"L'Impact a joué en équipe"
Soccer lundi, 20 sept. 2004. 18:08 mercredi, 11 déc. 2024. 19:37
(RDS) - Deux jours après que l'Impact ait remporté le championnat de la A-League pour la première fois en dix ans, le président de l'équipe, Joey Saputo, s'est à peine remis des émotions qu'il a vécues samedi soir.
Après la victoire de l'Impact, les joueurs ont célébré dans le vestiaire... et Saputo y est passé en recevant une énorme douche d'eau glacée sur la tête, gracieuseté de ses employés.
L'impact n'avait pas savouré de championnat depuis 1994. Il était donc normal de fêter en grand.
"L'habit que je portais samedi n'est plus portable mais ce n'est pas grave", a déclaré Saputo lundi.
De toutes les éditions de l'Impact, Saputo est convaincu qu'il s'agit de la meilleure qu'il a vue. Peut-être pas au niveau des talents individuels dans la formation, mais à un degré bien plus important...
"L'an passé on avait une bonne équipe mais il y avait trop d'efforts individuels. Cette année, on a joué en équipe, du meilleur joueur au dernier réserviste. C'était exceptionnel".
Le Complexe sportif Claude-Robillard débordait pour la finale. Plus de 13 600 spectateurs dans un stade qui avait une capacité augmentée à 10 100 sièges pour cette rencontre seulement. Joey Saputo rêve d'un nouveau domicile pour l'équipe, mais pas avant quelques années. Le stade Percival-Molson n'est même pas une option.
"On l'a vu samedi soir, lorsqu'il y a des spectateurs assis sur le gazon à proximité du terrain ça donne une superbe ambiance. J'aime mieux rester dans un stade plein à craquer qu'un stade de 20 000 places rempli à moitié", ajoute-t-il.
La bonne nouvelle pour les amateurs, c'est que selon Joey Saputo, l'Impact ne devrait pas perdre d'éléments importants en vue de la prochaine saison. En fait, le président de l'équipe songe même à aller chercher encore un peu de renfort à l'attaque.
Par ailleurs, l'Impact partagera à nouveau les joies de son championnat avec ses partisans cette semaine. La direction de l'équipe est en négociation avec la ville de Montréal afin d'organiser un rassemblement avec les amateurs qui aurait lieu mercredi ou jeudi.
Après la victoire de l'Impact, les joueurs ont célébré dans le vestiaire... et Saputo y est passé en recevant une énorme douche d'eau glacée sur la tête, gracieuseté de ses employés.
L'impact n'avait pas savouré de championnat depuis 1994. Il était donc normal de fêter en grand.
"L'habit que je portais samedi n'est plus portable mais ce n'est pas grave", a déclaré Saputo lundi.
De toutes les éditions de l'Impact, Saputo est convaincu qu'il s'agit de la meilleure qu'il a vue. Peut-être pas au niveau des talents individuels dans la formation, mais à un degré bien plus important...
"L'an passé on avait une bonne équipe mais il y avait trop d'efforts individuels. Cette année, on a joué en équipe, du meilleur joueur au dernier réserviste. C'était exceptionnel".
Le Complexe sportif Claude-Robillard débordait pour la finale. Plus de 13 600 spectateurs dans un stade qui avait une capacité augmentée à 10 100 sièges pour cette rencontre seulement. Joey Saputo rêve d'un nouveau domicile pour l'équipe, mais pas avant quelques années. Le stade Percival-Molson n'est même pas une option.
"On l'a vu samedi soir, lorsqu'il y a des spectateurs assis sur le gazon à proximité du terrain ça donne une superbe ambiance. J'aime mieux rester dans un stade plein à craquer qu'un stade de 20 000 places rempli à moitié", ajoute-t-il.
La bonne nouvelle pour les amateurs, c'est que selon Joey Saputo, l'Impact ne devrait pas perdre d'éléments importants en vue de la prochaine saison. En fait, le président de l'équipe songe même à aller chercher encore un peu de renfort à l'attaque.
Par ailleurs, l'Impact partagera à nouveau les joies de son championnat avec ses partisans cette semaine. La direction de l'équipe est en négociation avec la ville de Montréal afin d'organiser un rassemblement avec les amateurs qui aurait lieu mercredi ou jeudi.