L'Olympique lyonnais prêt à affronter Arsenal
Soccer mardi, 20 févr. 2001. 11:23 mercredi, 11 déc. 2024. 18:42
LONDRES (AFP) - L'Olympique lyonnais se dit prêt à relever le défi de battre les Anglais d'Arsenal, mercredi sur leur terrain de Highbury à Londres, en match de la quatrième journée de la deuxième phase de la Ligue des Champions de soccer, afin d'espérer encore se qualifier pour les quarts de finale de l'épreuve.
Battu 1 à 0 à l'aller, avec un but du Français Thierry Henry, il y a huit jours à domicile, l'OL, désormais troisième à un point des Londoniens, n'abdique pas, croyant toujours en ses chances de terminer deuxième du groupe C, la première place semblant acquise aux Allemands du Bayern Munich, qui vont défier le Spartak à Moscou.
Arsène Wenger, l'entraîneur français d'Arsenal, et son homologue de Lyon, Jacques Santini, estimaient après le premier match "que la course à la qualification demeurait ouverte et que rien n'était encore joué hormis pour les Munichois, désormais détachés".
"Trois équipes luttent pour la deuxième place. Mathématiquement, il n'y aura encore rien de fait et tout se jouera sur les deux dernières rencontres", affirme même Santini.
"Aucun match ne ressemble à un autre. Les données ne vont pas varier tactiquement et techniquement", prévient l'entraîneur de l'OL, estimant que "la seule chose pouvant être différente, c'est une ouverture rapide du score".
Gare à Henry et Wiltord
Les Français de Londres restent les plus grands dangers pour la deuxième équipe française encore en lice en Ligue des champions. Sur un terrain plus petit que celui de Gerland, l'Olympique lyonnais devra trouver la faille dans la défense des "Gunners", réduire l'influence de Patrick Viera au milieu et canaliser la vitesse de Thierry Henry en attaque. Vaste programme que l'OL n'a pu suivre il y a huit jours malgré une première période de grande qualité.
Même si Sonny Anderson et les siens n'affichent aucun complexe malgré un mois de février sans victoire, Arsenal reste un adversaire coriace, en pleine confiance depuis le début de l'année.
Sa victoire dimanche sur Chelsea (3-1) en coupe d'Angleterre, avec un but de Henry et deux de Wiltord, confirme la réussite actuelle des Londoniens malgré les états d'âme de quelques joueurs, les attaquants Dennis Bergkamp et Kanu notamment. En outre, Arsène Wenger va récupérer les défenseurs Martin Keown et Silvinho, absents lors des six derniers matches d'Arsenal.
De son côté, l'OL, souvent performant à l'extérieur, a mobilisé tous les éléments valides de son effectif, mais reste dans l'incertitude sur la participation du milieu offensif Vikash Dhorasoo, souffrant des adducteurs.
Battu 1 à 0 à l'aller, avec un but du Français Thierry Henry, il y a huit jours à domicile, l'OL, désormais troisième à un point des Londoniens, n'abdique pas, croyant toujours en ses chances de terminer deuxième du groupe C, la première place semblant acquise aux Allemands du Bayern Munich, qui vont défier le Spartak à Moscou.
Arsène Wenger, l'entraîneur français d'Arsenal, et son homologue de Lyon, Jacques Santini, estimaient après le premier match "que la course à la qualification demeurait ouverte et que rien n'était encore joué hormis pour les Munichois, désormais détachés".
"Trois équipes luttent pour la deuxième place. Mathématiquement, il n'y aura encore rien de fait et tout se jouera sur les deux dernières rencontres", affirme même Santini.
"Aucun match ne ressemble à un autre. Les données ne vont pas varier tactiquement et techniquement", prévient l'entraîneur de l'OL, estimant que "la seule chose pouvant être différente, c'est une ouverture rapide du score".
Gare à Henry et Wiltord
Les Français de Londres restent les plus grands dangers pour la deuxième équipe française encore en lice en Ligue des champions. Sur un terrain plus petit que celui de Gerland, l'Olympique lyonnais devra trouver la faille dans la défense des "Gunners", réduire l'influence de Patrick Viera au milieu et canaliser la vitesse de Thierry Henry en attaque. Vaste programme que l'OL n'a pu suivre il y a huit jours malgré une première période de grande qualité.
Même si Sonny Anderson et les siens n'affichent aucun complexe malgré un mois de février sans victoire, Arsenal reste un adversaire coriace, en pleine confiance depuis le début de l'année.
Sa victoire dimanche sur Chelsea (3-1) en coupe d'Angleterre, avec un but de Henry et deux de Wiltord, confirme la réussite actuelle des Londoniens malgré les états d'âme de quelques joueurs, les attaquants Dennis Bergkamp et Kanu notamment. En outre, Arsène Wenger va récupérer les défenseurs Martin Keown et Silvinho, absents lors des six derniers matches d'Arsenal.
De son côté, l'OL, souvent performant à l'extérieur, a mobilisé tous les éléments valides de son effectif, mais reste dans l'incertitude sur la participation du milieu offensif Vikash Dhorasoo, souffrant des adducteurs.