Le Mexique veut justifier son statut
Soccer samedi, 10 juin 2006. 21:19 dimanche, 15 déc. 2024. 01:54
NUREMBERG, Allemagne (AFP) - Le Mexique, toujours placé, avec 13 participations, mais jamais gagnant - seulement deux quarts de finale -, espère enfin justifier son statut de favori au Mondial-2006 de soccer que les Aztèques entament face à l'Iran, dimanche à Nuremberg.
En théorie, la sélection mexicaine n'a pas grand chose à craindre des Iraniens, dont l'histoire au Mondial se résume à deux participations (et une seule victoire), ni même de son groupe où seul le Portugal, qui affrontera de son côté l'Angola à Cologne, devrait lui disputer la première place.
Tête de série au tirage au sort, 4e au classement mondial de la Fifa, l'équipe de Ricardo La Volpe - 3e gardien lors du Mondial remporté par l'Argentine en 1978 -, veut absolument faire honneur à son rang et se hisser, enfin, aux côtés des plus grands.
Avec Rafael Marquez, champion d'Europe avec le FC Barcelone, et l'attaquant Jared Borgetti (14 buts en qualifications), elle entend faire au moins aussi bien que l'an passé à la Coupe des Confédérations: après avoir battu le Brésil (1-0), futur vainqueur, elle s'était inclinée de justesse en demi-finale contre l'Argentine (1-1, 6 t.a.b. à 5).
C'est justement sur cette compétition que le sélectionneur a basé son travail depuis un an, et il vise aujourd'hui ouvertement les quarts de finale.
"Bien sûr que le Mexique a une bonne équipe et leur 4e place au classement de la Fifa en est la preuve. Mais cela ne veut rien dire sur le terrain", répond le Croate Branko Ivankovic, à la tête de la sélection iranienne depuis 2001.
Fort de l'expérience du capitaine Ali Daei, 37 ans mais buts en pagaille (109 en 147 sélections), et de la fougue d'Ali Karimi, 27 ans et joueur asiatique de l'année 2004, l'Iran - 23e au classement Fifa - dit ne rien craindre.
"Notre encadrement technique a analysé avec soin le Mexique, et chacun d'entre nous connaît tous les joueurs mexicains. Nous savons comment jouer contre eux, affirme Daei. Gagner, ce n'est pas impossible".
L'unique rencontre, amicale, entre les deux pays remonte au 9 janvier 2001: le Mexique s'était imposé 2 à 1.
En théorie, la sélection mexicaine n'a pas grand chose à craindre des Iraniens, dont l'histoire au Mondial se résume à deux participations (et une seule victoire), ni même de son groupe où seul le Portugal, qui affrontera de son côté l'Angola à Cologne, devrait lui disputer la première place.
Tête de série au tirage au sort, 4e au classement mondial de la Fifa, l'équipe de Ricardo La Volpe - 3e gardien lors du Mondial remporté par l'Argentine en 1978 -, veut absolument faire honneur à son rang et se hisser, enfin, aux côtés des plus grands.
Avec Rafael Marquez, champion d'Europe avec le FC Barcelone, et l'attaquant Jared Borgetti (14 buts en qualifications), elle entend faire au moins aussi bien que l'an passé à la Coupe des Confédérations: après avoir battu le Brésil (1-0), futur vainqueur, elle s'était inclinée de justesse en demi-finale contre l'Argentine (1-1, 6 t.a.b. à 5).
C'est justement sur cette compétition que le sélectionneur a basé son travail depuis un an, et il vise aujourd'hui ouvertement les quarts de finale.
"Bien sûr que le Mexique a une bonne équipe et leur 4e place au classement de la Fifa en est la preuve. Mais cela ne veut rien dire sur le terrain", répond le Croate Branko Ivankovic, à la tête de la sélection iranienne depuis 2001.
Fort de l'expérience du capitaine Ali Daei, 37 ans mais buts en pagaille (109 en 147 sélections), et de la fougue d'Ali Karimi, 27 ans et joueur asiatique de l'année 2004, l'Iran - 23e au classement Fifa - dit ne rien craindre.
"Notre encadrement technique a analysé avec soin le Mexique, et chacun d'entre nous connaît tous les joueurs mexicains. Nous savons comment jouer contre eux, affirme Daei. Gagner, ce n'est pas impossible".
L'unique rencontre, amicale, entre les deux pays remonte au 9 janvier 2001: le Mexique s'était imposé 2 à 1.