L'OM pourra se qualifier mercredi
Soccer mardi, 27 nov. 2007. 13:23 jeudi, 12 déc. 2024. 12:51
PARIS - Pour la cinquième et avant-dernière journée de la phase de poules de la Ligue des champions, l'Olympique de Marseille rend visite mercredi au Besiktas d'Istanbul avec l'espoir de décrocher sa qualification pour les huitièmes de finale.
"Le match contre Besiktas nous offre la possibilité de nous qualifier. Nous n'allons pas à Besiktas avec la seule idée de défendre. Si nous avons la possibilité de marquer des buts, on va le faire", avance Eric Gerets, l'entraîneur belge des Marseillais.
L'OM, deuxième de la poule A, serait qualifié s'il renouvelle son succès du match aller (2-0) et que dans le même temps Liverpool ne batte pas le FC Porto, leader du groupe, à Anfield. Même un nul suffirait aux Olympiens dans l'hypothèse où les Anglais perdraient sur leur pelouse.
Une défaite en Turquie préserverait, néanmoins, les chances marseillaises mais le billet pour le tour suivant se jouerait alors sur l'ultime rendez-vous face à Liverpool le mardi 11 décembre au Vélodrome.
Performant sur la scène européenne (deux victoires, un nul, une défaite), le club marseillais commence parallèlement à sortir la tête de l'eau en Ligue 1. Ses deux succès consécutifs à Lyon (2-1) puis le week-end dernier sur Metz (3-1) l'ont remis en selle et fait s'éloigner de la zone rouge (14e).
Lanterne rouge et maillon faible du groupe, Besiktas a besoin de s'imposer pour ne pas être éliminé. Surtout les Stambouliotes, qui restent sur une défaite record à Liverpool (0-8) il y a deux semaines, ont beaucoup de choses à se faire pardonner de leur bouillant public.
Samir Nasri, qui retrouve progressivement sa meilleure forme après un début saison perturbé par les pépins physiques, s'attend à un match difficile.
"Chez elle, Besiktas est une équipe très dangereuse, transcendée par ses supporters. Ce sera difficile: Liverpool a perdu là-bas, Porto a gagné à la dernière seconde, explique le jeune meneur de jeu phocéen. C'est une formation technique. Il y a pas mal de joueurs sud-américains, ils sont accrocheurs et sur les côtés, ça va très vite."
A l'aller, les Marseillais n'avaient ouvert le score que dans le dernier quart d'heure, puis fait la différence dans le temps additionnel. Nasri estime que l'OM devra élever son niveau à Istanbul.
"Il faudra en faire plus car à l'aller, on était devant notre public et la victoire a été longue à se dessiner, note le milieu de terrain. Il faudra surtout produire du jeu."
"Le match contre Besiktas nous offre la possibilité de nous qualifier. Nous n'allons pas à Besiktas avec la seule idée de défendre. Si nous avons la possibilité de marquer des buts, on va le faire", avance Eric Gerets, l'entraîneur belge des Marseillais.
L'OM, deuxième de la poule A, serait qualifié s'il renouvelle son succès du match aller (2-0) et que dans le même temps Liverpool ne batte pas le FC Porto, leader du groupe, à Anfield. Même un nul suffirait aux Olympiens dans l'hypothèse où les Anglais perdraient sur leur pelouse.
Une défaite en Turquie préserverait, néanmoins, les chances marseillaises mais le billet pour le tour suivant se jouerait alors sur l'ultime rendez-vous face à Liverpool le mardi 11 décembre au Vélodrome.
Performant sur la scène européenne (deux victoires, un nul, une défaite), le club marseillais commence parallèlement à sortir la tête de l'eau en Ligue 1. Ses deux succès consécutifs à Lyon (2-1) puis le week-end dernier sur Metz (3-1) l'ont remis en selle et fait s'éloigner de la zone rouge (14e).
Lanterne rouge et maillon faible du groupe, Besiktas a besoin de s'imposer pour ne pas être éliminé. Surtout les Stambouliotes, qui restent sur une défaite record à Liverpool (0-8) il y a deux semaines, ont beaucoup de choses à se faire pardonner de leur bouillant public.
Samir Nasri, qui retrouve progressivement sa meilleure forme après un début saison perturbé par les pépins physiques, s'attend à un match difficile.
"Chez elle, Besiktas est une équipe très dangereuse, transcendée par ses supporters. Ce sera difficile: Liverpool a perdu là-bas, Porto a gagné à la dernière seconde, explique le jeune meneur de jeu phocéen. C'est une formation technique. Il y a pas mal de joueurs sud-américains, ils sont accrocheurs et sur les côtés, ça va très vite."
A l'aller, les Marseillais n'avaient ouvert le score que dans le dernier quart d'heure, puis fait la différence dans le temps additionnel. Nasri estime que l'OM devra élever son niveau à Istanbul.
"Il faudra en faire plus car à l'aller, on était devant notre public et la victoire a été longue à se dessiner, note le milieu de terrain. Il faudra surtout produire du jeu."