Le coaching risqué mais gagnant de Lippi
Soccer mercredi, 5 juil. 2006. 11:28 dimanche, 15 déc. 2024. 12:47
DORTMUND (AFP) - Le sélectionneur italien Marcello Lippi a pris le risque, finalement payant, de faire rentrer trois attaquants en cours de match contre l'Allemagne, en demi-finale du Mondial-2006 de football mardi à Dortmund, contrairement à son homologue argentin en quart de finale.
L'Italie, qui l'a emporté 2 à 0 dans les dernières minutes de la prolongation, avait enregistré les entrées d'Alberto Gilardino à la place de Luca Toni (74e), un attaquant pour un autre attaquant, mais aussi de Vincenzo Iaquinta et Alessandro Del Piero pour Mauro Camoranesi (91) et Simone Perrota (104), soit deux attaquants pour deux milieux de terrain.
Ce "coaching" a été payant, même si le premier but a été marqué par le défenseur Grosso. Le deuxième a été l'oeuvre de Del Piero.
En quart de finale contre l'Allemagne, alors que son équipe menait 1 à 0, le sélectionneur argentin José Pekerman avait fait sortir Juan Roman Riquelme et Hernan Crespo, ses deux principaux atouts offensifs, pour les remplacer par deux joueurs à vocation plus défensive, laissant ainsi sur le banc Lionel Messi, Javier Saviola ou Pablo Aimar.
L'Allemagne avait égalisé puis remporté la partie aux tirs au but, et le choix de Pekerman avait été vivement critiqué par la presse argentine.
L'Italie, qui l'a emporté 2 à 0 dans les dernières minutes de la prolongation, avait enregistré les entrées d'Alberto Gilardino à la place de Luca Toni (74e), un attaquant pour un autre attaquant, mais aussi de Vincenzo Iaquinta et Alessandro Del Piero pour Mauro Camoranesi (91) et Simone Perrota (104), soit deux attaquants pour deux milieux de terrain.
Ce "coaching" a été payant, même si le premier but a été marqué par le défenseur Grosso. Le deuxième a été l'oeuvre de Del Piero.
En quart de finale contre l'Allemagne, alors que son équipe menait 1 à 0, le sélectionneur argentin José Pekerman avait fait sortir Juan Roman Riquelme et Hernan Crespo, ses deux principaux atouts offensifs, pour les remplacer par deux joueurs à vocation plus défensive, laissant ainsi sur le banc Lionel Messi, Javier Saviola ou Pablo Aimar.
L'Allemagne avait égalisé puis remporté la partie aux tirs au but, et le choix de Pekerman avait été vivement critiqué par la presse argentine.