La Fifa simplifie le calcul de son classement
Soccer jeudi, 6 juil. 2006. 15:21 dimanche, 15 déc. 2024. 16:50
BERLIN (AFP) - La Fédération internationale de soccer (Fifa) a présenté jeudi à Berlin le nouveau mode de calcul de son classement mondial mensuel qu'elle a profondément remanié et simplifié.
Cette réforme avait été rendue nécessaire tant le précédent mode de calcul prêtait le flanc aux critiques.
Par exemple, le classement de mai 2006 fait apparaître la République tchèque au 2e rang et les Etats-Unis au 4e. Les deux équipes n'ont pas franchi le 1er tour du Mondial-2006, au contraire de l'Italie, seulement 13e et finaliste, ou de l'Allemagne 19e et pourtant demi-finaliste.
"La plus importante modification dans le mode de calcul est que les résultats des quatre dernières années seront considérés alors que les résultats des huit années étaient précédemment considérés", indique la Fifa dans un communiqué.
La période d'évolution comprend également une pondération décroissante: 100% pour l'année 1, 50% pour l'année 2, 30% pour l'année 3 et 20 pour l'année 4, alors que "la pondération sur huit ans précédemment utilisée était linéaire", rappelle la Fifa.
"Deux des facteurs qui étaient pris en compte ne seront plus considérés: il s'agit du nombre de buts marqués et le fait que les matches se disputent à domicile", ajoute le communiqué.
Par ailleurs, le système d'attribution des points reprend celui en vigueur dans la plupart des championnats avec trois points pour une victoire, un point pour un nul et zéro point pour une défaite.
Quant à la valeur de l'équipe adverse, elle est désormais calculée en fonction de son classement mondial selon la formule: 200-rang/100. Une équipe classée 30e mondial a ainsi une valeur de 1,70.
La valeur régionale, par confédérations, est conservée avec un coefficient de 1 pour les fédérations-membres de l'Uefa, 0,98 pour celles du Conmebol et 0,85 pour toutes les autres.
La prochaine édition du classement mondial mensuel, créé en 1993, sera publiée le 12 juillet.
"Nous sommes conscient qu'il est difficile de prendre en compte les aspirations de chacun, mais nous avons confiance dans le nouveau système qui reflétera efficacement la force de chacune de nos fédérations membres", a souligné Joseph Blatter, le président de la Fifa.
Cette réforme avait été rendue nécessaire tant le précédent mode de calcul prêtait le flanc aux critiques.
Par exemple, le classement de mai 2006 fait apparaître la République tchèque au 2e rang et les Etats-Unis au 4e. Les deux équipes n'ont pas franchi le 1er tour du Mondial-2006, au contraire de l'Italie, seulement 13e et finaliste, ou de l'Allemagne 19e et pourtant demi-finaliste.
"La plus importante modification dans le mode de calcul est que les résultats des quatre dernières années seront considérés alors que les résultats des huit années étaient précédemment considérés", indique la Fifa dans un communiqué.
La période d'évolution comprend également une pondération décroissante: 100% pour l'année 1, 50% pour l'année 2, 30% pour l'année 3 et 20 pour l'année 4, alors que "la pondération sur huit ans précédemment utilisée était linéaire", rappelle la Fifa.
"Deux des facteurs qui étaient pris en compte ne seront plus considérés: il s'agit du nombre de buts marqués et le fait que les matches se disputent à domicile", ajoute le communiqué.
Par ailleurs, le système d'attribution des points reprend celui en vigueur dans la plupart des championnats avec trois points pour une victoire, un point pour un nul et zéro point pour une défaite.
Quant à la valeur de l'équipe adverse, elle est désormais calculée en fonction de son classement mondial selon la formule: 200-rang/100. Une équipe classée 30e mondial a ainsi une valeur de 1,70.
La valeur régionale, par confédérations, est conservée avec un coefficient de 1 pour les fédérations-membres de l'Uefa, 0,98 pour celles du Conmebol et 0,85 pour toutes les autres.
La prochaine édition du classement mondial mensuel, créé en 1993, sera publiée le 12 juillet.
"Nous sommes conscient qu'il est difficile de prendre en compte les aspirations de chacun, mais nous avons confiance dans le nouveau système qui reflétera efficacement la force de chacune de nos fédérations membres", a souligné Joseph Blatter, le président de la Fifa.