L'entraîneur néerlandais exige l'unité
Soccer mardi, 29 juin 2010. 14:07 jeudi, 12 déc. 2024. 16:45
DURBAN, Afrique du Sud - Le sélectionneur néerlandais Bert van Marwijk a exigé l'unité chez ses joueurs, mardi, alors que la réaction colérique de Robin van Persie après sa substitution contre la Slovaquie menaçait de perturber l'équipe en vue de son match des quarts de finale contre le Brésil.
Van Marwijk a déclaré mardi qu'il avait convoqué une réunion d'équipe après que l'attaquant du Arsenal eut affirmé, selon des médias néerlandais, que c'est le milieu Wesley Sneijder qui aurait dû être rappelé au banc, plutôt que lui, durant la victoire de 2-1 contre la Slovaquie au deuxième tour.
"Je n'accepterai jamais quoi que ce soit qui pourrait perturber la préparation du prochain match", a déclaré Van Marwijk au diffuseur national des Pays-Bas NOS.
"J'ai parlé à Robin et il est sensé avoir dit quelque chose à propos de Wesley, a affirmé Van Marwijk. J'ai parlé à Wesley et après cela, j'ai réuni les joueurs... et je leur ai dit ce que je pensais et ensuite, j'ai tiré une ligne en-dessous."
Le sélectionneur n'a pas précisé ce qu'il avait dit aux joueurs, mais sa réaction rapide avait manifestement pour but de préserver l'unité au sein du groupe à quelques jours du match crucial des quarts de finale, qui sera disputé vendredi à Port Elizabeth.
Les campagnes précédentes des Pays-Bas à la Coupe du monde ont souvent été gâchées par des disputes à l'interne, mais l'équipe semblait unie jusqu'ici en Afrique du Sud.
Van Marwijk a insisté pour dire qu'il avait tué la récente dispute dans l'oeuf.
"J'ai toujours dit que cela ne me dérange pas si quelque chose arrive - si cela peut te rendre plus fort - mais je n'aime pas laisser le problème en suspens, a-t-il dit. C'est fini. Pour tout le monde."
Van Persie et Sneijder n'ont pas rencontré les médias, mardi, mais Van Persie a nié lundi avoir déclaré que Sneijder aurait dû être le joueur rappelé au banc plutôt que lui.
Van Marwijk a indiqué qu'il n'a pas entendu ce que Van Persie lui a dit après la substitution à cause du bruit des vuvuzelas dans le stade. Sneijder n'a pas rencontré les journalistes après la rencontre contre la Slovaquie.
La relation entre Van Persie et Sneijder a parfois été tendue par le passé, du moins depuis qu'ils se sont disputés publiquement pour déterminer qui prendrait un coup franc lors d'un match des quarts de finale de l'Euro 2008. Les Pays-Bas s'étaient alors inclinés contre la Russie.
Van Persie était visiblement en colère après la substitution de lundi, estimant que le vent allait tourner en sa faveur.
"Je voulais finir le match. Je voyais qu'ils allaient prendre des risques dans les 10 dernières minutes et je voulais exploiter cela, a déclaré Van Persie après le match. Je voyais des espaces s'ouvrir et je voulais en profiter, alors j'étais un peu surpris quand on m'a demandé de sortir."
L'attaquant, qui n'a marqué qu'un but à la Coupe du monde, a semblé faire des reproches à Van Marwijk sur la ligne de touche avant de s'asseoir au banc.
Dans les minutes suivant la rencontre, Van Marwijk a cherché à minimiser l'importance de l'incident impliquant son premier attaquant, qui a marqué 19 buts en 48 matchs internationaux.
"Je lui ai serré la main et j'ai compris qu'il était déçu, ce n'est pas une mauvaise chose, a commenté Van Marwijk, lundi. Tout le monde veut jouer le match au complet."
Van Marwijk a déclaré mardi qu'il avait convoqué une réunion d'équipe après que l'attaquant du Arsenal eut affirmé, selon des médias néerlandais, que c'est le milieu Wesley Sneijder qui aurait dû être rappelé au banc, plutôt que lui, durant la victoire de 2-1 contre la Slovaquie au deuxième tour.
"Je n'accepterai jamais quoi que ce soit qui pourrait perturber la préparation du prochain match", a déclaré Van Marwijk au diffuseur national des Pays-Bas NOS.
"J'ai parlé à Robin et il est sensé avoir dit quelque chose à propos de Wesley, a affirmé Van Marwijk. J'ai parlé à Wesley et après cela, j'ai réuni les joueurs... et je leur ai dit ce que je pensais et ensuite, j'ai tiré une ligne en-dessous."
Le sélectionneur n'a pas précisé ce qu'il avait dit aux joueurs, mais sa réaction rapide avait manifestement pour but de préserver l'unité au sein du groupe à quelques jours du match crucial des quarts de finale, qui sera disputé vendredi à Port Elizabeth.
Les campagnes précédentes des Pays-Bas à la Coupe du monde ont souvent été gâchées par des disputes à l'interne, mais l'équipe semblait unie jusqu'ici en Afrique du Sud.
Van Marwijk a insisté pour dire qu'il avait tué la récente dispute dans l'oeuf.
"J'ai toujours dit que cela ne me dérange pas si quelque chose arrive - si cela peut te rendre plus fort - mais je n'aime pas laisser le problème en suspens, a-t-il dit. C'est fini. Pour tout le monde."
Van Persie et Sneijder n'ont pas rencontré les médias, mardi, mais Van Persie a nié lundi avoir déclaré que Sneijder aurait dû être le joueur rappelé au banc plutôt que lui.
Van Marwijk a indiqué qu'il n'a pas entendu ce que Van Persie lui a dit après la substitution à cause du bruit des vuvuzelas dans le stade. Sneijder n'a pas rencontré les journalistes après la rencontre contre la Slovaquie.
La relation entre Van Persie et Sneijder a parfois été tendue par le passé, du moins depuis qu'ils se sont disputés publiquement pour déterminer qui prendrait un coup franc lors d'un match des quarts de finale de l'Euro 2008. Les Pays-Bas s'étaient alors inclinés contre la Russie.
Van Persie était visiblement en colère après la substitution de lundi, estimant que le vent allait tourner en sa faveur.
"Je voulais finir le match. Je voyais qu'ils allaient prendre des risques dans les 10 dernières minutes et je voulais exploiter cela, a déclaré Van Persie après le match. Je voyais des espaces s'ouvrir et je voulais en profiter, alors j'étais un peu surpris quand on m'a demandé de sortir."
L'attaquant, qui n'a marqué qu'un but à la Coupe du monde, a semblé faire des reproches à Van Marwijk sur la ligne de touche avant de s'asseoir au banc.
Dans les minutes suivant la rencontre, Van Marwijk a cherché à minimiser l'importance de l'incident impliquant son premier attaquant, qui a marqué 19 buts en 48 matchs internationaux.
"Je lui ai serré la main et j'ai compris qu'il était déçu, ce n'est pas une mauvaise chose, a commenté Van Marwijk, lundi. Tout le monde veut jouer le match au complet."