Les Grecs dans l'allégresse au stade da Luz
Soccer lundi, 5 juil. 2004. 10:52 dimanche, 15 déc. 2024. 05:03
LISBONNE (AFP) - Devant un stade médusé, à l'exception du virage hellène, l'équipe grecque a longuement savouré sa victoire inattendue en finale de l'Euro-2004 de soccer, dimanche au stade da Luz à Lisbonne, quelques minutes après avoir battu le Portugal en finale (1-0).
Après être allés saluer leurs supporteurs, les joueurs d'Otto Rehhagel se sont dirigés vers le centre du terrain où, très sportivement, Luiz Felipe Scolari, le sélectionneur brésilien du Portugal, ne manqua pas de les féliciter.
C'est le capitaine Theodoros Zagorakis, le drapeau grec mis en cape, qui a alors soulevé le trophée Henri-Delaunay que lui a tendu le Suédois Lennart Johansson, président de l'Union européenne de soccer (UEFA).
Un déluge de confettis a salué ce couronnement avant que n'éclate un feu d'artifice tiré du toit du stade.
De leur côté, les Portugais, dont certains d'entre eux s'étaient effondrés sur la pelouse au coup de sifflet final, essayaient tant bien que mal de se consoler. Beaucoup d'entre eux, trop affectés, refusaient ensuite de porter la médaille des vaincus.
Dépités, et imitant leurs supporteurs, ils ont rapidement quitté le terrain, suivant les pas de Luis Figo et de Rui Costa, les deux plus fameux représentants d'une génération en or qui aura échoué dans son ultime chance de conquête d'un titre.
Pendant ce temps-là, les Grecs n'en finissaient plus de tourner autour du terrain, au rythme des chants ininterrompus de leurs supporteurs.
Après être allés saluer leurs supporteurs, les joueurs d'Otto Rehhagel se sont dirigés vers le centre du terrain où, très sportivement, Luiz Felipe Scolari, le sélectionneur brésilien du Portugal, ne manqua pas de les féliciter.
C'est le capitaine Theodoros Zagorakis, le drapeau grec mis en cape, qui a alors soulevé le trophée Henri-Delaunay que lui a tendu le Suédois Lennart Johansson, président de l'Union européenne de soccer (UEFA).
Un déluge de confettis a salué ce couronnement avant que n'éclate un feu d'artifice tiré du toit du stade.
De leur côté, les Portugais, dont certains d'entre eux s'étaient effondrés sur la pelouse au coup de sifflet final, essayaient tant bien que mal de se consoler. Beaucoup d'entre eux, trop affectés, refusaient ensuite de porter la médaille des vaincus.
Dépités, et imitant leurs supporteurs, ils ont rapidement quitté le terrain, suivant les pas de Luis Figo et de Rui Costa, les deux plus fameux représentants d'une génération en or qui aura échoué dans son ultime chance de conquête d'un titre.
Pendant ce temps-là, les Grecs n'en finissaient plus de tourner autour du terrain, au rythme des chants ininterrompus de leurs supporteurs.