Les buts qui ont marqué
Soccer dimanche, 30 juin 2002. 12:36 jeudi, 12 déc. 2024. 05:52
YOKOHAMA, Japon (AFP) - Le doublé de Ronaldo qui a donné la victoire (2-0) au Brésil contre l'Allemagne, dimanche en finale du Mondial-2002 de soccer, figure au livre d'or des buts qui ont marqué cette édition, tout comme celui du Turc Hakan Sukur marqué la veille après seulement 11 secondes de jeu, le record en phase finale.
L'attaquant avait ainsi mis la Turquie sur orbite pour une victoire 3-2 face à la Corée du Sud en match pour la 3e place.
Le premier but de ce Mondial, signé du Sénégalais Pape Bouba Diop à la 30e minute du match inaugural contre la France était, sans qu'on le sache encore, un premier caillou sur le dur chemin de croix qu'allaient suivre les Bleus.
Le champion sortant, avec dans ses rangs les meilleurs buteurs des championnats d'Angleterre, d'Italie et de France, allait s'illustrer dans la catégorie "buts fantômes": zéro marqué en trois matches.
Au chapitre somptueux, l'amorti poitrine du Brésilien Rivaldo contre la Belgique, dos au but, contrôle cheville, pivot et frappe du gauche en demi-volée restera comme un modèle d'enchaînement. Plus sobre mais plus pur, le geste de l'Uruguayen Diego Forlan pour le deuxième but de son équipe face au Sénégal: contrôle poitrine et reprise de volée.
Pour l'instantané, un autre Uruguayen Dario Rodriguez mérite une place de choix avec sa volée de l'extérieur du gauche dans la lucarne du but danois.
Insolite
D'une beauté plus collective, le mouvement conclut par le Sénégalais Salif Diao face au Danemark après que le ballon fut allé en cinq passes presque sans contrôle des pieds de Henri Camara près de sa surface à ceux de Diao avec Khalilou Fadiga à la passe décisive.
A la quantité, l'Allemand Miroslav Klose à été l'auteur du premier triplé contre l'Arabie saoudite et seul le Portugais Pauleta, contre la Pologne a fait aussi bien. Mais le prix "tête d'or" revient sans conteste à l'Allemand, auteur de cinq buts au total, tous du chef.
Pour la surprise, bonne ou mauvaise, selon le camp, la palme revient au coup franc du Brésilien Ronaldinho face à l'Angleterre. De plus de 30 mètres sur la droite un lob parfait qui se loge dans la lucarne droite de David Seaman, qui a sa part dans cette réussite.
Pour l'insolite, le prix revient à Ronaldo et son but "à la Romario", du pointu, de la victoire contre la Turquie en demi-finale.
Médaille d'or enfin pour les buts du même métal marqués par le Sénégalais Henri Camara contre la Suède, le Sud-Coréen Ahn Jung-hwan contre l'Italie et le Turc Ilhan contre le Sénégal.
Seulement pour mémoire, il y eut aussi les buts du scandale, ceux refusés, injustement selon elles, à l'Italie, à l'Espagne et à la Belgique.
L'attaquant avait ainsi mis la Turquie sur orbite pour une victoire 3-2 face à la Corée du Sud en match pour la 3e place.
Le premier but de ce Mondial, signé du Sénégalais Pape Bouba Diop à la 30e minute du match inaugural contre la France était, sans qu'on le sache encore, un premier caillou sur le dur chemin de croix qu'allaient suivre les Bleus.
Le champion sortant, avec dans ses rangs les meilleurs buteurs des championnats d'Angleterre, d'Italie et de France, allait s'illustrer dans la catégorie "buts fantômes": zéro marqué en trois matches.
Au chapitre somptueux, l'amorti poitrine du Brésilien Rivaldo contre la Belgique, dos au but, contrôle cheville, pivot et frappe du gauche en demi-volée restera comme un modèle d'enchaînement. Plus sobre mais plus pur, le geste de l'Uruguayen Diego Forlan pour le deuxième but de son équipe face au Sénégal: contrôle poitrine et reprise de volée.
Pour l'instantané, un autre Uruguayen Dario Rodriguez mérite une place de choix avec sa volée de l'extérieur du gauche dans la lucarne du but danois.
Insolite
D'une beauté plus collective, le mouvement conclut par le Sénégalais Salif Diao face au Danemark après que le ballon fut allé en cinq passes presque sans contrôle des pieds de Henri Camara près de sa surface à ceux de Diao avec Khalilou Fadiga à la passe décisive.
A la quantité, l'Allemand Miroslav Klose à été l'auteur du premier triplé contre l'Arabie saoudite et seul le Portugais Pauleta, contre la Pologne a fait aussi bien. Mais le prix "tête d'or" revient sans conteste à l'Allemand, auteur de cinq buts au total, tous du chef.
Pour la surprise, bonne ou mauvaise, selon le camp, la palme revient au coup franc du Brésilien Ronaldinho face à l'Angleterre. De plus de 30 mètres sur la droite un lob parfait qui se loge dans la lucarne droite de David Seaman, qui a sa part dans cette réussite.
Pour l'insolite, le prix revient à Ronaldo et son but "à la Romario", du pointu, de la victoire contre la Turquie en demi-finale.
Médaille d'or enfin pour les buts du même métal marqués par le Sénégalais Henri Camara contre la Suède, le Sud-Coréen Ahn Jung-hwan contre l'Italie et le Turc Ilhan contre le Sénégal.
Seulement pour mémoire, il y eut aussi les buts du scandale, ceux refusés, injustement selon elles, à l'Italie, à l'Espagne et à la Belgique.