Les contrôles antidopage omniprésents
Soccer samedi, 12 juin 2010. 08:01 dimanche, 15 déc. 2024. 12:58
JOHANNESBURG - Au moins 512 contrôles antidopage seront effectués pendant toute la durée de la Coupe du monde, dans le camp de base de chaque équipe ou au terme des 64 rencontres, a annoncé samedi Jiri Dvorak, médecin chef de la FIFA.
Huit joueurs de chacune des 32 équipes, soit 256 joueurs, ont subi ou subiront un contrôle inopiné urinaire et sanguin, mené par des médecins de la FIFA. De plus, deux joueurs de chaque équipe subiront un contrôle à l'issue de chacun des 64 matches.
"Depuis 1994, et un cas célèbre, il n'y a pas eu de cas positif dans le cadre d'une Coupe du monde", a déclaré M. Dvorak, en référence à l'Argentin Diego Maradona, l'actuel sélectionneur de l'Argentine, contrôlé positif à l'éphédrine, un stimulant, lors de la Coupe du monde aux Etats-Unis.
Les deux derniers cas dans le cadre de compétitions organisées par la FIFA remontent à la Coupe des confédérations en 2005, où deux joueurs mexicains avaient été contrôlés positifs à la nandrolone, un stéroïde.
La démarche de la FIFA à la Coupe du monde s'inscrit dans un cadre plus vaste. "Que ce soit la FIFA directement, mais aussi au travers des confédérations ou fédérations, nous diligentons quelque 40.000 contrôles chaque année dans le monde entier", a insisté M. Dvorak.
Un abus de produits anti-inflammatoires
Le Dr Michel D'Hooghe, président de la Commission médicale de la FIFA, a déclaré samedi lors d'une conférence de presse que la Fédération internationale avait constaté un abus de l'utilisation des produits anti-inflammatoires dans le football.
"Nous constatons un abus extraordinaire de produits anti-inflammatoires qui peuvent avoir des effets secondaires, du point de vue digestif comme sur le plan rénal", a souligné M. D'Hooghe.
"L'avenir nous donnera l'occasion de lutter contre ces produits", qui ne figurent pas sur la liste des substances interdites par l'Agence mondiale antidopage (AMA), a avancé M. D'Hooghe.
"Nous pratiquons en permanence des analyses sur les produits que nous pourrions ajouter ou éliminer de la liste. La décision est prise annuellement. Je ne pense pas que ce soit le cas pour les anti-inflammatoires", a indiqué John Fahey, le président de l'AMA.
Huit joueurs de chacune des 32 équipes, soit 256 joueurs, ont subi ou subiront un contrôle inopiné urinaire et sanguin, mené par des médecins de la FIFA. De plus, deux joueurs de chaque équipe subiront un contrôle à l'issue de chacun des 64 matches.
"Depuis 1994, et un cas célèbre, il n'y a pas eu de cas positif dans le cadre d'une Coupe du monde", a déclaré M. Dvorak, en référence à l'Argentin Diego Maradona, l'actuel sélectionneur de l'Argentine, contrôlé positif à l'éphédrine, un stimulant, lors de la Coupe du monde aux Etats-Unis.
Les deux derniers cas dans le cadre de compétitions organisées par la FIFA remontent à la Coupe des confédérations en 2005, où deux joueurs mexicains avaient été contrôlés positifs à la nandrolone, un stéroïde.
La démarche de la FIFA à la Coupe du monde s'inscrit dans un cadre plus vaste. "Que ce soit la FIFA directement, mais aussi au travers des confédérations ou fédérations, nous diligentons quelque 40.000 contrôles chaque année dans le monde entier", a insisté M. Dvorak.
Un abus de produits anti-inflammatoires
Le Dr Michel D'Hooghe, président de la Commission médicale de la FIFA, a déclaré samedi lors d'une conférence de presse que la Fédération internationale avait constaté un abus de l'utilisation des produits anti-inflammatoires dans le football.
"Nous constatons un abus extraordinaire de produits anti-inflammatoires qui peuvent avoir des effets secondaires, du point de vue digestif comme sur le plan rénal", a souligné M. D'Hooghe.
"L'avenir nous donnera l'occasion de lutter contre ces produits", qui ne figurent pas sur la liste des substances interdites par l'Agence mondiale antidopage (AMA), a avancé M. D'Hooghe.
"Nous pratiquons en permanence des analyses sur les produits que nous pourrions ajouter ou éliminer de la liste. La décision est prise annuellement. Je ne pense pas que ce soit le cas pour les anti-inflammatoires", a indiqué John Fahey, le président de l'AMA.