LISBONNE (AFP) - FOI. Depuis le début de l'Euro, une église évangélique baptiste de la banlieue de Lisbonne a installé en ses murs un écran géant et accueille à chaque match de la sélection portugaise, ses fidèles, portant écharpes et drapeaux aux couleurs nationales, pour communier avec la Selecçao.

Et l'encourager de la voix sans égard pour le repos des anges, a témoigné le pasteur Joao Eliseu. Rendez-vous dimanche pour la finale. Un Euro vaut bien une messe. (AFP)

TOP. L'attaquant tchèque Milan Baros, l'une des révélations de l'Euro, ne se laisse pas griser par les trompettes de la renommée. Il a refusé plusieurs propositions de jouer au mannequin en arguant qu'il souhaitait se concentrer sur sa carrière de joueur de soccer.

Moins sollicités, moins jeunes ou moins préoccupés d'un avenir qu'ils ont en partie derrière eux, les joueurs de la Selecçao Nuno Gomes, Ricardo, Luis Boa Morte, Beto, Nuno Valente et Costinha n'ont pas hésité, eux, à endosser le costume de top-model pour présenter une collection d'été dans le magazine de mode GQ. (AFP)

BUS. Un village du nord du Portugal, qui a décidé de rénover ses arrêts d'autobus, a profité de l'engouement autour de la sélection portugaise pour les repeindre en vert et rouge. "Les arrêts d'autobus avaient vraiment besoin d'être repeints. Ainsi, nous joignons l'utile à l'agréable en manifestant notre soutien à la sélection nationale", a expliqué Antonio Longarito, le maire de Areosa (nord). (AFP)