Le Milan AC donne une leçon de soccer à La Corogne
Soccer mardi, 23 mars 2004. 18:48 dimanche, 15 déc. 2024. 05:52
MILAN (AFP) - Le Milan AC, champion d'Europe en titre, a déjà pris une sérieuse option sur la qualification en donnant une leçon aux Espagnols du Deportivo La Corogne 4 à 1 (mi-temps: 1-1) en quart de finale aller de la Ligue des champions de soccer, mardi au stade San Siro.
La formation entraînée par Carlo Ancelotti était pourtant cueillie à froid par une équipe du Depor très offensive, bien décidée à faire un sort à un autre grand d'Italie après avoir éliminé au tour précédent la Juventus, finaliste de l'épreuve en 2003.
Suite à un corner, Capdevila adressait un centre à l'attaquant uruguayen Pandiani, qui, en l'absence de tout marquage, fusillait Dida de la tête (11e).
Le Milan AC réagissait alors timidement sur un centre de Cafu, repris au second poteau par le jeune meneur de jeu brésilien Kaka, mais sa frappe passait à côté (16e).
Le Deportivo continuait à bousculer la formation italienne, avec un Valeron intenable, qui mettait la défense adverse en difficulté sur chacune de ses actions, mais Luque (32e) et Duscher (34e) manquaient le cadre.
C'est alors que Kaka sonnait la révolte pour les Italiens. Juste avant la pause, il contrôlait de la cuisse un centre de Cafu avant d'ajuster Molina d'une reprise de volée (45e).
Sur sa lancée, le leader du Championnat d'Italie enfonçait le clou dès le retour des vestiaires. L'attaquant ukrainien Shevchenko, jusqu'alors plutôt discret, mettait dans le vent trois défenseurs espagnols pour tromper d'une frappe du droit Molina (46e). C'était le début de dix minutes d'enfer pour le Depor.
Le Néerlandais Seedorf décalait le jeune prodige Kaka, qui, presque sans élan, déclenchait une frappe du droit qui finissait au fond des filets du gardien espagnol (49e). Puis c'était Pirlo qui se joignait à la fête. Son coup franc des 20 mètres finissait sous la transversale de Molina, qui n'avait pas la main assez ferme sur ce coup-là (53e).
Le match tournait à la démonstration, à la plus grande joie des supporteurs de San Siro qui pouvaient déjà envisager avec confiance le match retour.
La formation entraînée par Carlo Ancelotti était pourtant cueillie à froid par une équipe du Depor très offensive, bien décidée à faire un sort à un autre grand d'Italie après avoir éliminé au tour précédent la Juventus, finaliste de l'épreuve en 2003.
Suite à un corner, Capdevila adressait un centre à l'attaquant uruguayen Pandiani, qui, en l'absence de tout marquage, fusillait Dida de la tête (11e).
Le Milan AC réagissait alors timidement sur un centre de Cafu, repris au second poteau par le jeune meneur de jeu brésilien Kaka, mais sa frappe passait à côté (16e).
Le Deportivo continuait à bousculer la formation italienne, avec un Valeron intenable, qui mettait la défense adverse en difficulté sur chacune de ses actions, mais Luque (32e) et Duscher (34e) manquaient le cadre.
C'est alors que Kaka sonnait la révolte pour les Italiens. Juste avant la pause, il contrôlait de la cuisse un centre de Cafu avant d'ajuster Molina d'une reprise de volée (45e).
Sur sa lancée, le leader du Championnat d'Italie enfonçait le clou dès le retour des vestiaires. L'attaquant ukrainien Shevchenko, jusqu'alors plutôt discret, mettait dans le vent trois défenseurs espagnols pour tromper d'une frappe du droit Molina (46e). C'était le début de dix minutes d'enfer pour le Depor.
Le Néerlandais Seedorf décalait le jeune prodige Kaka, qui, presque sans élan, déclenchait une frappe du droit qui finissait au fond des filets du gardien espagnol (49e). Puis c'était Pirlo qui se joignait à la fête. Son coup franc des 20 mètres finissait sous la transversale de Molina, qui n'avait pas la main assez ferme sur ce coup-là (53e).
Le match tournait à la démonstration, à la plus grande joie des supporteurs de San Siro qui pouvaient déjà envisager avec confiance le match retour.
