Fin de l'expérimentation électronique
Soccer mercredi, 7 mai 2008. 12:03 dimanche, 15 déc. 2024. 05:53
PARIS - Le président de la Fédération internationale de soccer, Joseph Blatter, avait annoncé le 8 mars que la Fifa abandonnait les tests avec ballon à puce et caméras sur les lignes de but, désirant expérimenter pour l'avenir la présence de deux arbitres assistants supplémentaires.
"C'est la meilleure solution et grâce à elle le soccer va continuer à avancer. Il ne faut pas dénaturer le jeu. Il faut que ce soient les arbitres qui continuent à prendre les décisions et non les machines", avait déclaré M. Blatter pour justifier cette décision prise à l'issue de la 122e Assemblée générale de l'International Board à Gleneagles (Ecosse).
"Il y a eu plusieurs erreurs lors des expérimentations. Ensuite techniquement et logistiquement, c'est très compliqué à mettre en place. C'est également très cher", avait expliqué le président de la Fifa.
"Nous n'avons pas changé d'avis ou fait marche arrière. C'est simplement que les deux options proposées ne sont pas encore assez précises. C'est facile au tennis puisque les balles frappent le sol. C'est plus difficile au soccer. Il faut conserver la simplicité du soccer. Et s'il y a des erreurs, ce n'est pas grave", avait conclu le président de la Fifa.
Le président de l'UEFA, Michel Platini, avait acquiescé le 13 mars, en marge d'un séminaire des sélectionneurs: "Pour la vidéo, si on la prend pour voir si la balle était bien rentrée ou pas, on va voir aussi que 10 secondes avant, il y avait faute du défenseur sur l'attaquant, et puis qu'un peu avant encore, si on remonte, il y avait une autre faute et ainsi de suite... On hache le jeu. C'est impossible."
"On a dit non à la technologie car c'est trop compliqué et trop coûteux, mais on a dit qu'on voulait aider les arbitres, même si certains n'ont pas compris cela, avait poursuivi M. Platini. L'arbitrage qui a été fait à trois, aujourd'hui, a peut-être trouvé ses limites. Je le sais en tant qu'ancien joueur: si moi je simulais, c'est parce que l'arbitre ne pouvait pas tout voir sur le terrain. Il faut plus d'yeux pour aider l'arbitre central. On n'en est pas encore à ajouter deux arbitres, on va faire un test pour voir comment on fait pour mettre deux autres arbitres assistants. C'est la Fifa qui va décider, on va faire des tests pour les compétitions de jeunes."
"C'est la meilleure solution et grâce à elle le soccer va continuer à avancer. Il ne faut pas dénaturer le jeu. Il faut que ce soient les arbitres qui continuent à prendre les décisions et non les machines", avait déclaré M. Blatter pour justifier cette décision prise à l'issue de la 122e Assemblée générale de l'International Board à Gleneagles (Ecosse).
"Il y a eu plusieurs erreurs lors des expérimentations. Ensuite techniquement et logistiquement, c'est très compliqué à mettre en place. C'est également très cher", avait expliqué le président de la Fifa.
"Nous n'avons pas changé d'avis ou fait marche arrière. C'est simplement que les deux options proposées ne sont pas encore assez précises. C'est facile au tennis puisque les balles frappent le sol. C'est plus difficile au soccer. Il faut conserver la simplicité du soccer. Et s'il y a des erreurs, ce n'est pas grave", avait conclu le président de la Fifa.
Le président de l'UEFA, Michel Platini, avait acquiescé le 13 mars, en marge d'un séminaire des sélectionneurs: "Pour la vidéo, si on la prend pour voir si la balle était bien rentrée ou pas, on va voir aussi que 10 secondes avant, il y avait faute du défenseur sur l'attaquant, et puis qu'un peu avant encore, si on remonte, il y avait une autre faute et ainsi de suite... On hache le jeu. C'est impossible."
"On a dit non à la technologie car c'est trop compliqué et trop coûteux, mais on a dit qu'on voulait aider les arbitres, même si certains n'ont pas compris cela, avait poursuivi M. Platini. L'arbitrage qui a été fait à trois, aujourd'hui, a peut-être trouvé ses limites. Je le sais en tant qu'ancien joueur: si moi je simulais, c'est parce que l'arbitre ne pouvait pas tout voir sur le terrain. Il faut plus d'yeux pour aider l'arbitre central. On n'en est pas encore à ajouter deux arbitres, on va faire un test pour voir comment on fait pour mettre deux autres arbitres assistants. C'est la Fifa qui va décider, on va faire des tests pour les compétitions de jeunes."