Ouverture du 56e Congrès de la Fifa à Munich
Soccer mercredi, 7 juin 2006. 10:46 dimanche, 15 déc. 2024. 00:09
MUNICH (AFP) - Le 56e Congrès ordinaire de la Fédération internationale de football (Fifa) s'est ouvert mercredi à Munich, deux jours avant le match d'ouverture du Mondial-2006.
Avant de passer aux choses sérieuses et à l'examen de l'ordre du jour jeudi, la première journée du Congrès était consacrée à divers spectacles et hommages.
Ainsi, et avant même la cérémonie d'ouverture, une bonne partie des anciens champions du monde qui ont été invités par la Fifa à ouvrir la compétition à l'Allianz Arena de Munich vendredi, étaient d'ores et déjà présents au milieu des délégués des 207 fédérations membres.
L'Uruguayen Alcides Ghiggia (vainqueur en 1950), l'Allemand Horst Eckel (1954), le Brésilien Pepe (1962), l'Anglais Bobby Charlton (1966), l'Argentin Mario Kempes (1978), l'Italien Giancarlo Antognoni (1982) et le Français Bernard Lama (1998) sont ainsi montés sur scène. Tous représentaient les sept pays qui ont remporté le Mondial depuis la première édition en 1930.
Dans les spectateurs, il y avait également de quoi composer plusieurs "dream team", avec, pêle-mêle, les Brésiliens Rai et Bebeto, les Français Emmanuel Petit et Christian Karembeu, l'Allemand Pierre Littbarski...
En présence, notamment, de la chancelière allemande Angela Merkel, et du chef du gouvernement de l'Etat régional de Bavière, Edmund Stoiber - qui ont tous deux prononcé un discours de bienvenue -, le président de la Fifa, Joseph Blatter, a de son côté déclaré en préambule que "ce congrès représentera un jalon important pour notre football".
"Aujourd'hui, nous allons rendre hommage à des membres de notre famille, mais, demain, nous serons amenés à faire face à nos responsabilités et à prendre des décisions importantes, de sorte que la bonne gouvernance et la transparence président à notre football", a-t-il continué.
"Notre sport doit avoir conscience de notre responsabilité sociale", a-t-il insisté.
Jeudi, le congrès devrait notamment adopter treize propositions pour tenter de remédier aux maux qui affectent le soccer(la corruption, la multipropriété des clubs, le racisme, la violence, les paris truqués, l'ingérence politique...).
Avant de passer aux choses sérieuses et à l'examen de l'ordre du jour jeudi, la première journée du Congrès était consacrée à divers spectacles et hommages.
Ainsi, et avant même la cérémonie d'ouverture, une bonne partie des anciens champions du monde qui ont été invités par la Fifa à ouvrir la compétition à l'Allianz Arena de Munich vendredi, étaient d'ores et déjà présents au milieu des délégués des 207 fédérations membres.
L'Uruguayen Alcides Ghiggia (vainqueur en 1950), l'Allemand Horst Eckel (1954), le Brésilien Pepe (1962), l'Anglais Bobby Charlton (1966), l'Argentin Mario Kempes (1978), l'Italien Giancarlo Antognoni (1982) et le Français Bernard Lama (1998) sont ainsi montés sur scène. Tous représentaient les sept pays qui ont remporté le Mondial depuis la première édition en 1930.
Dans les spectateurs, il y avait également de quoi composer plusieurs "dream team", avec, pêle-mêle, les Brésiliens Rai et Bebeto, les Français Emmanuel Petit et Christian Karembeu, l'Allemand Pierre Littbarski...
En présence, notamment, de la chancelière allemande Angela Merkel, et du chef du gouvernement de l'Etat régional de Bavière, Edmund Stoiber - qui ont tous deux prononcé un discours de bienvenue -, le président de la Fifa, Joseph Blatter, a de son côté déclaré en préambule que "ce congrès représentera un jalon important pour notre football".
"Aujourd'hui, nous allons rendre hommage à des membres de notre famille, mais, demain, nous serons amenés à faire face à nos responsabilités et à prendre des décisions importantes, de sorte que la bonne gouvernance et la transparence président à notre football", a-t-il continué.
"Notre sport doit avoir conscience de notre responsabilité sociale", a-t-il insisté.
Jeudi, le congrès devrait notamment adopter treize propositions pour tenter de remédier aux maux qui affectent le soccer(la corruption, la multipropriété des clubs, le racisme, la violence, les paris truqués, l'ingérence politique...).