La folie s'empare de la Grèce...
Soccer dimanche, 4 juil. 2004. 17:25 jeudi, 12 déc. 2024. 16:35
ATHENES (AFP) - La Grèce était en folie au coup de sifflet final marquant la victoire de son équipe sur le Portugal en finale de l'Euro-2004 de soccer, la première de son histoire à un tel niveau de compétition.
A Athènes, une explosion de joie a retenti dans toute la ville. Sur la place de la mairie où un écran géant avait été érigé, quelque 2000 personnes ont sauté en l'air en criant leur bonheur.
Une nouvelle ovation a salué le moment ou le capitaine de l'équipe grecque, Theodoris Zagorakis, a soulevé la Coupe Henri Delaunay.
"Lève-là, lève-là (la coupe), je ne peux pas attendre", chantaient des dizaines de jeunes sur l'air d'un tube grec lancé après la demi-finale contre les Tchèques, et devenu l'hymne des supporteurs grecs.
Dès les premières minutes suivant la fin du match, des dizaines de voitures circulaient dans le centre de la capitale, avertisseurs bloqués, le drapeau grec au vent, se rendant vers la place Omonia, au centre ville, lieu traditionnel des festivités sportives.
Un feu d'artifice était tiré du haut de la colline du Lycabette qui domine Athènes tandis que les cloches des églises sonnaient à toute voléee.
"On a gagné, c'est une grande victoire et une grande publicité pour le pays avant les Jeux olympiques (13-29 août)", assurait Nikos Kavallinéas, un comptable de 44 ans.
Le but vainqueur d'Angelos Charisteas avait déjà été accueilli par des cris et un concert de klaxons et de sirènes tandis que des feux d'artifice et des pétards éclataient.
A Héraklion en Crète (sud), dans le stade où ils avaient assisté à une réunion internationale d'athlétisme, les spectateurs ont suivi le match sur un écran géant et sont descendus sur la piste saluer la victoire par un cri hallucinant.
Certains sautaient sur le matelas de réception du saut à la perche pendant que d'autres s'embrassaient et que des feux d'artifice explosaient tout autour.
A Athènes, une explosion de joie a retenti dans toute la ville. Sur la place de la mairie où un écran géant avait été érigé, quelque 2000 personnes ont sauté en l'air en criant leur bonheur.
Une nouvelle ovation a salué le moment ou le capitaine de l'équipe grecque, Theodoris Zagorakis, a soulevé la Coupe Henri Delaunay.
"Lève-là, lève-là (la coupe), je ne peux pas attendre", chantaient des dizaines de jeunes sur l'air d'un tube grec lancé après la demi-finale contre les Tchèques, et devenu l'hymne des supporteurs grecs.
Dès les premières minutes suivant la fin du match, des dizaines de voitures circulaient dans le centre de la capitale, avertisseurs bloqués, le drapeau grec au vent, se rendant vers la place Omonia, au centre ville, lieu traditionnel des festivités sportives.
Un feu d'artifice était tiré du haut de la colline du Lycabette qui domine Athènes tandis que les cloches des églises sonnaient à toute voléee.
"On a gagné, c'est une grande victoire et une grande publicité pour le pays avant les Jeux olympiques (13-29 août)", assurait Nikos Kavallinéas, un comptable de 44 ans.
Le but vainqueur d'Angelos Charisteas avait déjà été accueilli par des cris et un concert de klaxons et de sirènes tandis que des feux d'artifice et des pétards éclataient.
A Héraklion en Crète (sud), dans le stade où ils avaient assisté à une réunion internationale d'athlétisme, les spectateurs ont suivi le match sur un écran géant et sont descendus sur la piste saluer la victoire par un cri hallucinant.
Certains sautaient sur le matelas de réception du saut à la perche pendant que d'autres s'embrassaient et que des feux d'artifice explosaient tout autour.