FIFA: la frappe anticorruption retardée
Soccer mardi, 22 mai 2012. 11:52 dimanche, 15 déc. 2024. 01:38
BUDAPEST, Hongrie - La frappe anticorruption du président de la FIFA Sepp Blatter a subi un nouveau contretemps, mardi, mais la fédération internationale a tout de même pris le temps de nommer une première femme au sein de son comité exécutif.
La FIFA a repoussé jusqu'en juillet la nomination d'experts indépendants qui dirigeront une nouvelle unité appelée à enquêter sur les allégations de corruption.
Les critiques de la FIFA veulent voir ces nouveaux dirigeants lancer de nouvelles enquêtes sur d'anciennes allégations de corruption de certains membres influents de l'organisme.
Cependant, la FIFA a indiqué que l'un des candidats a décliné lundi l'invitation pour des raisons de santé. Le comité exécutif a donc décidé de tenir une réunion extraordinaire afin de nommer ces deux dirigeants en même temps, a indiqué la fédération par communiqué.
En octobre dernier, Blatter a promis d'identifier les dirigeants qui ont accepté des ristournes de plusieurs millions de dollars dans des ententes de partenariat liées à la Coupe du monde au cours des années 1990. Aucun développement n'a été accompli dans ce dossier depuis.
Le comité exécutif de la FIFA a cependant nommé la première femme a être admise dans son cercle très fermé de 24 hommes. C'est la Burundaise Lydia Nsekera qui a été proposée pour joindre leurs rangs. Elle accepterait un mandat initial d'un an avant qu'une élection pour ce poste exclusivement féminin n'ait lieu l'an prochain.
Nsekera est la seule présidente d'une fédéaration nationale de football. Elle est également membre du Comité international olympique.
L'industriel suisse Domenico Scala a été suggéré pour diriger un nouveau comité de vérification qui devra superviser les dépenses annuelles de la FIFA, de l'ordre d'un milliard de dollars. Les 208 pays membres de la FIFA doivent compléter ces nominations lors de leur congrès annuel de février prochain.
La FIFA a repoussé jusqu'en juillet la nomination d'experts indépendants qui dirigeront une nouvelle unité appelée à enquêter sur les allégations de corruption.
Les critiques de la FIFA veulent voir ces nouveaux dirigeants lancer de nouvelles enquêtes sur d'anciennes allégations de corruption de certains membres influents de l'organisme.
Cependant, la FIFA a indiqué que l'un des candidats a décliné lundi l'invitation pour des raisons de santé. Le comité exécutif a donc décidé de tenir une réunion extraordinaire afin de nommer ces deux dirigeants en même temps, a indiqué la fédération par communiqué.
En octobre dernier, Blatter a promis d'identifier les dirigeants qui ont accepté des ristournes de plusieurs millions de dollars dans des ententes de partenariat liées à la Coupe du monde au cours des années 1990. Aucun développement n'a été accompli dans ce dossier depuis.
Le comité exécutif de la FIFA a cependant nommé la première femme a être admise dans son cercle très fermé de 24 hommes. C'est la Burundaise Lydia Nsekera qui a été proposée pour joindre leurs rangs. Elle accepterait un mandat initial d'un an avant qu'une élection pour ce poste exclusivement féminin n'ait lieu l'an prochain.
Nsekera est la seule présidente d'une fédéaration nationale de football. Elle est également membre du Comité international olympique.
L'industriel suisse Domenico Scala a été suggéré pour diriger un nouveau comité de vérification qui devra superviser les dépenses annuelles de la FIFA, de l'ordre d'un milliard de dollars. Les 208 pays membres de la FIFA doivent compléter ces nominations lors de leur congrès annuel de février prochain.