L'Impact se prépare à affronter les Whitecaps
Soccer mardi, 16 juil. 2002. 14:37 vendredi, 13 déc. 2024. 21:37
MONTREAL L'entraîneur montréalais Bob Lilley entend bien compléter la première moitié de la saison 2002 sur une note victorieuse, mercredi, alors que l'Impact affrontera les Whitecaps de Vancouver au complexe sportif Claude-Robillard.
«C'est important de s'établir à titre d'équipe gagnante, déclare Lilley au sujet de sa formation, qui a un dossier de 6-5-2. Quand tu te retrouves au-dessus de la barre de ,500, tu ne veux pas te mettre à redescendre.»
«C'est toujours important de gagner, mais c'est crucial de compléter la première moitié de saison avec une victoire parce que ça nous permet de bien lancer la deuxième partie du calendrier», affirme le gardien Paul Shepherd, qui a disputé six saisons à Vancouver. Les deux formations canadiennes s'affronteront pour la première fois cette saison lors d'un match qui sera télédiffusé en direct à RDS à partir de 19h30.
CORIACES MALGRÉ TOUT
Les Whitecaps s'amèneront à Montréal avec un dossier de 7-6-4. Ils sont invaincus à leurs cinq plus récents matchs (3-0-2). Une victoire de 4-0 contre le Storm de Calgary, dimanche, leur a permis de s'emparer du deuxième rang dans la section Pacifique. Même si la A-League a dû prendre la gestion des Whitecaps en mains parce que l'ancien propriétaire a décidé de se désister en tout début de saison, il n'en paraît rien sur le terrain, du moins depuis deux semaines.
«Ils ont de la profondeur et de bons joueurs locaux, qui sont en mesure de surmonter tout ça, comme nous l'avons fait la saison dernière, souligne Shepherd. Il est à souhaiter qu'ils trouveront de nouveaux propriétaires et que l'histoire aura une fin heureuse, comme ça été le cas pour nous l'an passé.»
«Ils n'ont pas perdu de joueurs. Même qu'ils en ont ajouté avec l'arrivée de Nick Dasovic et Chris Franks, fait remarquer Giuliano Oliviero, un autre ancien porte-couleurs du club de Vancouver. Ils ont toujours eu beaucoup de talent, mais il leur manquait un peu de leadership. Ce n'est plus le cas avec Dasovic et Franks. Ils ne feront que s'améliorer.»
«C'est une bonne équipe et, d'ici la fin de la saison, ils seront l'une des meilleures formations de la ligue, certainement capable d'aller loin lors des séries», ajoute Lilley.
PLUSIEURS VISAGES FAMILIERS
L'affrontement de mercredi aura des airs de réunion de famille. Du côté des Whitecaps, Nick Dasovic, Niall Thompson et Jim Larkin ont déjà joué à Montréal, tandis que chez l'Impact, Shepherd, Oliviero et Eduardo Sebrango ont déjà brillé à Vancouver. Dasovic, qui a aidé l'Impact à rafler le championnat de la A-League en 1994, est de retour dans sa province natale à la suite d'un séjour de six ans en Ecosse avec St. Johnstone. «L'expérience a été très positive, dit Dasovic. C'est toujours excitant d'affronter de grands clubs comme Celtic et les Rangers. Nous avons également joué des matchs de la Coupe de l'UEFA, ce qui est toujours très spécial.»
«C'est important de s'établir à titre d'équipe gagnante, déclare Lilley au sujet de sa formation, qui a un dossier de 6-5-2. Quand tu te retrouves au-dessus de la barre de ,500, tu ne veux pas te mettre à redescendre.»
«C'est toujours important de gagner, mais c'est crucial de compléter la première moitié de saison avec une victoire parce que ça nous permet de bien lancer la deuxième partie du calendrier», affirme le gardien Paul Shepherd, qui a disputé six saisons à Vancouver. Les deux formations canadiennes s'affronteront pour la première fois cette saison lors d'un match qui sera télédiffusé en direct à RDS à partir de 19h30.
CORIACES MALGRÉ TOUT
Les Whitecaps s'amèneront à Montréal avec un dossier de 7-6-4. Ils sont invaincus à leurs cinq plus récents matchs (3-0-2). Une victoire de 4-0 contre le Storm de Calgary, dimanche, leur a permis de s'emparer du deuxième rang dans la section Pacifique. Même si la A-League a dû prendre la gestion des Whitecaps en mains parce que l'ancien propriétaire a décidé de se désister en tout début de saison, il n'en paraît rien sur le terrain, du moins depuis deux semaines.
«Ils ont de la profondeur et de bons joueurs locaux, qui sont en mesure de surmonter tout ça, comme nous l'avons fait la saison dernière, souligne Shepherd. Il est à souhaiter qu'ils trouveront de nouveaux propriétaires et que l'histoire aura une fin heureuse, comme ça été le cas pour nous l'an passé.»
«Ils n'ont pas perdu de joueurs. Même qu'ils en ont ajouté avec l'arrivée de Nick Dasovic et Chris Franks, fait remarquer Giuliano Oliviero, un autre ancien porte-couleurs du club de Vancouver. Ils ont toujours eu beaucoup de talent, mais il leur manquait un peu de leadership. Ce n'est plus le cas avec Dasovic et Franks. Ils ne feront que s'améliorer.»
«C'est une bonne équipe et, d'ici la fin de la saison, ils seront l'une des meilleures formations de la ligue, certainement capable d'aller loin lors des séries», ajoute Lilley.
PLUSIEURS VISAGES FAMILIERS
L'affrontement de mercredi aura des airs de réunion de famille. Du côté des Whitecaps, Nick Dasovic, Niall Thompson et Jim Larkin ont déjà joué à Montréal, tandis que chez l'Impact, Shepherd, Oliviero et Eduardo Sebrango ont déjà brillé à Vancouver. Dasovic, qui a aidé l'Impact à rafler le championnat de la A-League en 1994, est de retour dans sa province natale à la suite d'un séjour de six ans en Ecosse avec St. Johnstone. «L'expérience a été très positive, dit Dasovic. C'est toujours excitant d'affronter de grands clubs comme Celtic et les Rangers. Nous avons également joué des matchs de la Coupe de l'UEFA, ce qui est toujours très spécial.»