La presse française: "Et un, et deux et Ronaldo!"
Soccer mardi, 2 juil. 2002. 14:47 jeudi, 12 déc. 2024. 04:25
PARIS (AFP) - La presse nationale française commente longuement lundi la cinquième victoire du Brésil en finale de la Coupe du monde de soccer estimant à l'image du quotidien sportif l'Equipe que "le Brésil est éternel".
Le journal qui salue une "consécration historique et tellement moderne à la fois" revient longuement sur "le phénomène (Ronaldo) qui a illuminé la rencontre" insistant sur le fait que "l'apothéose de Yokohama a clos quatre ans de galère entamés par le cauchemar de Saint-Denis".
Parodiant le cri de joie des supporteurs français lors de la victoire des Bleus sur le Brésil en finale en 1998 (3-0), le Parisien titre sur toute sa une "et un, et deux et Ronaldo". Le quotidien publie un entretien du professeur Gérard Saillant, le chirurgien qui a opéré Ronaldo à deux reprises en 1999 et 2000 et qui a été invité par le buteur brésilien avant le match. "Il a joué sa Coupe du monde sans esprit de revanche, exclusivement pour le plaisir du jeu. Un homme qui n'a jamais douté. Il m'a remercié pour l'avoir remis sur pieds. Il était calme, heureux, sans excès", affirme le professeur.
Dans son éditorial, Libération souligne que "Les Brésiliens et les Allemands avaient chacun leur joueur d'exception: Ronaldo pour les uns, Oliver Kahn pour les autres. Mais, au soccer, ce ne sont pas les gardiens qui marquent les buts. Ils les encaissent".
France Soir pour sa part titre sur "les cinq étoiles" et estime que "le Brésil s'offre l'éternité". "D'aucuns devant ses passages à répétition par la case hôpital l'ont pensé perdu pour le soccer (...) mais Ronaldo a tout oublié et a guidé les siens vers la victoire" poursuit le journal qui s'attarde également sur "la vague jaune et verte sur la plus belle avenue du monde".
Le Figaro tirant le bilan de la Coupe du monde et tout en saluant le "cinquième titre mondial pour le Brésil au terme d'un tournoi marqué par de multiples polémiques" voit "le soccer à l'heure des réformes".
"L'asie et le Brésil ont réussi leur mondial", estime La Croix qui donne "rendez-vous en Allemagne dans quatre ans".
Le journal qui salue une "consécration historique et tellement moderne à la fois" revient longuement sur "le phénomène (Ronaldo) qui a illuminé la rencontre" insistant sur le fait que "l'apothéose de Yokohama a clos quatre ans de galère entamés par le cauchemar de Saint-Denis".
Parodiant le cri de joie des supporteurs français lors de la victoire des Bleus sur le Brésil en finale en 1998 (3-0), le Parisien titre sur toute sa une "et un, et deux et Ronaldo". Le quotidien publie un entretien du professeur Gérard Saillant, le chirurgien qui a opéré Ronaldo à deux reprises en 1999 et 2000 et qui a été invité par le buteur brésilien avant le match. "Il a joué sa Coupe du monde sans esprit de revanche, exclusivement pour le plaisir du jeu. Un homme qui n'a jamais douté. Il m'a remercié pour l'avoir remis sur pieds. Il était calme, heureux, sans excès", affirme le professeur.
Dans son éditorial, Libération souligne que "Les Brésiliens et les Allemands avaient chacun leur joueur d'exception: Ronaldo pour les uns, Oliver Kahn pour les autres. Mais, au soccer, ce ne sont pas les gardiens qui marquent les buts. Ils les encaissent".
France Soir pour sa part titre sur "les cinq étoiles" et estime que "le Brésil s'offre l'éternité". "D'aucuns devant ses passages à répétition par la case hôpital l'ont pensé perdu pour le soccer (...) mais Ronaldo a tout oublié et a guidé les siens vers la victoire" poursuit le journal qui s'attarde également sur "la vague jaune et verte sur la plus belle avenue du monde".
Le Figaro tirant le bilan de la Coupe du monde et tout en saluant le "cinquième titre mondial pour le Brésil au terme d'un tournoi marqué par de multiples polémiques" voit "le soccer à l'heure des réformes".
"L'asie et le Brésil ont réussi leur mondial", estime La Croix qui donne "rendez-vous en Allemagne dans quatre ans".