Les passionnés surpris
Soccer dimanche, 1 juil. 2007. 15:18 vendredi, 13 déc. 2024. 23:40
MONTREAL - Même les observateurs de longue date de la scène du soccer québécois - pas tous, mais plusieurs - se disent un peu surpris de la réponse du public à l'occasion de la Coupe du monde de soccer des moins de 20 ans.
"Surpris, oui, parce la vente est allée au-delà des attentes initiales des organisateurs, déclare Pascal Cifarelli, éditeur-fondateur du journal Québec Soccer. Mais ça prouve que le soccer québécois a atteint un moment de son histoire où le temps est venu de récolter ce qui a été semé. Avec ça et les foules de 10 000 personnes et plus qui ne se démentent pas pour l'Impact, ça montre que les gens aiment et adoptent de plus en plus le soccer."
"J'ai toujours su que Montréal était une ville de soccer... du soccer de qualité", a affirmé Tony Incollingo, ancien président du fan-club du Manic qui a récemment fait revivre l'AS Jean-Talon Rosemont, un club amateur. "Et la Coupe du monde U-20 - sans rien enlever à l'Impact, qui ne joue pas du tout dans le même contexte - nous permet de voir des joueurs qui vont se retrouver bientôt en première division en Europe. Ils ont déjà le talent pour le faire."
"Un tournoi du calibre de la Coupe du monde U-20, ça n'arrive pas à tous les jours", fait remarquer Frank Caputo, ancien directeur général du Cosmos de Lasalle dans la défunte Ligue nationale de soccer du Québec. "C'est un niveau de soccer très intéressant, c'est spectaculaire."
"Je ne suis pas surpris, à cause de la présence du Brésil, déclare Max-Eden Joseph, directeur des compétitions de la Fédération de soccer du Québec. Les gens qui connaissent le soccer savent que c'est un tournoi où on retrouve les joueurs qui seront des vedettes internationales dans quelques années.
"Ce qui m'étonne plutôt, c'est d'entendre de plus en plus de jeunes parler du soccer international comme on parlerait du Canadien. Ils ne font pas que jouer au soccer, ils ont une culture du soccer. Ils connaissent les vedettes. Avec la télé, les petits Québécois en savent autant sur eux que les petits Français.
"C'est ça qui prouve, selon moi, que (le phénomène du soccer) va durer."
"Surpris, oui, parce la vente est allée au-delà des attentes initiales des organisateurs, déclare Pascal Cifarelli, éditeur-fondateur du journal Québec Soccer. Mais ça prouve que le soccer québécois a atteint un moment de son histoire où le temps est venu de récolter ce qui a été semé. Avec ça et les foules de 10 000 personnes et plus qui ne se démentent pas pour l'Impact, ça montre que les gens aiment et adoptent de plus en plus le soccer."
"J'ai toujours su que Montréal était une ville de soccer... du soccer de qualité", a affirmé Tony Incollingo, ancien président du fan-club du Manic qui a récemment fait revivre l'AS Jean-Talon Rosemont, un club amateur. "Et la Coupe du monde U-20 - sans rien enlever à l'Impact, qui ne joue pas du tout dans le même contexte - nous permet de voir des joueurs qui vont se retrouver bientôt en première division en Europe. Ils ont déjà le talent pour le faire."
"Un tournoi du calibre de la Coupe du monde U-20, ça n'arrive pas à tous les jours", fait remarquer Frank Caputo, ancien directeur général du Cosmos de Lasalle dans la défunte Ligue nationale de soccer du Québec. "C'est un niveau de soccer très intéressant, c'est spectaculaire."
"Je ne suis pas surpris, à cause de la présence du Brésil, déclare Max-Eden Joseph, directeur des compétitions de la Fédération de soccer du Québec. Les gens qui connaissent le soccer savent que c'est un tournoi où on retrouve les joueurs qui seront des vedettes internationales dans quelques années.
"Ce qui m'étonne plutôt, c'est d'entendre de plus en plus de jeunes parler du soccer international comme on parlerait du Canadien. Ils ne font pas que jouer au soccer, ils ont une culture du soccer. Ils connaissent les vedettes. Avec la télé, les petits Québécois en savent autant sur eux que les petits Français.
"C'est ça qui prouve, selon moi, que (le phénomène du soccer) va durer."