L'Impact veut poursuivre sur sa lancée
Soccer mardi, 5 oct. 2010. 16:39 jeudi, 12 déc. 2024. 15:12
Place aux séries dans la deuxième division de la USSF. En quart de finale, l'Impact croise le fer avec les Aztex d'Austin, qui présentent la meilleure fiche offensive du circuit. Mais quelle équipe a le plus haut niveau de confiance?
« Depuis je suis l'entraîneur de l'Impact, je n'ai jamais vu un groupe aussi fort que celui-ci », avoue Marc Dos Santos.
L'excellente fin de saison du onze montréalais permet à l'équipe de déborder de confiance avant d'amorcer la défense de son titre. Si l'Impact a terminé la campagne en force, c'est tout le contraire pour les Aztex.
À leurs sept derniers matchs, le Montréalais n'a subi qu'une seule défaite et n'a accordé que trois buts. C'est l'inverse pour Austin, qui n'a signé que deux victoires et n'a pas gagné sur les terrains adverses depuis le 29 juin.
« Je sens les gars extrêmement motivés », indique Dos Santos. « Tout le monde est sur la même page. »
« Dans les séries, c'est l'équipe qui a le vent dans les voiles qui gagne les championnats », poursuit le capitaine de l'Impact Nevio Pizzolitto.
« Il y a une excellente chimie dans l'équipe présentement », renchérit Antonio Ribeiro. « Chaque joueur est prêt à se battre pour son coéquipier. »
« La victoire appelle la victoire et cela gonfle l'état d'esprit de tout le monde », philosophe quant à lui Philippe Billy.
Du côté des Aztex, malgré la fin de saison décevante, l'ambiance est à son mieux dans l'équipe.
« Nous avons mal terminé la saison, mais nous avons hâte au match de mercredi », révèle l'entraîneur-chef Adrian Heath. « Ce sera difficile, mais l'ambiance est bonne et nous sommes concentrés. »
Pour l'Impact, le premier match de la série aller-retour est crucial, puisqu'il est difficile de connaître du succès à Austin où les rencontres sont jouées sur un terrain de football synthétique. Bref, une victoire mercredi faciliterait grandement les choses.
« C'est difficile à Austin, il fait très chaud », confie Eduardo Sebrango, qui a inscrit quatre buts à ses huit dernières parties. « Nous connaissons l'importance du match de mercredi. »
« Nous ne voulons pas perdre le premier match et quitter vers Austin », conclut Pizzolitto. « Ils jouent un système plus direct sur un très petit terrain. »
Plusieurs bons billets sont encore disponibles pour le match de mercredi soir. Les partisans sont invités à porter du bleu pour encourager l'Impact.
*D'après un reportage de Patrick Friolet
« Depuis je suis l'entraîneur de l'Impact, je n'ai jamais vu un groupe aussi fort que celui-ci », avoue Marc Dos Santos.
L'excellente fin de saison du onze montréalais permet à l'équipe de déborder de confiance avant d'amorcer la défense de son titre. Si l'Impact a terminé la campagne en force, c'est tout le contraire pour les Aztex.
À leurs sept derniers matchs, le Montréalais n'a subi qu'une seule défaite et n'a accordé que trois buts. C'est l'inverse pour Austin, qui n'a signé que deux victoires et n'a pas gagné sur les terrains adverses depuis le 29 juin.
« Je sens les gars extrêmement motivés », indique Dos Santos. « Tout le monde est sur la même page. »
« Dans les séries, c'est l'équipe qui a le vent dans les voiles qui gagne les championnats », poursuit le capitaine de l'Impact Nevio Pizzolitto.
« Il y a une excellente chimie dans l'équipe présentement », renchérit Antonio Ribeiro. « Chaque joueur est prêt à se battre pour son coéquipier. »
« La victoire appelle la victoire et cela gonfle l'état d'esprit de tout le monde », philosophe quant à lui Philippe Billy.
Du côté des Aztex, malgré la fin de saison décevante, l'ambiance est à son mieux dans l'équipe.
« Nous avons mal terminé la saison, mais nous avons hâte au match de mercredi », révèle l'entraîneur-chef Adrian Heath. « Ce sera difficile, mais l'ambiance est bonne et nous sommes concentrés. »
Pour l'Impact, le premier match de la série aller-retour est crucial, puisqu'il est difficile de connaître du succès à Austin où les rencontres sont jouées sur un terrain de football synthétique. Bref, une victoire mercredi faciliterait grandement les choses.
« C'est difficile à Austin, il fait très chaud », confie Eduardo Sebrango, qui a inscrit quatre buts à ses huit dernières parties. « Nous connaissons l'importance du match de mercredi. »
« Nous ne voulons pas perdre le premier match et quitter vers Austin », conclut Pizzolitto. « Ils jouent un système plus direct sur un très petit terrain. »
Plusieurs bons billets sont encore disponibles pour le match de mercredi soir. Les partisans sont invités à porter du bleu pour encourager l'Impact.
*D'après un reportage de Patrick Friolet