Le duel Espagne-Italie
Soccer samedi, 21 juin 2008. 16:52 vendredi, 13 déc. 2024. 08:50
VIENNE - Le quart de finale de l'Euro-2008 entre l'Espagne, en quête de confirmation, et l'Italie, habituée aux matches couperets, met aux prises deux équipes aux trajectoires opposées lors du 1er tour, dimanche à Vienne.
Impériale en phase de poules, avec trois victoires et le luxe de pouvoir faire tourner son effectif lors du dernier match, la "Roja" fait figure de favorite face à une Nazionale qui a arraché son billet contre la France (2-0) après une déroute d'entrée (3-0) face aux Pays-Bas puis un nul (1-1) contre la Roumanie.
Mais le poids de l'histoire plaide en faveur de la Squadra Azzurra: les Italiens n'ont plus perdu en match officiel contre la "seleccion" depuis... 88 ans et sont des habitués des débuts de compétition difficiles avant de monter en régime.
Les hommes de Roberto Donadoni se présentent toutefois affaiblis face à ceux de Luis Aragones, puisqu'ils doivent se passer de leurs milieux de terrain Andrea Pirlo, le créateur, et Gennaro Gattuso, le récupérateur, suspendus.
A l'inverse, les Espagnols sont au complet et les habituels titulaires ont pu récupérer lors du match contre la Grèce (2-1). Avec à leur tête le meilleur buteur de la phase initiale, David Villa (4 buts), l'une des principales armes de la "seleccion". Celle-ci aura à coeur de prendre sa revanche après un quart de finale du Mondial-1994 controversé dont les Italiens étaient sortis vainqueurs (2-1).
Surtout, la "Roja" voudra effacer la malédiction des quarts de finale, un stade qu'elle n'a plus dépassé depuis l'Euro-1984, lors duquel elle s'était inclinée en finale contre la France (2-0).
Impériale en phase de poules, avec trois victoires et le luxe de pouvoir faire tourner son effectif lors du dernier match, la "Roja" fait figure de favorite face à une Nazionale qui a arraché son billet contre la France (2-0) après une déroute d'entrée (3-0) face aux Pays-Bas puis un nul (1-1) contre la Roumanie.
Mais le poids de l'histoire plaide en faveur de la Squadra Azzurra: les Italiens n'ont plus perdu en match officiel contre la "seleccion" depuis... 88 ans et sont des habitués des débuts de compétition difficiles avant de monter en régime.
Les hommes de Roberto Donadoni se présentent toutefois affaiblis face à ceux de Luis Aragones, puisqu'ils doivent se passer de leurs milieux de terrain Andrea Pirlo, le créateur, et Gennaro Gattuso, le récupérateur, suspendus.
A l'inverse, les Espagnols sont au complet et les habituels titulaires ont pu récupérer lors du match contre la Grèce (2-1). Avec à leur tête le meilleur buteur de la phase initiale, David Villa (4 buts), l'une des principales armes de la "seleccion". Celle-ci aura à coeur de prendre sa revanche après un quart de finale du Mondial-1994 controversé dont les Italiens étaient sortis vainqueurs (2-1).
Surtout, la "Roja" voudra effacer la malédiction des quarts de finale, un stade qu'elle n'a plus dépassé depuis l'Euro-1984, lors duquel elle s'était inclinée en finale contre la France (2-0).