Liverpool lance un avertissement à l'AS Rome
Soccer jeudi, 6 déc. 2001. 12:32 dimanche, 15 déc. 2024. 02:44
ROME, AFP - L'AS Rome, pour sa deuxième sortie de la seconde phase de la Ligue des Champions, a reçu un avertissement sans frais devant les Anglais de Liverpool (0-0), mercredi soir sur le terrain du Stade Olympique de la capitale.
Les champions d'Italie, qui avaient arraché un nul très heureux (1-1), durant les arrêts de jeu pour leur premier match le 21 novembre dernier à Istanbul face à Galatasaray, ont été à nouveau accrochés par Liverpool, au terme d'une prestation dans l'ensemble bien terne et sans grand relief.
Ce partage des points, s'il ne compromet pas vraiment ses chances de qualification, fixe toutefois certaines limites aux ambitions de l'équipe de Fabio Capello. La Roma se trouve désormais dans l'obligation de ramener un bon résultat de son prochain voyage au Nou Camp dans le temple du FC Barcelone le 20 février 2002.
Contre une équipe anglaise d'excellente valeur, solide et bien organisée derrière, avec un milieu de terrain renforcée avec souvent cinq joueurs, la Roma n'a jamais pu trouver le fil de son jeu.
Le problème Batistuta
"Je suis très content, car Liverpool est une équipe très difficile, l'une des favorites de la Ligue des Champions. Malgré cela, nous n'avons pas couru de grands risques et sur la fin nous avons été très dangereux. Notre groupe est le plus équilibré des quatre et il faudra attendre la dernière journée pour connaître les qualifiés", a commenté l'entraîneur Fabio Capello nullement déçu de la prestation de ses hommes.
Si la défense romaine a tenu à peu près convenablement la route, n'offrant que peu d'occasions aux redoutables attaquants des Reds, Michael Owen et Emile Heskey, il n'en a pas été de même pour son milieu de terrain et surtout sa ligne d'attaque.
Obligé de se replier souvent en arrière, Francesco Totti est resté trop souvent éloigné de l'Argentin Gabriel Batistuta livré à lui-même. Batigol, lent et souvent impuissant face au marquage strict des défenseurs anglais, n'a eu qu'un seule occasion de but, mais son tir, trop mou, est passé à côté des buts du gardien de Liverpool Dudek.
"Lorsqu'on a aussi peu de bon ballons à jouer, on a très peur de manquer la cible, on sait que l'occasion ne se reproduira pas de sitôt", s'est justifié l'Argentin.
Les champions d'Italie, qui avaient arraché un nul très heureux (1-1), durant les arrêts de jeu pour leur premier match le 21 novembre dernier à Istanbul face à Galatasaray, ont été à nouveau accrochés par Liverpool, au terme d'une prestation dans l'ensemble bien terne et sans grand relief.
Ce partage des points, s'il ne compromet pas vraiment ses chances de qualification, fixe toutefois certaines limites aux ambitions de l'équipe de Fabio Capello. La Roma se trouve désormais dans l'obligation de ramener un bon résultat de son prochain voyage au Nou Camp dans le temple du FC Barcelone le 20 février 2002.
Contre une équipe anglaise d'excellente valeur, solide et bien organisée derrière, avec un milieu de terrain renforcée avec souvent cinq joueurs, la Roma n'a jamais pu trouver le fil de son jeu.
Le problème Batistuta
"Je suis très content, car Liverpool est une équipe très difficile, l'une des favorites de la Ligue des Champions. Malgré cela, nous n'avons pas couru de grands risques et sur la fin nous avons été très dangereux. Notre groupe est le plus équilibré des quatre et il faudra attendre la dernière journée pour connaître les qualifiés", a commenté l'entraîneur Fabio Capello nullement déçu de la prestation de ses hommes.
Si la défense romaine a tenu à peu près convenablement la route, n'offrant que peu d'occasions aux redoutables attaquants des Reds, Michael Owen et Emile Heskey, il n'en a pas été de même pour son milieu de terrain et surtout sa ligne d'attaque.
Obligé de se replier souvent en arrière, Francesco Totti est resté trop souvent éloigné de l'Argentin Gabriel Batistuta livré à lui-même. Batigol, lent et souvent impuissant face au marquage strict des défenseurs anglais, n'a eu qu'un seule occasion de but, mais son tir, trop mou, est passé à côté des buts du gardien de Liverpool Dudek.
"Lorsqu'on a aussi peu de bon ballons à jouer, on a très peur de manquer la cible, on sait que l'occasion ne se reproduira pas de sitôt", s'est justifié l'Argentin.