Materazzi a confiance en ses équipiers
Soccer lundi, 4 juin 2007. 11:55 dimanche, 15 déc. 2024. 02:31
ROME - Le défenseur de l'équipe d'Italie Marco Materazzi a assuré lundi que l'état d'esprit qui avait permis à la Nazionale de remporter le Mondial-2006 était toujours présent malgré la mauvaise impression laissée par la victoire aux Iles Féroé (2-1) samedi en qualifications de l'Euro 2008.
"Je ne crois pas (que l'état d'esprit du Mondial soit parti, ndlr). Tout au plus ce sont les sensations qui ont changé", a déclaré Materazzi, interrogé lors d'un point-presse de la sélection au centre d'entraînement de Milanello, au nord de Milan.
"Au Mondial, on jouait à quitte ou double, au coeur d'une compétition, a-t-il continué. Aujourd'hui, nous devons nous reposer sur nos forces: nous sommes champions du monde et dominons l'Europe avec les clubs. Nous devons aller à Kaunas pour vaincre et faire ce que nous savons".
Samedi, l'Italie, sans inspiration ni ressort, s'est difficilement imposée en déplacement aux Iles Féroé (2-1).
Mercredi, elle affrontera la Lituanie à Kaunas, une équipe en théorie plus faible qu'elle mais qui, à la surprise générale, l'avait tenue en échec (1-1) au match aller en septembre dernier à Naples.
Après le match aux Féroé, le gardien Gianluigi Buffon avait déclaré: "On a été trop superficiels et faciles". "+Gigi+ est le N.1 pour cela aussi, a répondu en écho Materazzi. Il a dit la vérité et nous avons écouté son conseil".
"C'est vrai on n'a pas marqué six buts, mais à la fin, il n'y a que les trois points qui comptent", a poursuivi le défenseur central, ajoutant: "Je préfère être fort contre les forts que fort contre les faibles".
Les Italiens doivent s'envoler pour la Lituanie mardi matin.
"Je ne crois pas (que l'état d'esprit du Mondial soit parti, ndlr). Tout au plus ce sont les sensations qui ont changé", a déclaré Materazzi, interrogé lors d'un point-presse de la sélection au centre d'entraînement de Milanello, au nord de Milan.
"Au Mondial, on jouait à quitte ou double, au coeur d'une compétition, a-t-il continué. Aujourd'hui, nous devons nous reposer sur nos forces: nous sommes champions du monde et dominons l'Europe avec les clubs. Nous devons aller à Kaunas pour vaincre et faire ce que nous savons".
Samedi, l'Italie, sans inspiration ni ressort, s'est difficilement imposée en déplacement aux Iles Féroé (2-1).
Mercredi, elle affrontera la Lituanie à Kaunas, une équipe en théorie plus faible qu'elle mais qui, à la surprise générale, l'avait tenue en échec (1-1) au match aller en septembre dernier à Naples.
Après le match aux Féroé, le gardien Gianluigi Buffon avait déclaré: "On a été trop superficiels et faciles". "+Gigi+ est le N.1 pour cela aussi, a répondu en écho Materazzi. Il a dit la vérité et nous avons écouté son conseil".
"C'est vrai on n'a pas marqué six buts, mais à la fin, il n'y a que les trois points qui comptent", a poursuivi le défenseur central, ajoutant: "Je préfère être fort contre les forts que fort contre les faibles".
Les Italiens doivent s'envoler pour la Lituanie mardi matin.