Les autorités se font rassurantes
Soccer lundi, 31 mai 2010. 15:21 dimanche, 15 déc. 2024. 05:48
JOHANNESBOURG - Aucune menace terroriste ne plane sur la Coupe du monde de soccer à moins de deux semaines du coup d'envoi du tournoi.
C'est du moins l'assurance donnée par le ministre sud-africain de la police, estimant sans fondement les informations selon lesquelles certains groupes allant de Al-Qaïda à des groupes locaux de militans blancs ont l'intention de se manifester pendant la compétition.
Le ministre de la police Nathi Mthethwa a révélé, lundi, que si une menace devait survenir, les forces de l'ordre étaient prêtes à réagir.
Il a rappelé que les préparatifs ont commencé depuis 2004, lorsque l'Afrique du Sud a obtenu l'organisation, devenant le premier pays africain à accueillir la Coupe du monde.
Les autorités du pays ont travaillé étroitement avec les services de renseignements et de sécurité des Etats-Unis, de la Grande-Bretagne et des 29 autres pays présents pour le tournoi, qui se met en branle le 11 juin.
Mthethwa a minimisé les inquiétudes selon lesquelles si les forces de sécurité sud-africaines étaient prêtes à réagir, les services de renseignements ne pouvaient prévenir une attaque.
"Je ne crois pas que les services de renseignements sud-africains sont un maillon faible", a souligné Mthethwa, ajoutant que si cela avait été le cas, les gouvernements étrangers avec qui ils ont travaillé pour préparer le tournoi n'auraient pas manqué de leur dire.
Des enquêteurs sud-africains se sont rendus en Iraq après l'annonce de l'arrestation par les forces de sécurité d'un présumé militant d'Al-Qaïda qui a parlé à des amis d'une possible attaque contre les équipes du Danemark et des Pays-Bas à la Coupe du monde.
STRATFOR, un groupe de réflexion privé sur la sécurité installé à Austin, au Texas, a précisé dans un rapport préalable à la Coupe du monde qu'il était improbable que des groupes comme Al-Qaïda aient la capacité d'orchestrer une attaque de grande envergure là-bas.
Mthethwa a également dit qu'il n'y avait aucun fondement dans l'article publié dimanche dans un quotidien sud-africain au sujet de la présence de cellules terroristes et de camp d'entraînement dans la région et qu'au moins une arrestation en Afrique du Sud était reliée à la Coupe du monde.
L'Afrique du Sud, qui connaît un des plus fort taux de criminalité au monde avec 50 meurtres par jour, a déployé au moins 40 000 agents supplémentaires dans les neuf villes-hôtes du Mondial.
C'est du moins l'assurance donnée par le ministre sud-africain de la police, estimant sans fondement les informations selon lesquelles certains groupes allant de Al-Qaïda à des groupes locaux de militans blancs ont l'intention de se manifester pendant la compétition.
Le ministre de la police Nathi Mthethwa a révélé, lundi, que si une menace devait survenir, les forces de l'ordre étaient prêtes à réagir.
Il a rappelé que les préparatifs ont commencé depuis 2004, lorsque l'Afrique du Sud a obtenu l'organisation, devenant le premier pays africain à accueillir la Coupe du monde.
Les autorités du pays ont travaillé étroitement avec les services de renseignements et de sécurité des Etats-Unis, de la Grande-Bretagne et des 29 autres pays présents pour le tournoi, qui se met en branle le 11 juin.
Mthethwa a minimisé les inquiétudes selon lesquelles si les forces de sécurité sud-africaines étaient prêtes à réagir, les services de renseignements ne pouvaient prévenir une attaque.
"Je ne crois pas que les services de renseignements sud-africains sont un maillon faible", a souligné Mthethwa, ajoutant que si cela avait été le cas, les gouvernements étrangers avec qui ils ont travaillé pour préparer le tournoi n'auraient pas manqué de leur dire.
Des enquêteurs sud-africains se sont rendus en Iraq après l'annonce de l'arrestation par les forces de sécurité d'un présumé militant d'Al-Qaïda qui a parlé à des amis d'une possible attaque contre les équipes du Danemark et des Pays-Bas à la Coupe du monde.
STRATFOR, un groupe de réflexion privé sur la sécurité installé à Austin, au Texas, a précisé dans un rapport préalable à la Coupe du monde qu'il était improbable que des groupes comme Al-Qaïda aient la capacité d'orchestrer une attaque de grande envergure là-bas.
Mthethwa a également dit qu'il n'y avait aucun fondement dans l'article publié dimanche dans un quotidien sud-africain au sujet de la présence de cellules terroristes et de camp d'entraînement dans la région et qu'au moins une arrestation en Afrique du Sud était reliée à la Coupe du monde.
L'Afrique du Sud, qui connaît un des plus fort taux de criminalité au monde avec 50 meurtres par jour, a déployé au moins 40 000 agents supplémentaires dans les neuf villes-hôtes du Mondial.