Markus Merk exclut des conséquences personnelles
Soccer jeudi, 14 avr. 2005. 12:13 samedi, 14 déc. 2024. 19:36
BERLIN (AFP) - L'arbitre allemand Markus Merk, qui a interrompu mardi le quart de finale retour de la Ligue des champions de soccer entre Inter Milan et Milan AC en raison de jets d'objets sur la pelouse, a exclu des conséquences personnelles après les événements.
Interrogé par le bi-hebdomadaire Kicker de jeudi qui lui demandait s'il réfléchissait à des conséquences personnelles comme son collègue Anders Frisk, qui a mis fin à sa carrière à la suite de menaces de mort contre le Suédois, Merk a répondu: "Absolument pas".
"Certes, ça ne me fait pas plaisir et je veux avoir du plaisir en soccer, a-t-il déclaré. Je ne veux pas être un manageur permanent de crise comme c'est le cas en ce moment. Mais pour moi, tout cela n'est pas un problème d'arbitre mais un problème du soccer".
"Ce ne sont pas des des coïncidences. Il est nécessaire d'agir rapidement. Tout cela est un net avertissement", a souligné M. Merk, affirmant ne pas avoir eu peur sur la pelouse.
"La question de la peur ne s'est pas posée. J'ai essayé de faire pour le mieux dans l'intérêt du soccer, a-t-il ajouté. D'abord, nous avons été sur le terrain pendant un quart d'heure. J'ai pensé qu'à un moment ils devaient être à court de matériel. Mais le matériel n'a pas manqué".
"La décision de revenir des vestiaires a été difficile pour nous. Après une minute, ça a repris. Nous avons tout tenté et n'avons rien à nous reprocher. Le perdant, c'est le football", a-t-il souligné.
Interrogé par le bi-hebdomadaire Kicker de jeudi qui lui demandait s'il réfléchissait à des conséquences personnelles comme son collègue Anders Frisk, qui a mis fin à sa carrière à la suite de menaces de mort contre le Suédois, Merk a répondu: "Absolument pas".
"Certes, ça ne me fait pas plaisir et je veux avoir du plaisir en soccer, a-t-il déclaré. Je ne veux pas être un manageur permanent de crise comme c'est le cas en ce moment. Mais pour moi, tout cela n'est pas un problème d'arbitre mais un problème du soccer".
"Ce ne sont pas des des coïncidences. Il est nécessaire d'agir rapidement. Tout cela est un net avertissement", a souligné M. Merk, affirmant ne pas avoir eu peur sur la pelouse.
"La question de la peur ne s'est pas posée. J'ai essayé de faire pour le mieux dans l'intérêt du soccer, a-t-il ajouté. D'abord, nous avons été sur le terrain pendant un quart d'heure. J'ai pensé qu'à un moment ils devaient être à court de matériel. Mais le matériel n'a pas manqué".
"La décision de revenir des vestiaires a été difficile pour nous. Après une minute, ça a repris. Nous avons tout tenté et n'avons rien à nous reprocher. Le perdant, c'est le football", a-t-il souligné.