"Il est temps de faire quelque chose"
Soccer mardi, 1 sept. 2009. 13:03 dimanche, 15 déc. 2024. 10:25
En conférence de presse mardi matin, le président de l'Impact de Montréal, Joey Saputo, a rassuré tout le monde en affirmant que la formation montréalaise jouera en 2010. Reste à savoir dans quelle ligue.
"On a décidé qu'il est temps de faire quelque chose, a lancé Saputo. Les USL, c'est le seul exemple que je connais où les propriétaires d'une ligue ne sont pas les propriétaires des équipes qui la composent. On n'a pas de droit au niveau du marketing, on n'a aucun droit. C'est ça qu'on veut changer."
Certains scénarios sont sur la table présentement. Le onze montréalais pourrait continuer d'évoluer dans les USL ou créer sa propre ligue. On parle ici d'une ligue entre huit et douze équipes qui comprendrait plusieurs formations actuelles des USL, comme le Minnesota, Vancouver et la Caroline.
C'est donc une partie de bras de fer que se livrent l'Association des propriétaires des USL et les nouveaux propriétaires du circuit, NuRock.
M. Saputo réitère toutefois que les plans de l'organisation n'ont pas changé. Il souhaite graduer en MLS en 2011 ou 2012. Toutefois, il explique livrer cette bataille car il est lié aux USL depuis 1993 et il n'a pas caché qu'une autre autre équipe de la province pourrait se joindre aux USL lorsque Montréal sera dans la MLS.
"Le jour où Montréal quittera pour la MLS, la porte sera ouverte pour une autre ville québécoise en USL."
Les propriétaires veulent le contrôle
Lundi, les propriétaires d'équipes de première division des USL ont affirmé être mécontents du fait que la société Nike eut vendu la ligue la semaine dernière à NuRock Soccer, une entreprise d'Atlanta.
Ces propriétaires réclament que la ligue leur appartienne et qu'ils en aient le contrôle. Ils se disent "extrêmement déçus" de la décision de Nike de vendre la ligue. Le fabricant d'articles de sport demeurera un commanditaire de la USL.
L'Association des propriétaires d'équipes de la USL-1 se dit prête à envisager "tous les moyens" pour prendre le contrôle de la ligue. Elle dit vouloir restructurer la ligue selon les règles de la FIFA, l'organisme qui gouverne le soccer dans le monde et qui recommande que les ligues soient sous le contrôle des équipes qui les composent.
"On a décidé qu'il est temps de faire quelque chose, a lancé Saputo. Les USL, c'est le seul exemple que je connais où les propriétaires d'une ligue ne sont pas les propriétaires des équipes qui la composent. On n'a pas de droit au niveau du marketing, on n'a aucun droit. C'est ça qu'on veut changer."
Certains scénarios sont sur la table présentement. Le onze montréalais pourrait continuer d'évoluer dans les USL ou créer sa propre ligue. On parle ici d'une ligue entre huit et douze équipes qui comprendrait plusieurs formations actuelles des USL, comme le Minnesota, Vancouver et la Caroline.
C'est donc une partie de bras de fer que se livrent l'Association des propriétaires des USL et les nouveaux propriétaires du circuit, NuRock.
M. Saputo réitère toutefois que les plans de l'organisation n'ont pas changé. Il souhaite graduer en MLS en 2011 ou 2012. Toutefois, il explique livrer cette bataille car il est lié aux USL depuis 1993 et il n'a pas caché qu'une autre autre équipe de la province pourrait se joindre aux USL lorsque Montréal sera dans la MLS.
"Le jour où Montréal quittera pour la MLS, la porte sera ouverte pour une autre ville québécoise en USL."
Les propriétaires veulent le contrôle
Lundi, les propriétaires d'équipes de première division des USL ont affirmé être mécontents du fait que la société Nike eut vendu la ligue la semaine dernière à NuRock Soccer, une entreprise d'Atlanta.
Ces propriétaires réclament que la ligue leur appartienne et qu'ils en aient le contrôle. Ils se disent "extrêmement déçus" de la décision de Nike de vendre la ligue. Le fabricant d'articles de sport demeurera un commanditaire de la USL.
L'Association des propriétaires d'équipes de la USL-1 se dit prête à envisager "tous les moyens" pour prendre le contrôle de la ligue. Elle dit vouloir restructurer la ligue selon les règles de la FIFA, l'organisme qui gouverne le soccer dans le monde et qui recommande que les ligues soient sous le contrôle des équipes qui les composent.