L'Inter sombre face à la Sampdoria
Soccer mercredi, 4 mars 2009. 17:05 dimanche, 15 déc. 2024. 08:36
ROME - L'Inter, auteur d'une première période catastrophique, s'est lourdement inclinée face à la Sampdoria (3-0) mercredi à Gênes en demi-finale aller de la Coupe d'Italie.
Finaliste des quatre dernières éditions (victoires en 2005 et 2006, défaites en 2007 et 2008), le leader du championnat devra livrer un match retour absolument parfait le 22 avril à Milan pour parvenir à renverser la situation.
Privée, il est vrai, de nombreux titulaires, laissés volontairement au repos (Julio Cesar, Samuel, Chivu, Santon, Ibrahimovic) ou sur le banc au coup d'envoi (Maicon, Stankovic, Cambiasso), l'Inter a disputé son plus mauvais match de la saison et confirmé qu'elle était actuellement en petite forme, trois jours après avoir concédé le nul à domicile contre la Roma (3-3) en Serie A.
Cette défaite, la plus lourde de la saison, ne présage rien de bon avant un nouveau déplacement à Gênes pour affronter le Genoa (5e), samedi en championnat, puis le rendez-vous brûlant contre Manchester United à Old Trafford (aller : 0-0) en 8e de finale retour de Ligue des champions dans une semaine.
Contre la "Samp", tout s'est joué lors des 45 premières minutes: empruntée en défense, l'Inter a été "dévorée" par le duo d'attaquants Cassano-Pazzini.
Le premier a profité d'une grosse erreur du défenseur central Rivas, auteur d'un mauvais contrôle, pour récupérer la balle et tromper le gardien Toldo d'un tir piqué (9), avant que son compère ne s'offre un doublé d'un coup de tête (30) puis d'une frappe à la suite d'un tir de Padalino repoussé par Toldo (42).
En seconde période, la Sampdoria, réduite à dix après l'exclusion du défenseur Gastaldello (60), a parfaitement tenu le coup en défense face à l'Inter qui, même en jetant toutes ses forces en attaque, n'est pas parvenue à réduire le score.
Pour ne rien arranger, elle a même perdu son attaquant Balotelli, qui s'est écroulé tout seul sur le terrain (52) quelques instants après une action où il avait heurté un poteau.
"Nous avons encaissé un premier but ridicule et un deuxième sur un coup de pied arrêté alors même que nous étions préparé à une situation de ce genre", a commenté Jose Mourinho sur la Rai.
"Quand tout le monde n'est pas là, a continué l'entraîneur milanais, l'équipe n'a pas la même qualité. Mais j'avais décidé de changer parce qu'il n'est pas humainement possible de jouer tous les matches."
Lors de la première demi-finale mardi à Rome, la Lazio s'était imposée 2 à 1 face à la Juventus.
Finaliste des quatre dernières éditions (victoires en 2005 et 2006, défaites en 2007 et 2008), le leader du championnat devra livrer un match retour absolument parfait le 22 avril à Milan pour parvenir à renverser la situation.
Privée, il est vrai, de nombreux titulaires, laissés volontairement au repos (Julio Cesar, Samuel, Chivu, Santon, Ibrahimovic) ou sur le banc au coup d'envoi (Maicon, Stankovic, Cambiasso), l'Inter a disputé son plus mauvais match de la saison et confirmé qu'elle était actuellement en petite forme, trois jours après avoir concédé le nul à domicile contre la Roma (3-3) en Serie A.
Cette défaite, la plus lourde de la saison, ne présage rien de bon avant un nouveau déplacement à Gênes pour affronter le Genoa (5e), samedi en championnat, puis le rendez-vous brûlant contre Manchester United à Old Trafford (aller : 0-0) en 8e de finale retour de Ligue des champions dans une semaine.
Contre la "Samp", tout s'est joué lors des 45 premières minutes: empruntée en défense, l'Inter a été "dévorée" par le duo d'attaquants Cassano-Pazzini.
Le premier a profité d'une grosse erreur du défenseur central Rivas, auteur d'un mauvais contrôle, pour récupérer la balle et tromper le gardien Toldo d'un tir piqué (9), avant que son compère ne s'offre un doublé d'un coup de tête (30) puis d'une frappe à la suite d'un tir de Padalino repoussé par Toldo (42).
En seconde période, la Sampdoria, réduite à dix après l'exclusion du défenseur Gastaldello (60), a parfaitement tenu le coup en défense face à l'Inter qui, même en jetant toutes ses forces en attaque, n'est pas parvenue à réduire le score.
Pour ne rien arranger, elle a même perdu son attaquant Balotelli, qui s'est écroulé tout seul sur le terrain (52) quelques instants après une action où il avait heurté un poteau.
"Nous avons encaissé un premier but ridicule et un deuxième sur un coup de pied arrêté alors même que nous étions préparé à une situation de ce genre", a commenté Jose Mourinho sur la Rai.
"Quand tout le monde n'est pas là, a continué l'entraîneur milanais, l'équipe n'a pas la même qualité. Mais j'avais décidé de changer parce qu'il n'est pas humainement possible de jouer tous les matches."
Lors de la première demi-finale mardi à Rome, la Lazio s'était imposée 2 à 1 face à la Juventus.