco Zola au poste d'entraîneur: "Je suis catégorique, il reste. Je vais examiner avec lui les objectifs de recrutement."