L'Impact profitera-t-il du départ des Expos?
Soccer jeudi, 28 avr. 2005. 16:57 samedi, 14 déc. 2024. 01:44
(RDS) - Avec le déménagement des Expos pour Washington, on est en droit de se demander si l'Impact pourra profiter de ce vide sur le plan sportif. D'entrée de jeu, on est porté à croire que le départ des Expos n'aura pas de répercussions sur l'Impact. On pourrait cependant avoir des surprises.
"On commence à voir dans nos abonnés des gens qui avaient des billets de saison au baseball. Ils veulent maintenant essayer le soccer. Au début, je ne croyais pas que cela était pour nous aider, mais là je commence à penser que oui", indique Joey Saputo.
"Ça peut nous aider, mais nous ne voulons pas construire avec le malheur des autres. Nous voulons gagner notre popularité avec des amateurs de hockey et de baseball. Il y a beaucoup de gens qui découvrent le soccer", ajoute le défenseur Gabriel Gervais.
Pour l'entraîneur de l'Impact, la popularité de son équipe n'est pas vraiment reliée à la disparition d'un club comme les Expos.
"Je ne crois pas que les Expos nous faisaient mal, il s'agit de deux clientèles différentes, deux foules différentes. Il faut continuer à vendre le soccer car on n'a pas la tradition du Canadien ou des Alouettes", pense Nick DeSantis.
Dans les milieux du soccer québécois, on croit que cela va aider.
"Si l'Impact continue de bien faire, il y a des gens qui vont chercher une activité le vendredi soir le samedi soir et les Montréalais aiment les gagnants", ajoute Rudy Doliscat, un ancien joueur de l'Impact.
"Il y a plus de gens qui vont aller voir l'Impact. Déjà, ils sont populaires. La sortie des Expos, c'est dommage pour le Québec", pense Andréanne Gagné, membre de l'Équipe Québec des moins de 18 ans.
"C'est vrai que l'Impact n'a pas été beaucoup couvert. Ils ont gagné. Là, on en parle plus, ce serait plaisant qu'ils prennent la place des Expos. Ce sont des Québécois", ajoute sa coéquipière Myriam Bouchard.
Sur le plan médiatique, l'Impact pourrait profiter du vide créé par le départ des Expos.
"Si on continue à avoir de bonnes foules, les départements de sports des différents médias vont nous couvrir plus assidûment", ajoute Saputo.
Depuis trois ans, l'Impact a orienté ses efforts vers une clientèle très québécoise qui répond de plus en plus à l'appel.
"On commence à voir dans nos abonnés des gens qui avaient des billets de saison au baseball. Ils veulent maintenant essayer le soccer. Au début, je ne croyais pas que cela était pour nous aider, mais là je commence à penser que oui", indique Joey Saputo.
"Ça peut nous aider, mais nous ne voulons pas construire avec le malheur des autres. Nous voulons gagner notre popularité avec des amateurs de hockey et de baseball. Il y a beaucoup de gens qui découvrent le soccer", ajoute le défenseur Gabriel Gervais.
Pour l'entraîneur de l'Impact, la popularité de son équipe n'est pas vraiment reliée à la disparition d'un club comme les Expos.
"Je ne crois pas que les Expos nous faisaient mal, il s'agit de deux clientèles différentes, deux foules différentes. Il faut continuer à vendre le soccer car on n'a pas la tradition du Canadien ou des Alouettes", pense Nick DeSantis.
Dans les milieux du soccer québécois, on croit que cela va aider.
"Si l'Impact continue de bien faire, il y a des gens qui vont chercher une activité le vendredi soir le samedi soir et les Montréalais aiment les gagnants", ajoute Rudy Doliscat, un ancien joueur de l'Impact.
"Il y a plus de gens qui vont aller voir l'Impact. Déjà, ils sont populaires. La sortie des Expos, c'est dommage pour le Québec", pense Andréanne Gagné, membre de l'Équipe Québec des moins de 18 ans.
"C'est vrai que l'Impact n'a pas été beaucoup couvert. Ils ont gagné. Là, on en parle plus, ce serait plaisant qu'ils prennent la place des Expos. Ce sont des Québécois", ajoute sa coéquipière Myriam Bouchard.
Sur le plan médiatique, l'Impact pourrait profiter du vide créé par le départ des Expos.
"Si on continue à avoir de bonnes foules, les départements de sports des différents médias vont nous couvrir plus assidûment", ajoute Saputo.
Depuis trois ans, l'Impact a orienté ses efforts vers une clientèle très québécoise qui répond de plus en plus à l'appel.